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  • Le roi du Maroc ou la nostalgie pour le train de vie princier

    Le roi du Maroc ou la nostalgie pour le train de vie princier

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    Au moment où le Maroc vit une situation économique des plus difficiles causée par un recul des exportations agricoles et de mauvais choix de stratégie économique, le roi Mohammed VI s’est éclipsé de la scène ouvrant la voie à toutes les supputations quant à sa capacité à diriger les affaires du pays.

    Il y a quelques jours, le journal espagnol « El Independiente», avait affirmé que M6 a pris du recul par rapport à la gestion des affaires de son pays pour reprendre le train de vie princière qu’il avait avant son intronisation. Ce quotidien avait même laissé entendre l’éventualité de le voir abdiquer pour céder le trône à son fils Hassan III. Cette éventualité avait même créé des remous dans le cercle de la famille royale et poussé le premier conseiller du roi, André Azoulay à placer en résidence surveillée le frère de M6, Moulay Rachid et à éloigner du palais royal la princesse Lalla Hasna. L’ambiance des réunions du conseil de la famille royale est même devenue électrique ces derniers temps et les rapports entre le prince héritier Hassan III et son oncle Moulay s’étaient tendus.

    Mais ce qui laisse supposer à un changement des rapports de force dans le proche entourage de la famille royale est la présence de Moulay Rachid aux obsèques de la reine Elisabeth II à Londres. L’événement auquel ont assisté les Chefs d’Etats et les têtes couronnées du monde, aurait dû connaitre la présence de M6 ou du prince héritier selon les us établis par le palais royal marocain et la présence de Moulay Rachid constitue un indice qui pourrait annoncer de profonds changements qui interviendraient dans le palais.

    Cet effacement du roi de la scène politique de son pays, puisqu’il n’a plus donné signe de vie, depuis son discours à l’occasion de la fête du trône, intervient alors que la scène sociale connait des remous et des tensions générées par la cherté de la vie et le recul du niveau de vie qui a jeté dans la pauvreté de larges couches de la société marocaine. Actuellement, la classe moyenne qui servait de tampon entre les laissés pour compte et les riches proches de la famille royale et le makhzen, est en train de connaître une crise des plus lancinantes. Elle ne pourrait plus tenir le rôle de paravent qui permettait au palais de vanter les mérites de sa politique économique. Et les jours à venir risquent d’être encore plus difficiles pour le peuple marocain qui voit les oligarques, soutenus par le Makhzen, s’enrichir encore plus et lui sombrer dans la paupérisation.

    Il faut savoir que cette situation difficile s’est accentuée depuis l’arrivée des hommes d’affaires israéliens qui ont favorisé le lancement de projets peu productifs en matière d’offres d’emploi et soutenus par des facilitations fiscales et autres qui ont réduit les ressources pour le trésor public.

    La crise économique, générée par la pandémie et ses effets, n’a fait qu’accentuer encore plus le fossé entre une minorité de riches et une majorité de pauvres qui peine aujourd’hui à subvenir à ses moindres besoins.

    Dans ce contexte, il faut rappeler également le recul de la production agricole destinée à l’exportation. Une faible pluviométrie et des choix de production ont agi sur le volume des exportations. Un chargé de mission auprès du ministère de l’agriculture marocain a expliqué ce recul par la chute du niveau statique des nappes phréatiques de 3 à 7 mètres, une chute du volume des eaux stockées dans les barrages et par la sécheresse qui a connu ses niveaux les plus élevés au cours des trente dernières années.

    De plus, la culture du cannabis, qui nécessite beaucoup d’eau, a poussé de nombreux agriculteurs à délaisser les autres produits à l’instar des agrumes concurrencés sur le marché européen par l’orange d’Espagne et celle produite en Israël, dans les territoires occupés, connue sous l’appellation d’orange de Jaffa.

    Le Maroc est sur une poudrière et les mauvais choix politiques de son gouvernement et la fuite en avant du palais et son makhzen risquent de coûter encore plus cher au peuple marocain qui agite la menace de l’explosion sociale si des solutions urgentes ne sont pas apportées.

    #Maroc #MohammedVI #Trône

  • Moulay Rachid aux obsèques d’Elizabeth II. Que se passe-t-il au palais?

    Moulay Rachid aux obsèques d’Elizabeth II. Que se passe-t-il au palais?

    Maroc, Mohammed VI, Moulay Rachid, Moulay El Hassan, funérailles de la Reine Elizabeth,

    Selon Reuters, le fils du roi Mohammed VI allait représenter le Maroc dans les funérailles de la reine Elizabeth II. « Les funérailles nationales de la reine Élisabeth auront lieu à Londres le lundi 19 septembre, en présence d’un grand nombre de dirigeants du monde entier, de membres de la famille royale et d’autres dignitaires », a-t-elle indiqué.

    Cependant, une dépêche de l’agence officielle de presse, la MAP, a annoncé que c’est le prince Moulay Rachid qui a représenté son frère à cette occasion. Selon des observateurs, l’absence du prince héritier est source d’interrogations sur la situation au palais royal.

    #Maroc #MohammedVI #Funérailles_ElizabethII #Moulay_Rachid #Moulay_ElHassan

  • Maroc: Moulay Rachid, a-t-il demandé la main de Daniela Magun?

    Maroc: Moulay Rachid, a-t-il demandé la main de Daniela Magun?

    Maroc, Moulay Rachid, Daniela Magun, Mexique,

    La presse méxicaine se faisait écho vendredi des déclarations de la chanteuse Daniela Magun sur l’histoire d’un prince marocain qui voulait l’épouser et dont la demande a été rejettée. Voici un article sur le sujet:

    Daniela Magun a rejeté un prince marocain de peur qu’il la change | Vidéo-Il avait peur de ce qu’il allait lui faire

    Daniela Magun a rappelé les raisons pour lesquelles elle ne voulait pas épouser un prince.

    Daniela Magun a avoué qu’elle a eu l’occasion d’épouser des hommes millionnaires et puissants à trois reprises et l’un d’eux était un prince, qu’elle a fini par rejeter.

    Les animateurs de « Netas Divinas » ont abordé la question de la mise en relation avec différents couples, dont ils peuvent obtenir quelque chose en retour et ont révélé des détails qui ont surpris tout le monde.

    Étant des femmes très travailleuses, elles ont avoué qu’elles ne s’étaient jamais attendues à recevoir un soutien financier d’un homme et elles l’ont démontré à de nombreuses reprises, en parlant des relations qu’elles entretiennent avec leurs partenaires amoureux.

    Pour cette raison, Daniela a reconnu qu’il est parfois difficile de choisir un chemin facile, car même si à un certain moment cela semble être une option plus simple, avec le temps, cela finit par être une mauvaise étape.

    Elle se souvient qu’à une certaine occasion, elle a eu des problèmes financiers qui auraient pu l’amener à profiter de l’argent d’un homme qui à ce moment-là lui a demandé d’avoir une relation, mais elle a refusé.

    « Rien n’est gratuit dans la vie et à la fin cela vous coûte et cela finit par vous peser », a-t-elle déclaré à propos des décisions qu’elle pourrait prendre qui pourraient à ce moment-là faire d’elle une personne dépourvue de bonheur.

    Daniela Magun allait épouser un prince

    La chanteuse a avoué que non seulement elle avait eu une ou deux opportunités d’être une chasseuse de fortune, mais qu’il y avait eu trois occasions où des hommes puissants lui avaient proposé de la combler de luxe et qu’elle avait refusé.

    Ses compagnons du groupe auquel elle appartenait, Kabah, lui ont demandé d’être encouragé à franchir le pas important, afin qu’avec l’argent qu’elle pourrait gagner, ils puissent booster la carrière de chacun.

    Galilea lui a parlé la possibilité d’épouser un prince marocain et quand elle l’a mentionné, elle a avoué qu’en fait, à une occasion, elle était sur le point de le faire, mais finalement cela ne s’est pas produit.

    « Quand j’y suis allée, ils m’ont baigné dans des baignoires avec des pétales et ils ne m’ont pas laissé bouger les mains », se souvient-elle, ajoutant qu’elle ne voulait pas accepter, car à ce moment-là, elle serait une belle épouse, mais elle avait peur de son avenir.

    Ses compagnons ont exprimé que la décision qu’elle avait prise était très bonne, car lorsqu’elle serait devenue plus âgée, ce qu’ils auraient fait d’elle aurait été de la changer pour une femme plus jeune.

    Cependant, ce n’était pas la seule chose qu’elle avait vécue, car elle se souvenait également qu’elle avait eu des opportunités avec des hommes mexicains, mais c’était son cœur son meilleur conseiller.

    Source : Revista fama, 02/09/2022

    #Maroc #Moulay_Rachid #Daniela_magun #Prince_marocain

  • Guerre de succession au Maroc: Clash au palais royal

    Guerre de succession au Maroc: Clash au palais royal

    Maroc, Mohammed VI, trône, succession, Moulay Rachid, Israël,

    La guerre de succession au palais royal marocain est ouverte, boostée par l’incapacité du roitelet Mohamed VI à diriger le pays au bord de l’explosion sociale . Un pays de plus en plus entre les mains de l’entité sioniste, et fragilisé par la menace de la faillite financière, liée aux conséquences néfastes du Covid-19 sur l’économie marocaine, de l’effort de guerre au Sahara Occidental, de la tension avec ses voisins, en particulier l’Algérie ( cessation d’approvisionnement en gaz algérien) la sécheresse qui frappe le pays et l’impact du conflit ukrainien sur le pouvoir d’achat des marocains ( hausse des prix des produits énergétiques et des produits alimentaires de première nécessité).

    Les dernières informations en provenance de la royauté, annonce une guerre de succession qui fait rage . « Fuyant » le Palais royal, le roitelet Mohamed VI donné malade atteint du Covid-19 et aurait trouvé refuge entre le château Betz, distant de 58 km de la capitale française, et son luxueux hôtel non loin de la Tour Eiffel.(https://algerie54.dz/2022/06/08/maroc-palais-3/

    Accusé d’être otage de la famille Azaitar, Mohamed VI aurait attiré les foudres de sa famille royale qui aurait opté pour le futur souverain en la personne du prince marocain Moulay Rachid ben El Hassan, le fils cadet du roi Hassan II et frère de Mohammed VI.

    Des indicateurs qui illustreraient le choix

    Si rien n’a filtré au sujet d’une annonce de succession qui se profile à l’horizon de la fin juillet à l’occasion de la fête du Trône, il en demeure que le choix du successeur de Mohamed VI est pré-établi et ce n’est pas un hasard ou une coïncidence si les chaînes de télévision marocaines bien contrôlées par le Makhzen, consacrent ces derniers jours des reportages en boucle sur le prince Moulay Rachid ben El Hassan, en vue de faire avaler la pilule au Peuple Marocain qui n’arrive plus à quel saint se vouer face à la fatalité imposée d’un régime féodal à l’agonie, de plus en plus entre les mains d’André Azoulay, le superpuissant conseiller du roitelet Mohamed VI et son père Hassan II.

    Silence pervers de Paris

    Selon certaines indiscrétions, la France œuvre à préserver ses intérêts au Maroc et travaille d’arrache pied pour une transition en douceur, d’où ce silence pervers des autorités françaises et des médias de la Mainstream de l’hexagone, habitués dans pareils cas à étaler leurs pouvoirs pour divulguer publiquement les détails de séjours des hommes publics et célébrités dans l’hexagone. Dans le sillage de ce silence, des informations non confirmées avaient fait état d’une tentative de Fouad El Himma, l’un des amis et proches de Mohamed VI de prendre contact avec les officiels du Palais de l’Elysée pour y rencontrer Emmanuel Macron, mais en vain. Or, les conseillers du locataire de l’Elysée ont opposé une fin de non-recevoir à cette requête, prétextant un « agenda chargé » du président français.

    Guerre entre El Hammouchi et El Mansouri

    La guerre de succession du roitelet Mohamed VI a mis en surface une bataille acharnée pour la mainmise sur les services de renseignements marocains entre celui qui dirige la direction générale de la sécurité du territoire marocaine (DST) et celui qui préside sur les destinées de la Direction générale des études et de la documentation (DGED) en l’occurrence Mohamed Yassine Mansouri. A l’heure actuelle, la bataille serait gagnée par le patron de la direction générale de la sécurité du territoire marocaine (DST), Abdellatif Hammouchi, qui jouit de la confiance et du soutien des émiratis et de l’entité sioniste. Son nom est lié au scandale du logiciel espion Pegasus. Ce dernier aurait séjourné dernièrement aux USA, ou il aurait rencontré respectivement William Burns, directeur de la CIA (Central Intelligence Agency) et Christopher Wray, directeur du FBI (Federal Bureau of Investigation). Une information non confirmée par les officiels américains et les médias de l’Oncle Sam.

    Abdelatif Hammouchi, est loin d’être apprécié à Paris, où il avait failli chuter en 2018 lors d’un séjour privé, suite à une plainte déposée contre lui par Zakaria Moumni, champion de boxe thaï . Si sa fuite éperdue a permis d’empêcher sa mise en détention, il n’en demeure pas moins qu’il a été à l’origine de la plus grave brouille diplomatique entre Paris et Rabat depuis de fort nombreuse années. Une brouille suivie quelques mois après par le scandale du logiciel espion israélien Pegasus, dont l’une de ses victimes est le locataire de l’Elysée Emmanuel Macron. Son adversaire, réputé pour être un proche intime du roitelet n’est autre que Mohamed Yassine Mansouri patron de la Direction générale des études et de la documentation (DGED), le service de renseignement extérieur du Maroc, et qui semble sortir affaibli de cette bataille toute à l’avantage du supplétif de l’agenda sioniste en l’occurrence Abdelatif Hammouchi.

    André Azoulay, en chef d’orchestre

    André Azoulay est le superpuissant conseiller du roitelet, super sayanim, selon l’auteur du « printemps des sayanims » Jacob Cohen. Il est à l’origine de la normalisation avec l’entité sioniste et la conclusion de plusieurs accords dont celui lié au renforcement de la coopération sécuritaire et militaire.

    Intronisé par Hassan II comme conseiller personnel en 1991, André Azoulay, bien introduit auprès du lobby américano-sioniste Aipac devient l’homme clé d’une royauté à l’agonie, sous colonie sioniste. Et ce n’est pas un hasard si on assiste aujourd’hui à un OPA de l’entité sioniste sur les destinées du Peuple Marocain qui ne tardera pas certainement pour renverse un régime féodal dépassé par les notions des temps modernes et qui devient un régime totalement entre les ennemis de la cause palestinienne chère aux marocains.

    Par Mehdi Messaoudi

    Algérie54, 21 juin 2022

    #Maroc #Trône #Monarchie #Succession #MohammedVI #MoulayRachid

  • Succession et sécurité: Le tutorat sioniste sur le Maroc

    Succession et sécurité: Le tutorat sioniste sur le Maroc

    Maroc, Israël, succession, Mohammed VI, Moulay Rachid, Lalla Salma,

    En politique, on ne parle jamais de coïncidences, le conflit ukrainien aura son impact géopolitique sur plusieurs régions du monde comme le Sud-est asiatique(Taiwan) l’Antarctique, le Proche-Orient, la région du Sahel et bien entendu la région du Maghreb et la question du Sahara Occidental. Bien entendu, l’Après conflit ukrainien, sera la reconstruction d’un nouveau monde multipolaire, au détriment de la doctrine de l’hégémonie américano-sioniste, bien soutenue par l’Union Européenne, devenue une girouette et une colonie étatsunienne.

    African Lion 2022 et la visite Ayelet Shaked

    Le coup d’envoi des manœuvres militaires appelées African Lion 2022, tenues conjointement par l’armée du Commandeur les FAR, avec l’Africom ( participation de certains pays de l’OTAN, le Sénégal, le Ghana, la Tunisie et l’entité sioniste comme observateur) coïncide avec l’arrivée à Rabat de la ministre sioniste de l’Intérieur Ayelet Shaked.

    Reconnaissance de la » marocanité ‘ » des territoires sahraouis occupés

    Reçu par le chef de la diplomatie du Commandeur, Nasser Bourita, la ministre sioniste de l’Intérieur venue à Rabat pour conclure un contrat de main-d’œuvre, bon marché au Maroc, pour consoler les signataires de la normalisation, annonça la reconnaissance de l’occupation des territoires sahraouis. Une première intervenant dans un timing marqué par une surenchère sioniste et une guerre sans merci pour la succession de Mohamed VI. Cette reconnaissance annoncée par Ayelet Shaked est intervenue dans un contexte confirmant la pression et la surenchère des lobbys sionistes sur une dynastie destinée à la disparition, mais qui se heurte à une résistance représentée par tenants du réel pouvoir à savoir les Abdelatif Hammouchi et André Azoulay, revendiquant un gage d’assurance pour faire face au vent du changement qui menace la monarchie alaouite. L’annonce de la « marocanisation » des territoires sahraouis occupés, par Ayelet Shaked, au lieu du chef de la diplomatie sioniste Yair Lapid, ou le génocidaire et ministre sioniste de Benny Gantz qui avaient séjourné récemment au Maroc, ou même le premier ministre sioniste Naftali Bennett qui avait présidé le Sommet de Néguev en présence de Nasser Bourita illustre bien les nouvelles donnes concernant la situation au Maroc, marquée par une guerre pour la succession de Mohamed VI, la dégradation du pouvoir d’achat des marocains très affecté par les effets néfastes du Covid-19 sur les secteurs-clés de l’économie marocaine, la rupture de l’approvisionnement du Maroc en gaz algérien, la hausse des prix des produits alimentaires et énergétiques., l’imminence d’une faillite financière, soutenue par le taux de la dette extérieure qui vient de dépasser le PIB marocain, et surtout le refus du Peuple Marocain de cette normalisation avec l’entité sioniste, permettant à leur Etat de devenir sous tutorat sioniste.

    Ayelet Shaked avait appelé à l’extermination des tunisiens, algériens et marocains

    Devant les membres du lobby sioniste aux USA, l’ancienne ministre sioniste de la justice sous le gouvernement de Benjamin Netanyahou, l’invitée de marque du Makhzen avait plaidé pour l’extermination des maghrébins.

    « Les Marocains, les Algériens et les Tunisiens, sont des ignorants …et méritent la mort », a-t-elle déclaré, ajoutant qu’Israël avait un « plan pour détruire ces pays, dans un temps proche où personne ne pourra survivre ».

    Les pièces du puzzle du plan sioniste

    Tous les ingrédients sont là pour confirmer que l’entité sioniste a décidé de faire du Maroc une terre de rechange, au cas où elle sera chassée de la Palestine. Aujourd’hui, le plan sioniste consiste à sauver le régime du Makhzen, en intronisant un « souverain » faible aux ordres du Mossad, tout en évitant l’effondrement d’un régime féodal au profit d’une république qui ne tardera pas à revendiquer les enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla, procéder au retrait des territoires sahraouis, en vue de permettre au Peuple Sahraoui de s’arroger le droit à l’autodétermination, conformément aux résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU et l’application du droit international, ouvrant la voie à l’édification d’un Maghreb Uni, et complémentaire, débarrassé du tutorat occidental et sioniste.
    Le revirement de la position de l’Espagne dirigé par le socialiste Pedro Sanchez, en est une pièce du puzzle de ce plan, et revêt un caractère symbolique, dans la mesure où l’ancienne colonisatrice et ancienne puissance administrante des territoires sahraouis ne fera que renforcer le statuquo autour de cette question ce que cherchent les sionistes. Mais, la nouvelle position sioniste exprimée par Ayelet Shaked, revêt un caractère politique, imposé par la nouvelle géopolitique et un gage d’assurance à Abdelatif Hammouchi, l’employé des émiratis et mentor de Moulay Rachid donné comme futur successeur de Mohamed VI, dans les prochains jours avant la célébration de la Fête du Trône.

    Pour ce qui est de la France, son silence révèle son adoption du plan sioniste, dans la mesure où elle vient d’accueillir le « roi mourant » Mohamed VI, sachant que ami Mohamed Yassine Mansouri, patron de la DGED s’est vu signifier un non-recevoir pour avoir formulé une demande d’audience à l’Elysée .

    La France demeure un acteur clé dans le devenir de la royauté au même titre que l’OTAN, et son statut de membre permanent au Conseil de Sécurité de l’ONU, lui permet de bloquer toutes les résolutions allant dans le sens de l’indépendance des territoires sahraouis. Le scandale du logiciel espion, infiltrant les téléphones de hauts responsables français dont le locataire de l’Elysée ne fera que renforcer le tutorat sioniste sur l’entité créée par Lyautey .

    La succession génitale

    Les bébés pleuvent chez la famille royale

    Tout indiquerait que la succession de Mohamed VI a été tranchée en faveur de son frère Moulay Rachid et au détriment du prince héritier Hassan III, dont les apparitions se font rares depuis plusieurs semaines au même titre que sa sœur. Les informations sur la liquidation de la divorcée de Mohamed VI, n’ont jamais été démenties par la Cour royale. Des informations consolidées par le suicide mystère du consul de la France à Tanger Denis François, retrouvé mort le 19 novembre, dans sa résidence au Consulat de France, quelques jours après sa nomination par le président français Emmanuel Macron.

    Moulay Rachid, soutenu par l’agent de la coalition israélo-émiratie, en l’occurrence Abdelatif Hammouchi, qui vient de séjourner aux USA, où il avait rencontré les patrons de la CIA et le FBI, serait bien parti pour succéder à son frère, et devenir un » roi » au service du tutorat sioniste, en vue de maintenir en vie le Makhzen, de plus en plus menacé par une révolution du Peuple Marocain qui se dessine, pour l’instauration d’une république démocratique, répondant aux aspirations d’une société marocaine qui refuse d’abdiquer à la fatalité de la résignation. Pour concrétiser cette intronisation de Moulay Rachid, qui ne va pas tarder à être annoncée, les chaînes marocaines préparent déjà le terrain depuis plusieurs jours en diffusant des émissions et reportages sur le « futur » détenteur de la couronne royale. A la surprise générale, on annonce même la naissance d’un second fils, Moulay Abdeslam, en date du premier juin 2022.

    Déjà parent de Moulay Ahmed, âgé de 5 ans, le frère de Mohammed VI et son épouse Lalla Oum ont donné naissance à une petite fille, Khansa, le 25 janvier 2022. Le futur « roi » devient père en une période de 6 mois, une première dans les annales des naissances destinées à l’intronisation au trône au nom la validation de la succession génétique.

    Par Mehdi Messaoudi

    Algérie54, 22 juin 2022

    #Maroc #MohammedVI #MonarchieMarocaine #MoulayRachid #Succession