Étiquette : Pedro Sanchez

  • ​​Crime de Melilla : Sanchez défend le Maroc

    ​​Crime de Melilla : Sanchez défend le Maroc

    Maroc, Espagne, Pedro Sanchez, Melilla, migrants,

    Le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez a été critiqué, y compris par des membres de son propre gouvernement, pour avoir défendu les actions des autorités marocaines en réponse à la tentative de franchissement de la frontière par des migrants dans l’enclave espagnole de Melilla.

    Sur les 2 000 personnes qui ont tenté de franchir la frontière entre le Maroc et Melilla vendredi 24 juin, au moins 37 sont mortes, selon les chiffres officiels.

    Mais des groupes de défense des droits, tels que l’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH) et l’ONG espagnole Walking Borders, estiment que le nombre de morts est bien plus élevé que prévu.

    L’incident a également suscité la controverse en Espagne alors que des vidéos montrant des policiers marocains tirant des gaz lacrymogènes et des balles en caoutchouc et utilisant des matraques pour empêcher les migrants de traverser à Melilla sont devenues virales.

    Beaucoup ont été choqués par les images de la police gardant des dizaines de migrants blessés et morts au poste frontière de Chinatown à Nador, où 133 personnes ont réussi à rejoindre l’Espagne.

    Un groupe de groupes de défense des droits marocains et espagnols et le partenaire de la coalition du parti socialiste au pouvoir, Unidas Podemos, ont condamné les images et appelé à une enquête.

    Mais  Sanchez a salué le travail effectué par le Maroc  pour tenter d’empêcher, en coordination avec les forces de sécurité espagnoles, « l’assaut violent » à la frontière avec Melilla lors d’une conférence de presse à l’issue du Conseil européen de vendredi 24 juin.

    L’incident est le premier depuis que l’Espagne a renversé sa position sur le Sahara occidental et rétabli les relations diplomatiques avec le Maroc après un  différend d’un an.

    Euractiv, 27 juin 2022

    #Maroc #Espagne #Melilla #Migrants

  • Aznar: L’Espagne va payer cher les errements de Sanchez

    Aznar: L’Espagne va payer cher les errements de Sanchez

    Maroc, Espagne, Algérie, Sahara Occidental, Pedro Sanchez,

    José Maria Aznar: « L’Espagne va « payer cher » les errements diplomatiques de Pedro Sanchez »

    José Maria Aznar, l’ancien président du gouvernement espagnol (1996-2004) s’est exprimé sur la situation sociale et économique du pays et la crise avec l’Algérie.

    Rappelons que c’est Aznar qui a signé il y a 20 ans le traité d’amitié que l’Algérie vient de suspendre. « Parmi les désastres diplomatiques que j’ai vus ces derniers temps, l’un des plus notables est celui que ce gouvernement a organisé avec les deux pays (Algérie et Maroc, ndlr) », a déclaré Aznar sur le plateau du média Public Miror.

    L’ancien Premier ministre conservateur espagnol trouve anormal par exemple qu’une décision importante du gouvernement espagnol soit annoncée par le roi du Maroc, en référence au revirement du 18 mars dernier. « Que le roi du Maroc lise la lettre du président du gouvernement espagnol, par laquelle une politique de 40 ans est modifiée sans en informer l’opposition, ni tenir de débat parlementaire, ni la raison pour laquelle elle n’est pas signalée directement aux Espagnols, c’est une chose inhabituelle qui provoque la réaction de notre allié avec qui nous avons un accord stratégique que j’ai moi-même signé avec le président Abdelaziz Bouteflika en 2003. Nous avons tué cet accord du premier fournisseur de gaz de l’Espagne dans un contexte de crise de l’énergie », a déploré Aznar. Pour lui, l’Espagne va « payer cher » les errements diplomatiques de Pedro Sanchez ».

    Ce qui a été fait diplomatiquement et politiquement en Afrique du Nord est un revers extraordinaire pour l’Espagne, et nous allons le payer cher parce que ces choses dans le monde international ne sont pas gratuites », dit-il. « Nous en payons déjà le prix en termes de manque de crédibilité et de manque de respect et de considération », a-t-il regretté.

    L’Express, 26 juin 2022

    #Algérie #Maroc #Espagne #PedroSanchez #SaharaOccidental

  • Le gouvernement espagnol a sous-estimé la réaction de l’Algérie

    Le gouvernement espagnol a sous-estimé la réaction de l’Algérie

    Espagne, Algérie, Pedro Sanchez, Sahara Occidental, José Maria Aznar,

    En opérant un revirement sur la question du Sahara occidental, mars dernier,  » M. Pedro Sanchez avait sous-estimé  » les réactions en cascade à sa décision et s’est mis tout le monde à dos à commencer par le  » Parlement espagnol, partis politiques et aussi l’opinion publique de son pays « .

    Il a surtout  » sous-estimé la réaction de l’Algérie qui a aussitôt procédé à la suspension, et non à l’annulation, du Traité d’amitié et de bon voisinage signé en 2002 entre l’Algérie et l’Espagne « .

    Ce sont là les termes par lesquels s’est exprimé, hier dimanche, Saïd Ayachi, militant des droits de l’Homme et président du Comité national de soutien et de solidarité avec le peuple sahraoui, lors de son passage à l’émission « L’invité de la rédaction  » de la chaîne 3 de la Radio algérienne.

    M. Ayachi a ajouté que  » d’autres mesures économiques pourraient aussi suivre, non pas contre l’Espagne mais contre M. Sanchez qui a trahi la confiance de l’Algérie et mis à mal son avenir politique « .

    L’invité de la Radio a également évoqué la dénonciation, vendredi dernier, par l’ancien chef du gouvernement espagnol, M. José Maria Aznar, de la politique de M. Sanchez vis à vis du conflit sur la Sahara occidental et de l’Algérie, estimant qu’elle (politique de Sanchez, ndlr) constitue  » une menace pour le fragile équilibre économique et géopolitique de l’Espagne « .

    #Espagne #Algérie #PedroSanchez #SaharaOccidental

  • Marruecos-España: la contrapartida

    Marruecos, España, Melilla, Ceuta, Sahara Occidental, Pedro Sanchez, Emigrantes, subsaharianos,

    La reconciliación entre Marruecos y España se ha conseguido a costa del pueblo saharaui y de los inmigrantes subsaharianos.

    Mientras dejaba pasar a miles de ellos por los enclaves de Ceuta y Melilla, como en mayo de 2021, la policía marroquí hizo un uso desproporcionado de la fuerza el viernes 24 de junio para impedir que los migrantes cruzaran la única frontera terrestre entre África y Europa.

    La fuerza desproporcionada es un eufemismo para referirse al elevadísimo coste humano. La carnicería es más apropiada. Murieron 23 jóvenes de diferentes nacionalidades africanas y decenas más resultaron heridos.

    Los supervivientes fueron tratados de forma inhumana, apilados unos encima de otros en el suelo, según las imágenes difundidas por la Asociación Marroquí de Derechos Humanos (AMDH).

    Las imágenes conmocionaron a personas de todo el mundo. Es posible que los migrantes hayan intentado entrar por la fuerza en el enclave español y que también hayan herido a los agentes de policía, como afirman las autoridades marroquíes, pero no hay justificación para semejante número de víctimas.

    Ni siquiera se sostiene la explicación presentada, a saber, que las víctimas cayeron desde lo alto de la valla de seguridad. Los inmigrantes marroquíes y subsaharianos llevan años escalando la misma valla con regularidad y rara vez se han registrado caídas mortales.

    En mayo de 2021, más de 10.000 migrantes asaltaron el otro enclave de Ceuta y la policía marroquí lo permitió. Mucho ha cambiado en un año, precisamente en las relaciones entre Marruecos y España.

    La crisis entre los dos países alcanzó su punto álgido tras la hospitalización en España del líder del Polisario, Brahim Ghali. Las autoridades marroquíes han tirado entonces del hilo de la migración para forzar la mano de España en la cuestión del Sáhara Occidental. Y el chantaje, denunciado incluso por el Parlamento Europeo, acabará dando sus frutos.

    Cinismo

    El 18 de marzo, pocos días después de otro gran asalto a Melilla, los dos países anunciaron su reconciliación a costa de un giro histórico de Madrid, que rompió con su neutralidad para apoyar el plan de autonomía marroquí.

    La contraparte fue vista el viernes 24 de junio a las puertas de Melilla. Lo sucedido ilustra tanto el cinismo de Marruecos, dispuesto a todo para conseguir su proyecto colonialista en el Sáhara, como el de Europa, ansiosa de que sus fronteras sean vigiladas por otros, « sin ensuciarse las manos ».

    « Marruecos se permite ciertas cosas que no serían aceptables en España », resumió acertadamente el alcalde del enclave español.

    « La causa principal de este desastre es la política migratoria llevada a cabo por la Unión Europea en cooperación con Marruecos », dijo la Asociación Marroquí de Derechos Humanos.

    Además de este acuerdo y el drama que siguió, algunas reacciones que se escuchan en Europa son también impactantes. Empezando por el del presidente del gobierno español, Pedro Sánchez, que exculpó completamente a sus nuevos amigos marroquíes.

    « La gendarmería marroquí había trabajado en coordinación con las fuerzas de seguridad españolas para repeler el asalto violento que presenciamos (…) Si alguien es responsable de lo ocurrido en la frontera, son las mafias que trafican con seres humanos », dijo Sánchez, sin siquiera una palabra de pesar por las vidas humanas perdidas.

    Mientras los gobiernos europeos guardan silencio, las corrientes de extrema derecha claman por la invasión. Este tipo de evento es un regalo del cielo para la parte racista de Europa.

    Como en este tuit de Eric Zemmour: « A las puertas de Europa, en Melilla, en el continente africano, miles de migrantes asaltan la frontera española. Debemos apoyar a España para proteger nuestras naciones ».

    TSA-Algérie, 26 jun 2022

    #España #Marruecos #Melilla #SaharaOccidental #Ceuta #Migración #Subsaharianos #Emigrantes

  • Sanchez, denunciado por comprometer la neutralidad de España

    Pedro Sanchez, España, Sahara Occidental, Liga Española Pro Derechos Humanos, Marruecos, neutralidad,

    La Liga Española Pro Derechos Humanos denuncia contra Sanchez ante la Fiscalía por comprometer la neutralidad de España en el Sahara

    Artículo 591: «El que, durante una guerra en que no intervenga España, ejecutare cualquier acto que comprometa la neutralidad del Estado»

    La Liga Española Pro Derechos Humanos ha presentado esta mañana una denuncia contra el presidente del gobierno, Pedro Sanchez Castejón, ante la Fiscalía General de Estado, por el giro de 180 grados operado en la cuestión del Sahara Occidental, comprometiendo la neutralidad del estado español en un conflicto armado.

    Según la denuncia, Pedro Sanchez habría incurrido en el delito contemplado en el artículo 591 del Código Penal que establece lo siguiente:

    «Con las mismas penas señaladas en el artículo anterior será castigado, en sus respectivos casos, el que, durante una guerra en que no intervenga España, ejecutare cualquier acto que comprometa la neutralidad del Estado o infringiere las disposiciones publicadas por el Gobierno para mantenerla.»

    La pena prevista en el artículo 590 del CP, al que se remite el 591, es la de prisión de ocho a quince años si es autoridad o funcionario, y de cuatro a ocho si no lo es.

    La Liga Española Pro Derechos Humanos entiende que «el acto de comunicación oficial del presidente del gobierno dando su conformidad a una propuesta unilateral de una parte del conflicto armado hecha explícita ya en el año 2007, contraría la Resolución de Naciones Unidas de 1970 que está en la base de la recomendación de su Asamblea General a los estados miembros para que no reconozcan la anexión pretendida por el reino de Marruecos desde la ocupación militar de parte del territorio saharaui desde 1975″.

    La denuncia entiende que Pedro Sánchez compromete indebidamente la neutralidad de España en la guerra que desde noviembre de 2020 mantienen el Frente Polisario y el reino de Marruecos.

    Además. piden abrir diligencias informativas para deducir otras responsabilidades en la toma de decisión adoptada en el nombre del estado español, «por exceder, con toda probabilidad, las competencias y atribuciones que para el presidente del Gobierno y los ministros establecen los artículos 2 y 4 de la Ley del Gobierno 50/1997.»

    Es decir, según los autores, Pedro Sánchez habría contravenido la propia ley del gobierno a la hora de adoptar unilateralmente la decisión de romper la neutralidad española en favor del as pretensiones marroquíes.

    #España #Marruecos #SaharaOccidental #PedroSanchez #Neutralidad

  • Algérie-Espagne : le cri de détresse des patrons espagnols

    Algérie-Espagne : le cri de détresse des patrons espagnols

    Algérie, Espagne, économie, entrepreneur espagnols, CEOE, Pedro Sanchez,

    Les hommes d’affaire espagnols montent au créneau et exhorte le gouvernement Sanchez à résoudre « de toute urgence » la crise avec Alger. C’est le président de l’association CEOE des patrons qui regroupe environ 240 organisations professionnelles, Antonio Garamendi, qui tire la sonnette d’alarme.

    Intervenant hier lors du 39ème séminaire de de l’association des journalistes économique (APIE), M.Garamendi a demandé au gouvernement espagnol de « régler en urgence le problème avec l’Algérie ». Pour lui, les retombés économiques de la crise avec l’Algérie sur les entreprises espagnoles sont « désastreux ». Il a déclaré que les ventes des entreprises ibériques à l’Algérie représentent 4 milliards de dollars.

    Les inquiétudes des hommes d’affaire

    Les hommes d’affaire espagnols sont « très inquiets » de la détérioration des relations commerciales avec l’Algérie. C’est du moins ce que laisse entendre le chef des patrons ibériques. «C’est les petites et moyennes entreprises, qui sont brutalement touchées », a-t-il avertit.

    Pour résoudre les problèmes immédiats induits par l’aventureuse décision du gouvernement Sanchez de s’aligner sur la thèse colonialiste du Maroc concernant le dossier du Sahara Occidental, M. Garamendi a souligné que « des réunions entre le ministère des affaires étrangères espagnol et les patrons des secteurs touchés ont été organisées afin d’effectuer les paiements en souffrance avant la date du 9 juin ». Le patron des patrons a mis en garde les autorités espagnoles en rappelant que « l’Algérie est un pays très important pour l’Espagne » .Pour lui, le problème « ne va pas être résolu en quelques jours », ce qui impactera les entreprises espagnoles pour une durée encore plus longue.

    La crise entre Alger et Madrid impacte fortement le climat économique en Espagne contrairement aux rassurances de gouvernement Sanchez. La diplomatie algérienne a déjà expliqué que les relations entre les deux pays ne seront plus comme avant tant que l’Espagne ne respecte plus le droit international dans le dossier du Sahara Occidental.

    L’Algérie aujourd’hui, 22 juin 2022

    #Algérie #Espagne #PedroSanchez #CEOE

  • España-Argelia: ¿A qué juega el gobierno de Sánchez?

    España, Argelia, Pedro Sanchez, Marruecos, Sahara Occidental, Tratado de Amistad buena Vecindad y Cooperación, UE, Rusia,

    Argelia es objeto de una ofensiva sin precedentes por parte de España, que cobra fuerza tras la decisión de nuestro país de suspender el Tratado Argelino-Español de Amistad, Buena Vecindad y Cooperación en respuesta a la despreciable traición del jefe de gobierno español, Pedro Sánchez, en relación con el Sáhara Occidental. Sánchez no sólo ha vendido el Sáhara Occidental al ocupante marroquí, pisoteando las resoluciones de la ONU en el proceso, sino que se ha jactado de ello en el parlamento español. Ya sorprendió el giro de España sobre la autodeterminación del Sáhara Occidental, y se vio la mano del majzén marroquí, que espió los teléfonos móviles de Sánchez y de otros dirigentes europeos a través del programa informático israelí Pegasus, que los marroquíes utilizan como un juego. Muchos españoles exigen que se revelen los datos grabados en el teléfono del presidente del Gobierno, pero, al igual que Ursula von der Leyen, es muy probable que Sánchez haya borrado todo lo que era comprometedor.

    José Manuel Albares, ministro de Asuntos Exteriores del Gobierno de Sánchez, canceló un viaje a Estados Unidos e inmediatamente fue a Bruselas a llorar en el seno de Josep Borrell, jefe de la diplomacia europea y otro socialista español, pidiendo la solidaridad europea con una España « agredida » por su vecino argelino, y afirmando que Argelia había recibido instrucciones de Rusia durante la visita de Sergei Lavrov para tomar medidas contra las empresas españolas. Esta aberración se ha convertido en el credo del gobierno español, ya que la ministra de Economía, Nadia Calvino, declaró en Radio Catalunya el 13 de junio: « Vi en su momento que Argelia estaba cada vez más alineada con Rusia, por lo que esta decisión de suspender el tratado no me sorprendió. Nos gustaría decirles a estos « grandes » políticos que Argelia no recibe órdenes de nadie, que es un país soberano y que luchó durante ocho largos años contra el colonialismo francés y su ejército apoyado por la OTAN para conquistar su independencia, que lo que une a Argelia con Rusia, como con China por cierto, es una amistad de larga data y no es ciertamente el signo de ninguna sumisión, A diferencia de ustedes, señoras y señores, cuya nación se inclinó ante un dictador fascista, el siniestro Franco, aliado de Adolf Hitler y Benito Mussolini, que masacró a los republicanos y a los comunistas españoles y cuyo suelo español lleva muchas cicatrices, como puede verse en la multitud de fosas comunes que se descubren regularmente. El famoso cuadro de Pablo Picasso « Guernica » es un testimonio de la alianza fascista entre España, Alemania e Italia que permitió el bombardeo de la ciudad de Guernica, en el norte de España, el 26 de abril de 1937, por las fuerzas aéreas alemanas e italianas unidas a la llamada de Franco.

    Como recordatorio histórico, su Caudillo Franco había hecho de su país un refugio para todos los canallas nazis y fascistas del mundo, entre ellos el General Raoul Salan, Jean-Jacques Susini, Pierre Lagaillarde y Joseph Ortiz, donde crearon la Organización Armada Secreta (OAS) que masacró al pueblo argelino y cometió atentados en Francia. Todos los dictadores en la bota de los yanquis siempre han sido apoyados por el Madrid, es una larga tradición en su país. En su prestigiosa historia, no podemos ignorar la legendaria corrupción de su Rey Juan Carlos, sucesor designado de Franco, una corrupción que le obligó a exiliarse en los Emiratos Árabes Unidos, donde vive una vejez dorada, gracias a las comisiones ocultas de decenas de millones de euros que han ido a parar a sus cuentas bancarias en paraísos fiscales, por no hablar de sus safaris en África con su amante, mientras el pueblo español sufría una política de austeridad por una grave crisis económica. Nos detendremos en este punto para mencionar a la familia real española, que no es nada gloriosa.

    Es interesante señalar que José Manuel Albares fue nombrado ministro de Asuntos Exteriores en julio de 2021 en sustitución de Arancha González Laya, que fue destituida por presiones del majzén marroquí por haber aceptado recibir al presidente saharaui, Brahim Ghali, en territorio español, cuando vino a ser atendido en una clínica de Zaragoza.

    La misión de Albares era revitalizar las relaciones entre Marruecos y España, y se puede decir que la ha cumplido con creces, ya que Pedro Sánchez ha dado un giro completo y ha vendido el destino del pueblo saharaui a Marruecos, ignorando soberbiamente las resoluciones de la ONU y la posición oficial de España durante décadas. Está claro que la España de Sánchez baila al son de la taârija del marroquí Majzen. Señoras y señores de la política española, son ustedes libres de hacer la danza del vientre para complacer al depravado rey de Marruecos si quieren. Y si a Josep Borrell también le gusta contonearse para complacer al reino del cannabis y la pedofilia, que lo haga, pero que no dé lecciones a Argelia.

    No nos sirven sus amenazas. La declaración europea asegurando que la UE estaba « preparada para afrontar cualquier tipo de medida coercitiva aplicada a un Estado miembro » no nos impresiona y además la respuesta de Argel no se hizo esperar a través del Ministerio de Asuntos Exteriores que acusó al jefe de la diplomacia de la Comisión de privilegiar los intereses de España en detrimento de los de Europa.
    Borrell es conocido por su diplomacia de espaldas, su arrogancia y sus muchos cacharros. En este sentido, parece que los organismos europeos son los armarios de los políticos que han mostrado « indelicadeza » durante sus mandatos en su país de origen. Nuestro artículo sobre la jefa de la Comisión Europea, Ursula von der Leyen, es bastante explícito al respecto. En cualquier caso, en el recetario que sigue Borrell se menciona el uso de información privilegiada, por el que fue multado con 30.000 euros, un escándalo de fraude, etc. 30.000 euros de multa, un escándalo de fraude fiscal, verse obligado a dimitir por un caso de conflicto de intereses cuando era presidente del Instituto Universitario Europeo de Florencia, y varias declaraciones inoportunas como su tuit a su regreso de Kiev y Boutcha (Ucrania), el 8 de abril: « Esta guerra debe ganarse en el campo de batalla », o « Nosotros ponemos las armas, el ejército ruso pone los muertos », y en 2018: « los americanos sólo tuvieron que matar a cuatro indios para conseguir la independencia ».

    Informamos a Josep Borrell, en relación con el genocidio de las naciones indias americanas, que aproximadamente 12 millones de nativos murieron dentro de las actuales fronteras geográficas de los Estados Unidos entre 1492 y 1900, según Russell Thornton, antropólogo estadounidense de la nación cherokee y profesor de antropología en la Universidad de California en Los Ángeles, en su libro « Holocausto y supervivencia de los indios americanos: una historia de la población desde 1492 ». En cuanto a la guerra de Ucrania, sí, señor Borrell, tiene usted razón, esta guerra se ganará en el campo de batalla, pero no por sus amigos nazis, y pronto, le guste o no, Ucrania dejará de existir y ni siquiera se planteará la cuestión de su entrada en Europa. Los ciudadanos de Europa apreciarán el hecho de que usted y su corrupta líder von der Leyen hayan invertido millones de euros de sus impuestos en una guerra que está perdida de antemano. No todo el mundo puede ser un señor de la guerra, señor Borrell, y los cadáveres suministrados por el ejército ruso son culpa suya, porque usted y la furia que dirige la Comisión Europea han hecho todo lo posible para suministrar esta guerra con dinero y armas.

    Respecto a la imperiosidad del actual Gobierno español, José Manuel García-Margallo, eurodiputado y ex ministro de Asuntos Exteriores del Gobierno de Rajoy, criticó duramente a Sánchez en la cadena española Telecinco y dijo que era un error ir a quejarse a la Unión Europea. También dijo que la crisis diplomática con Argelia era el « mayor desastre diplomático de España desde 1975 », y añadió que « el problema no es España, sino Sánchez ». Otra política española, Inés Arrimadas, líder del partido político español Ciudadanos, calificó a Pedro Sánchez de « peligro público en La Moncloa » en una entrevista publicada por La Razón. Otro ejemplo del desacuerdo de la clase política española con Sánchez es el ex embajador de España en Argelia, Javier Jiménez Ugarte, quien dijo: « Esta es una crisis de proporciones inimaginables. A mi edad, es la primera vez que vivo una crisis de este tipo » y « Ha faltado diálogo y consulta a todos los niveles antes de la decisión del jefe de gobierno Pedro Sánchez », añadió, en relación con la marcha atrás de España en su posición sobre el Sáhara Occidental, una decisión que ha dañado « la amistad que tenemos con Argelia desde hace muchos años ».

    Está claro que la política suicida del Gobierno de Sánchez está llevando a España directamente a la quiebra y Pedro Sánchez es muy criticado por la oposición pero también por los ciudadanos españoles que piden su dimisión. Además, la legítima decisión de congelar todos los débitos bancarios por operaciones de comercio exterior de bienes o servicios procedentes o con destino a España, decretada por el gobierno argelino como reacción al atentado español, está provocando las primeras repercusiones económicas en las empresas y la economía españolas, por ejemplo, la naviera española Baleària que une los puertos de Valencia y Mostaganem está paralizada. ¿Cuántas empresas y trabajadores españoles sufrirán la ceguera de su gobierno y de una oligarquía occidental degenerada que no se preocupa por el bienestar de sus ciudadanos y hunde a poblaciones enteras en la precariedad mientras ellos disfrutan de sus muchos privilegios y fastuosos sueldos? Poblaciones enteras están sumidas en la miseria total por culpa de las políticas criminales y las acciones irresponsables de una minoría oligárquica en el poder.

    Y, de hecho, el gobierno de Sánchez no resistirá la presión. Acusar a Argelia de obedecer a una agenda rusa, con el telón de fondo de la crisis ucraniana, como demuestran las palabras de los líderes políticos de España y Europa, demuestra que nuestro país es un objetivo del imperio y que la agenda inicial que se desarrolla actualmente en Ucrania era debilitar a Rusia para luego ir a por China y después a por Argelia. Pero el imperio ha juzgado mal la fuerza de Rusia porque está ganando militar y económicamente. Sin embargo, los designios del imperio son claramente perceptibles en las palabras de los líderes occidentales y les agradecemos que nos ilustren. El cerco y los complots contra nuestro país no impedirán que Argelia sea un actor importante a nivel internacional y que tenga muchos socios y amigos de confianza en todo el mundo.

    Y advertimos al gobierno de Sánchez que si sigue su curso autodestructivo atacando a nuestro país, Argelia cortará el gas y sumirá a España en la Edad Media, tal como castigó a Marruecos.
    Quien pretenda perjudicarnos, ya sea España o sus títeres marroquíes, debe saber que nuestro ejército no es un ejército de chatarra, los recientes ejercicios en Tinduf deberían persuadir a nuestros potenciales enemigos.

    Los sueños y las fantasías del imperio para dislocar naciones se están haciendo añicos en Ucrania y correrán la misma suerte si por casualidad atacan a Argelia, que constituye una muralla impenetrable. Argelia y su ejército seguirán siendo una roca invencible para nuestros enemigos, sean quienes sean, ¡que se sepa!

    Mohsen Abdelmoumen

    La Nouvelle République, 21 jun 2022

    #España #Argelia #Albares #PedroSanchez #UE #Rusia #SaharaOccidental #Marruecos


  • Argelia-España: el retrato mordaz de José Manuel Albares

    España, Argelia, José Manuel Albares, Union Europea, Pedro Sanchez, OTAN, Josep Borrell,

    Daños colaterales de la crisis política entre Argelia y España, surgida el pasado mes de marzo, por el cambio de postura del Gobierno-Sánchez respecto a la causa saharaui, la diplomacia española expuso a plena luz las fallas del asunto, difíciles de contradecir.

    Hay que decir que la brillantez, sobre todo la firmeza y actualidad de la respuesta de Argel a un decomiso consumado, había derrocado rápidamente al Ejecutivo español y a sus eminencias grises, dejándoles poco margen de maniobra, por lo demás gesticulaciones “con el carácter grotesco de lo diplomático”. espectáculo”, según los términos de la agencia oficial Aps.

    En esta línea, la Aps partió, desde ayer, un mordaz retrato del jefe de la diplomacia española, José Manuel Albares.

    El comentario, titulado  »Sobre la embestida del incendiario Albares », se dedica a una vapulea formal, poniendo inmediatamente en duda las capacidades de « un diplomático indigno » de este gran país mediterráneo « y de su gran pueblo que siempre ha inspirado respeto » destaca la escritura en una sutil distinción.

    Y para continuar, implacable, avanzando que “M. Albares, que irrumpió en la diplomacia y nunca se quedó sin pifias, logró (¡hay que reconocerlo!) manipular a un compatriota, compañero de partido, exministro de Relaciones Exteriores de su estado y hoy al frente de las relaciones exteriores de la Unión Europea, para empañar tristemente la credibilidad de esta importantísima institución comunitaria, mediante la publicación de un comunicado sin fundamento contra Argelia », se revela minuciosamente.

    Reduciéndolo, prácticamente, a la etapa de la caricatura, el editor de la diatriba destaca « la declaración guiñolesca », escribió « realizada el mismo día en la explanada de la Comisión de la UE, llamando, incluso insinuando a las autoridades argelinas a dialogar, y esto con un lenguaje de contornos irreverentes y sobre todo indigno de su función ».

    O incluso su « lastimero llamamiento a Estados Unidos y la OTAN para rescatar a un pequeño ministro abrumado por su propia bajeza, después de haber intentado en vano movilizar a la Unión Europea y esto agitando al espantapájaros ruso para convencer a sus pares europeos de estar a su lado ». . ¡Se ha dicho misa!

    ¿El réquiem también? Pieza de antología, para el epílogo: “La historia no retendrá mucho de Albares, porque nada grande nace de la pequeñez. Al agudizar la crisis entre Argelia y España y envolverla en un lenguaje tomado de la Guerra Fría, Albares tampoco crece”, concluye el panfleto.

    AN24News, 15 jun 2022

    #Argelia #España #Albares #Rusia #OTAN #UE #EEUU #PedroSanchez


  • « Le Maroc a des informations sur la femme de Sanchez »

    « Le Maroc a des informations sur la femme de Sanchez »

    Maroc, Espagne, Pedro Sanchez, Begoña Gómez,

    La CEOE qualifie de « brutale » une possible fermeture des marchés en Algérie, avec 4.000 millions de chiffre d’affaires

    Cette semaine, la crise diplomatique entre l’Espagne et l’Algérie a connu son développement le plus dramatique. Une crise énergétique anthologique se profile, non seulement pour la péninsule ibérique mais, par effet domino, pour toute l’Europe occidentale. Ce ne serait pas la conséquence du conflit russo-ukrainien, mais le résultat de l’escalade soudaine des relations entre deux Etats, l’Algérie, et le Maroc, qui se détestent depuis des décennies et dont la doctrine de défense est fondamentalement basée sur la protection mutuelle. Deuxièmement, sur les revendications de légitimité concernant le Sahara occidental, occupé par le Maroc depuis 1975.

    Cependant, avec une accélération soudaine depuis la reconnaissance de la légitimité marocaine sur le Sahara occidental par Donald Trump, comme l’un de ses derniers actes en politique étrangère. Mesure ratifiée par Joe Biden. La question des écoutes marocaines des membres du gouvernement algérien, lors du « Hirak » (révolte de 2019) n’a pas du tout aidé. Ces travaux sont réalisés selon la technique israélienne Pegasus. Elles sont largement médiatisées par la presse internationale. L’Algérie réagit en coupant le gazoduc Euromed, dont une partie passe par le territoire marocain. Pour le Maroc, c’est un déficit d’environ 300 millions d’euros. Les points de comparaison avec le conflit russo-ukrainien sont également très nombreux. Tant en ce qui concerne la question du rôle du gazoduc.

    La rupture des relations diplomatiques entre les deux États du Maghreb a été consommée, unilatéralement, par l’Algérie le 24 août 2021. Cependant, l’Espagne, jusqu’en mars 2022, tente de maintenir sa neutralité traditionnelle, malgré les pressions exercées sur l’ancienne puissance coloniale par le Maroc et les États-Unis. En mars 2022, un événement vient rompre cette neutralité qui bouleverse la situation. Le 18 mars 2022, Pedro Sánchez entérine la politique annexionniste de Mohamed VI sur le Sahara occidental, en utilisant trois superlatifs :  » la formule la plus sérieuse, réaliste et crédible « . Cet investissement est au centre de toutes les spéculations. Il s’agit de comprendre ce qui s’est passé, pour justifier à lui seul une telle mesure, notamment sur les conséquences pour l’économie espagnole.

    Il a fallu attendre un peu moins de trois mois pour savoir quelle forme prendrait la colère d’Alger. Mercredi dernier, l’Algérie a décidé de suspendre le traité d’amitié bilatéral avec l’Espagne, conclu en octobre 2002, de retirer son ambassadeur, de geler les opérations bancaires de son ancien partenaire. Mais le plus excitant concerne l’embargo sur l’approvisionnement en gaz.

    Cette crise est considérée par l’ensemble du spectre politique espagnol comme une « catastrophe diplomatique » sans précédent, pour reprendre l’expression de l’ancien Premier ministre José María Aznar (Parti populaire, centre-droit). Les expressions d’étonnement envahissent la presse : « grande idiotie », « absurdité », etc. La question qui taraude les esprits depuis lors est la suivante : qu’est-ce qui a pris à Pedro Sánchez, de mettre l’Espagne dans une telle situation de détresse, de fermer la porte à son principal partenaire énergétique, de rejoindre les objectifs du Maroc, vis-à-vis de qui ? Et dont les excellentes relations se limitent au cadre strictement personnel des deux familles régnantes, les Bourbons et les Alaouites ?

    Une explication politique aurait pu être celle de l’ambition personnelle de Pedro Sánchez qui sait que son avenir politique en Espagne est plus que compromis et pour qui la poussée ultra-atlantique, donc marocaine, serait une garantie de  » relocalisation « , probablement, de la présidence du Conseil européen. Cela serait cohérent avec son choix de virer son ancienne FMArancha González Laya et de choisir José Manuel Albares, un FMA nettement plus atlantiste. González prend le chapeau pour la question de l’asile temporaire accordé à BrahimGhali, président de la « République arabe sahraouie démocratique » (RASD) autoproclamée, bien que soutenue par l’Algérie. Ghali était venu en Espagne pour se faire soigner en 2021.

    Mais une autre explication émerge. Celle des écoutes téléphoniques, la même que pour l’Algérie. Pedro Sánchez a déclaré au plus fort de la crise hispano-marocaine que son téléphone et celui de certains de ses ministres avaient été piratés par le système Pegasus. Or, parmi les conversations téléphoniques, il y aurait des informations très compromettantes sur la corruption et le népotisme de son gouvernement. Certaines d’entre elles impliquant sa femme. Cette écoute aurait pu influencer Sánchez vers un virage à 180 degrés en faveur du Maroc. Les journaux La Razón et El Mundo sont parmi les titres qui évoquent la responsabilité directe des services marocains dans la réalisation de ces écoutes illégales. Le PP a demandé la création d’une commission ad hoc sur les écoutes de Pegasus et leur éventuel impact sur la décision de Pedro Sánchez.

    Jusqu’en 2021, l’Algérie était le principal fournisseur de gaz de l’Espagne. Fin 2021, après la fermeture de son gazoduc qui passe par le Maroc, l’Algérie avait pris l’initiative de garantir à l’Espagne l’augmentation de ses exportations par le gazoduc Medgaz, atteignant directement les côtes de la province d’Almería. En outre, Alger s’était engagée à fournir par bateau, sans frais supplémentaires, les matières résiduelles qui ne pouvaient pas passer par le gazoduc. D’où le fait que l’Algérie est objectivement abasourdie.

    En 2021, l’Espagne dépendait à 42,7% du gaz algérien (source Enargas). Depuis la retraite de Pedro Sánchez, les États-Unis ont remplacé l’Algérie en moins de trois mois, passant à 43% de gaz américain (fraking) contre 30% en Algérie. Mais le gaz américain coûte en moyenne 40% plus cher que le gaz algérien.

    Face à la menace d’une résiliation unilatérale des accords commerciaux entre l’Algérie et l’Espagne, le gouvernement de Pedro Sánchez a tenté de donner une tournure européenne à la crise. Avec un certain succès. La rupture avec l’Espagne serait interprétée, selon Ursula von der Leyen, comme une rupture de confiance avec l’ensemble de l’UE. Vendredi, M. Albares a rencontré le responsable de la politique commerciale de l’UE, Valdis Dombrovskis. Pour la partie espagnole, une rupture unilatérale devrait être dénoncée devant un tribunal arbitral international.

    Le soutien européen semble avoir eu un certain effet sur le gouvernement algérien, dont le représentant pour faire face à cette crise, l’ancien ambassadeur en Espagne, architecte de l’accord euro-méditerranéen de 2005, Mohamed Haneche, ne manque aucune occasion de se moquer du gouvernement espagnol. et de se moquer des autorités de l’UE, notamment JosepBorell. Toutefois, M. Haneche a déclaré vendredi qu’il n’était pas question de suspendre les livraisons, ce qui signifie un répit relatif.

    El Diario Alerta, 22 juin 2022

    #Espagne #Algérie #Maroc #SaharaOccidental #PedroSanchez #Gaz #UE

  • Elections andalouses : nouveau revers pour le PSOE  

    Elections andalouses : nouveau revers pour le PSOE  

    Espagne, élections régionales, Andalousie, PSOE, PP, Pedro Sanchez,

    Les socialistes du Premier ministre espagnol Pedro Sanchez ont essuyé dimanche un nouveau revers électoral dans leur ancien fief d’Andalousie (sud), un scrutin régional clé qui place la droite en position de force à un an et demi des prochaines élections nationales.

    Selon des résultats quasi définitifs, le Parti populaire (PP, droite) – dont le candidat Juan Manuel Moreno préside la région depuis 2018 – a plus que doublé son score d’il y a quatre ans et obtenu la majorité absolue au Parlement andalou avec 58 sièges sur 109.

    Le Parti socialiste (PSOE) a lui obtenu 30 sièges contre 33 en 2018, le pire résultat de son histoire dans la région, tandis que la gauche radicale, avec qui il gouverne à Madrid, s’est effondrée (sept sièges contre 17).

    Cette victoire « historique » du PP en Andalousie va lui permettre de ne pas avoir à dépendre de l’extrême droite et place son nouveau chef, le modéré Alberto Nunez Feijoo, en position de force en vue des prochaines élections nationales prévues fin 2023.

    « Ce triomphe est celui de la modération et d’une autre façon de faire de la politique et c’est une très bonne chose pour toute l’Espagne », a lancé la numéro deux du parti conservateur, Cuca Gamarra.

    En gagnant en Andalousie, le PP inflige un troisième revers consécutif à la gauche espagnole lors d’un scrutin régional, après celui de Madrid en mai 2021 et celui de Castille-et-Léon en février.

    APS

    #Espagne #Elections_régionales #Andalousie #PSOE #PedroSanchez