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  • Maroc : Mohamed Ziane appelle à l’abdication du roi

    Maroc : Mohamed Ziane appelle à l’abdication du roi

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    Dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, l’ancien ministre marocain des droits de l’homme Mohamed Ziane a appelé à l’abdication du roi Mohammed VI au profit du prince héritier Hassan III, agé actuellement de 20 ans.

    L’ancien ministre s’interroge sur la personne qui dirige actuellement le Maroc indiquant que cette situation est inacceptable dans laquelle « le roi est en colère ou malade. En tout cas, absent. »

    « Le roi est absent, dit-il, mais il y a le prince héritier, tout est clair. Cela permettra au roi de se reposer et à la monarchie d’assumer ses responsabilités. Si le roi a envie de vivre sa vie, c’est son droit.. Nous voulons sortir de l’ambigüité et nous voulons savoir qui gouverne le Maroc. Ce n’est pas Moulay Rachid parce que ce dernier se trouve aux Etats-Unis et en Angleterre».

    « Est-ce que vous nous considérez comme des bêtes ? Quelle considération avez-vous pour nous ? Dites-nous ce qui se passe ! », se révolte-t-il.

    S’adressant à ceux qui dirigent le pays à la place du roi, Mohamed Ziane dit : « Voulez-vous nous prouver que la monarchie n’est pas indispensable ? Est-ce l’idée que vous voulez véhiculer ?. C’est ainsi que je vois les choses ! ».

    « Pour l’instant, je ne souhaite pas donner des noms, je ne veux pas dire qui dirige le pays, l’économie, le sécurité, la politique…, a-t-il ajouté.

    Pour rappel, le roi Mohammed VI se trouve en France depuis le 1er juin et de nombreuses interrogations se posent sur les raisons d’une absence si longue du souverain marocain.

    #Maroc #MohammedVI #Mohamed_Ziane #Monarchie

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=64TQrQoVCVk&w=560&h=315]
  • Le roi du Maroc ou la nostalgie pour le train de vie princier

    Le roi du Maroc ou la nostalgie pour le train de vie princier

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    Au moment où le Maroc vit une situation économique des plus difficiles causée par un recul des exportations agricoles et de mauvais choix de stratégie économique, le roi Mohammed VI s’est éclipsé de la scène ouvrant la voie à toutes les supputations quant à sa capacité à diriger les affaires du pays.

    Il y a quelques jours, le journal espagnol « El Independiente», avait affirmé que M6 a pris du recul par rapport à la gestion des affaires de son pays pour reprendre le train de vie princière qu’il avait avant son intronisation. Ce quotidien avait même laissé entendre l’éventualité de le voir abdiquer pour céder le trône à son fils Hassan III. Cette éventualité avait même créé des remous dans le cercle de la famille royale et poussé le premier conseiller du roi, André Azoulay à placer en résidence surveillée le frère de M6, Moulay Rachid et à éloigner du palais royal la princesse Lalla Hasna. L’ambiance des réunions du conseil de la famille royale est même devenue électrique ces derniers temps et les rapports entre le prince héritier Hassan III et son oncle Moulay s’étaient tendus.

    Mais ce qui laisse supposer à un changement des rapports de force dans le proche entourage de la famille royale est la présence de Moulay Rachid aux obsèques de la reine Elisabeth II à Londres. L’événement auquel ont assisté les Chefs d’Etats et les têtes couronnées du monde, aurait dû connaitre la présence de M6 ou du prince héritier selon les us établis par le palais royal marocain et la présence de Moulay Rachid constitue un indice qui pourrait annoncer de profonds changements qui interviendraient dans le palais.

    Cet effacement du roi de la scène politique de son pays, puisqu’il n’a plus donné signe de vie, depuis son discours à l’occasion de la fête du trône, intervient alors que la scène sociale connait des remous et des tensions générées par la cherté de la vie et le recul du niveau de vie qui a jeté dans la pauvreté de larges couches de la société marocaine. Actuellement, la classe moyenne qui servait de tampon entre les laissés pour compte et les riches proches de la famille royale et le makhzen, est en train de connaître une crise des plus lancinantes. Elle ne pourrait plus tenir le rôle de paravent qui permettait au palais de vanter les mérites de sa politique économique. Et les jours à venir risquent d’être encore plus difficiles pour le peuple marocain qui voit les oligarques, soutenus par le Makhzen, s’enrichir encore plus et lui sombrer dans la paupérisation.

    Il faut savoir que cette situation difficile s’est accentuée depuis l’arrivée des hommes d’affaires israéliens qui ont favorisé le lancement de projets peu productifs en matière d’offres d’emploi et soutenus par des facilitations fiscales et autres qui ont réduit les ressources pour le trésor public.

    La crise économique, générée par la pandémie et ses effets, n’a fait qu’accentuer encore plus le fossé entre une minorité de riches et une majorité de pauvres qui peine aujourd’hui à subvenir à ses moindres besoins.

    Dans ce contexte, il faut rappeler également le recul de la production agricole destinée à l’exportation. Une faible pluviométrie et des choix de production ont agi sur le volume des exportations. Un chargé de mission auprès du ministère de l’agriculture marocain a expliqué ce recul par la chute du niveau statique des nappes phréatiques de 3 à 7 mètres, une chute du volume des eaux stockées dans les barrages et par la sécheresse qui a connu ses niveaux les plus élevés au cours des trente dernières années.

    De plus, la culture du cannabis, qui nécessite beaucoup d’eau, a poussé de nombreux agriculteurs à délaisser les autres produits à l’instar des agrumes concurrencés sur le marché européen par l’orange d’Espagne et celle produite en Israël, dans les territoires occupés, connue sous l’appellation d’orange de Jaffa.

    Le Maroc est sur une poudrière et les mauvais choix politiques de son gouvernement et la fuite en avant du palais et son makhzen risquent de coûter encore plus cher au peuple marocain qui agite la menace de l’explosion sociale si des solutions urgentes ne sont pas apportées.

    #Maroc #MohammedVI #Trône

  • Espagne: Rumeurs sur la princesse Leonor et Moulay El Hassan

    Espagne: Rumeurs sur la princesse Leonor et Moulay El Hassan

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    Un bijou éveille les soupçons : la cour entre la princesse Leonor et le prince du Maroc ?
    La fille des rois porte un mystérieux collier avec le mot « amour » écrit en arabe et alimente les rumeurs

    Le roi et la reine d’Espagne ont visité la Cartuja de Valldemossa ce lundi 1er août dernier. Accompagnées de leurs filles, la princesse des Asturies et l’infante Sofía, elles exécutaient chaque été la pose traditionnelle, profitant de la visite à Valldemossa qu’elles effectuaient ce premier après-midi d’août.

    Cette rencontre avec la presse est devenue le premier acte officiel dans lequel les quatre membres de la famille royale ont été vus ensemble depuis leur arrivée à Majorque. Les vacances d’été du roi et de la reine d’Espagne sont toujours accompagnées d’une multitude d’événements publics, un programme qui a commencé avec la réception par Felipe VI au Palais de l’Almudaina des autorités de la région.

    Mais cette auberge d’été déjà traditionnelle de toute la famille royale a apporté une « gueule de bois » insoupçonnée. Les projecteurs étaient braqués sur l’héritière d’Espagne, la princesse des Asturies, et elle portait une robe courte rose pâle à bretelles, une tenue qui permettait de voir facilement un pendentif saisissant qu’elle portait avec le mot « amour » écrit en arabe.

    À partir de ce moment, comme l’a vérifié Periodista Digital, dans les cercles proches de la Maison Royale, les spéculations et les questions ont commencé à monter en flèche. La relation d’amitié intime entre Leonor et un jeune brésilien avec qui elle était liée est bien connue. Un jeune homme d’un an son aîné. Le garçon brésilien, qui a été photographié à leur arrivée du Pays de Galles, était lié à la princesse. Serait-ce un cadeau de l’ami et partenaire de Leonor ?

    C’est peut-être oui, mais les clichés des spéculations, certaines sources consultées par PD les jugent « malveillantes », laissent entendre que le message pourrait être adressé à Moulay Hassan, le fils du roi Mohamed VI et héritier du trône marocain, un jeune homme qui aurait donné le collier à son partenaire ‘royal’.

    S’agit-il simplement de spéculations et de rumeurs, ou y a-t-il quelque chose de plus? Les sources consultées par Periodista Digital minimisent certaines publications ou blogs numériques qui affirment que le message d’amour de la princesse Leonor était directement adressé au fils de Mohamed VI. Mais ils ne l’excluent pas d’emblée.

    On ne sait pas si les deux ont eu des rencontres privées mais numériques, car El Español a récemment fait une comparaison des deux héritiers et a assuré qu’ils étaient quelque chose comme des âmes sœurs :

    « La princesse des Asturies et le prince Moulay Hassan du Maroc ont plus en commun que vous ne le pensez. Nés à deux ans et demi d’intervalle, tous deux sont appelés à être roi de leur pays, ils sont les héritiers du trône de leur pays et sont premiers dans l’ordre de succession car étant le premier-né des rois.

    «Mais, au-delà de l’évidence, il y a quelque chose qui relie directement ces deux jeunes royaux, dont le destin dynastique est le même, mais dont l’enfance et l’adolescence ont été radicalement différentes. Une union inattendue qui transcende après des années d’analyse exhaustive des gestes, gestes et comportements des princes en public, ainsi que quelques informations et aussi des avis d’experts de la Maison Royale espagnole et alaouite. Leonor et Moulay vivent, agissent et interagissent sous l’influence de leurs mères. Des journalistes locaux experts de la première famille alaouite affirment que la figure de l’ex-épouse du souverain est déterminante dans les décisions personnelles et institutionnelles de son fils ».

    Periodista digital, 16/08/2022

    #Maroc #Espagne #Prince_héritier #Princesse_Léonor #Collier

  • Maroc. Hassan III, un successeur contesté

    Maroc. Hassan III, un successeur contesté

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    L’imperméabilité légendaire des murs du palais royal de Rabat est mise à rude épreuve à mesure que s’esquissent les éléments du crucial débat sur la désignation du futur héritier d’un trône auquel ne doit pas accéder le fils de Mohammed VI, selon les membres de la famille royale.

    Des influenceurs marocains, en exil, activant sur les réseaux sociaux, évoquent d’ailleurs à présent la question ouvertement et décrivent toute l’hostilité des princesses à l’encontre de l’héritier…

    Abla Chérif – Alger (Le Soir) .- Les informations foisonnent à souhait à travers le Maroc et bien au-delà des frontières où la contestation que mènent les sœurs de Mohammed VI pour empêcher l’accession de Hassan III au titre de roi devient presque sujet public. Des influenceurs marocains, en exil, activant sur les réseaux sociaux, évoquent d’ailleurs à présent la question ouvertement et décrivent toute l’hostilité des princesses à l’encontre de l’héritier, sur la question de la succession principalement.

    Les fins connaisseurs du dossier marocain hésitent à expliquer cette attitude par une quelconque relation avec leur animosité à l’encontre de la princesse Lalla Selma, séparée du roi depuis 2019. Cette situation est davantage mise sur le compte de la personnalité de Hassan III et son aptitude à prendre les rênes du pays. À dix-neuf ans, le fils unique de Mohammed VI a déjà alimenté de nombreuses polémiques sur sa manière de percevoir les us et coutumes de la royauté en se montrant notamment réfractaire au sacro-saint baisemain. À quatorze ans, des photos et vidéos le montrant retirer sa main ou refuser de la tendre aux ministres et membres de la cour lors de cérémonies officielles ont fait le tour du monde. Elles ont été surtout commentées et perçues comme étant le reflet évident de la personnalité que dégage un « enfant gâté, secoué par le divorce de ses parents et surtout projeté dans les milieux officiels sans avoir montré sa disposition ou prédisposition à se plier aux règles royales comme l’ont fait son père et les autres rois avant lui », explique-t-on.

    À dix-neuf ans, Hassan III se trouve déjà doté de la somme de… 1,4 milliard d’euros. À travers le monde, il est présenté comme étant «l’enfant le plus riche».

    Mais c’est surtout sa fortune qui focalise l’attention des sœurs de Mohammed VI. À dix-neuf ans, Hassan III se trouve déjà doté de la somme de… 1,4 milliard d’euros. À travers le monde, il est présenté comme étant « l’enfant le plus riche ». Une fortune enviée, contestée par ses tantes qui voient d’un mauvais œil un prince de cet âge à la tête d’un tel magot, une situation qui, selon elles, ne fait qu’accentuer, aggraver la légèreté et l’insouciance de celui qui est légalement désigné pour la succession au trône.

    Le sujet est aujourd’hui aussi lié de manière directe à une guerre d’héritage, expliquent des diplomates arabes très au fait de l’évolution de la situation au Maroc, « car les sœurs estiment avoir été lésées dans le partage, au même titre que leur frère le prince Rachid, second prétendant au trône en cas de disparition du fils du roi ». À l’inverse de ses sœurs, ce dernier ne prend pas part à la contestation que mènent les princesses. Inhibé par la personnalité de Mohammed VI, écarté du monde politique (les spécialistes utilisent le terme de castration politique), il est relégué aux activités associatives et sportives et se tient à l’écart de tout ce qui peut faire du bruit. Son attitude ne lui permet pas non plus de faire corps avec le roi en s’opposant à ses sœurs entrées de plain pied dans « une révolution de palais ».

    Si le débat autour de la personnalité de Hassan III est aujourd’hui accentué, et que le sujet de l’hostilité des princesses dépasse à présent les murs du palais royal, c’est qu’ils interviennent à un moment où la question de la succession est d’une certaine manière déjà là. Elle est naturellement suscitée par la santé de Mohammed VI, qui apparaît de plus en plus fragilisé, fatigué, au point de ne pouvoir mener au bout un discours sans interruption et sans essoufflement surtout. Le nombre de personnes habilitées à être présentes lors de ses activités officielles est très réduit et se résume en général à son frère, Moulay Rachid, ou ses ministres les plus fidèles. On a vu aussi le roi annuler toutes les festivités devant célébrer la fête du trône en imputant cette décision au Covid avant de s’envoler le soir de cette date symbolique pour Paris. C’est la troisième fois qu’il se rend en France depuis le mois de juin dernier en justifiant ses déplacements par la présence de sa mère hospitalisée sur le sol français.

    En réalité, la France est sa principale destination depuis l’acquisition de son château de Betz, au nord-est de Paris, un pied-à-terre royal qui lui permet la proximité avec les centres de décision de l’Hexagone où devra aussi être tranchée l’épineuse question de la succession. « Azoulay (l’homme le plus influent du palais royal) y travaile, ce n’est un secret pour personne, le trône est entre ses mains», confirme un diplomate arabe.

    Le Soir d’Algérie, 14/08/2022

    #Maroc #Hassan_III #Mohammed_VI #Lalla_Salma #Lalla_Meryem #Lalla_Hasna #Famille_royale

  • Maroc : Lalla Salma, espionnée via Pegasus puis assassinée?

    Maroc : Lalla Salma, espionnée via Pegasus puis assassinée?

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    Fin 2017, la prince Lalla Salma, l’épouse du roi du Maroc, Mohammed VI, a subitement disparu de la vie publique. La mère du prince héritier, Moulay El Hassan, a cessé de participer aux événements caritatifs, activité dont elle est pourtant coutumière, elle qui dirige une fondation consacrée à la lutte contre le cancer. Du jour au lendemain, Salma Bennani, de son nom de jeune fille, s’est éclipsée de la scène publique. Près de 4 ans après, son nom apparaît dans les listes des victimes du programme d’espionnage Pegasus. La question est alors sur tous les lèvres: Mohammed VI a-t-il fait espionner son épouse? Nous savons que pour Mohammed VI la famille royale est une ligne rouge. Son beau-père, Mohamed Mediouri en sait quelque chose. Il a été agressé en plein cœur de la ville de Rabat pour avoir osé se rendre au Maroc. Mohammed VI n’a jamais avalé la pilule du mariage de sa mère avec le garde du corps de son père, Hassan II.

    Le 6 octobre 2019, le New Zealand Herald évoquait, dans un article détaillé, l’histoire de sa disparition dont voici le texte intégral:



    Une « princesse fantôme » : le mystère de l’épouse disparue du roi du Maroc

    C’est une princesse et une mère qui a défié le statu quo royal depuis qu’elle est tombée amoureuse d’un membre riche d’une famille royale. Avec son style caractéristique et son esprit indépendant, l’humanitaire déclarée a entrepris de moderniser le rôle des femmes à la cour royale.

    Vous pensez que je parle de Meghan, duchesse de Sussex ? Détrompez-vous. Rencontrez la princesse Lalla Salma, épouse du roi du Maroc et mère du prince héritier qui est aimé dans son pays.

    Cependant, le mystère l’entoure, ayant été surnommée la « princesse fantôme » après avoir disparu de la vue du public il y a près de deux ans, rapporte news.com.au.

    Il y a des photos Instagram floues, des rumeurs tourbillonnantes et des théories concurrentes. La question persistante est, où est la princesse « disparue » du Maroc ?

    Tradition bloquante

    C’est une histoire aussi ancienne que le temps : un garçon rencontre une fille, le garçon se révèle être le futur roi, le couple tombe amoureux et se marie avec le mariage massif requis. La Salma Bennani de l’époque a rencontré son futur mari, le roi Mohammed, en 1999 lors d’une fête. Elle était une étudiante en génie informatique qui avait été élevée par sa grand-mère. Il avait été couronné après avoir succédé à son père autocratique après un règne despotique de 38 ans.

    Après s’être mariés en 2002, la nouvelle princesse Lalla Salma et son mari ont rompu avec la tradition marocaine de longue date qui excluait les épouses royales de la vue du public. (Leurs photographies et même leurs noms n’avaient jamais été révélés publiquement auparavant.)

    Au lieu de cela, Lalla Salma a adopté une approche beaucoup plus moderne de la vie, œuvrant pour la prévention du VIH/sida en Afrique, fondant sa propre association caritative contre le cancer et devenant ambassadrice de bonne volonté de l’Organisation mondiale de la santé. En 2016, lorsque Michelle Obama s’est rendue en Afrique, elle a rencontré Lalla Salma pour discuter de l’éducation des femmes.

    En cours de route, elle a également rempli le devoir d’épouse royale requis de fournir un héritier et un remplaçant, à savoir le fils du prince héritier Moulay et sa fille la princesse Lalla.

    Selon certaines informations, la famille de Mohammed n’a pas été impressionnée par son approche beaucoup plus libérale de la vie royale, notamment en portant des pantalons en public et en évitant le foulard dans le pays musulman.

    Palaces et 2 millions de dollars en nourriture pour animaux

    Bien que la famille royale marocaine ne reçoive pas le même niveau d’attention en Occident que, disons, ses homologues britanniques, elle profite d’une vie beaucoup plus luxueuse. Les estimations placent la valeur nette du roi Mohammed entre 5 milliards de dollars et 29 milliards de dollars, il suffit donc de dire qu’ils jouissent d’une existence décadente.

    En 2005, il a été révélé que le roi et sa famille coûtaient au peuple marocain la somme étonnante de 263 millions de dollars par an, dont 1,8 million de dollars dépensés en nourriture pour animaux de compagnie. Il possède 12 palais à travers le monde, tous perpétuellement maintenus à 17 degrés et entièrement dotés en personnel, et il en visite rarement beaucoup. On pense que sa propriété préférée est un immense château français, et son amour des voitures de luxe est bien connu. (Il a été rapporté qu’il a piloté une fois son Aston Martin de Rabat à Londres, et certains matins, il a une douzaine de ses véhicules les plus chers devant lui afin qu’il puisse choisir celui qu’il veut pour la journée.)

    La dame disparaît

    La princesse Lalla Salma était fréquemment présente sur la scène royale internationale, notamment en assistant au mariage du duc et de la duchesse de Cambridge en 2011. Bien qu’elle soit une figure très populaire dans son pays d’origine et qu’elle voyage régulièrement à l’étranger, la dernière fois qu’elle a été vue en public, c’était fin 2017.

    Et puis… plus rien.

    Pendant près de deux ans, la localisation et le statut de la princesse ont été vivement débattus. Avait-elle bouleversé le roi et était-elle cachée derrière les portes du palais ? Le couple avait-il divorcé ? Vivait-elle en exil aux États-Unis ?

    Même les diplomates étrangers auraient été laissés dans l’ignorance de la situation.

    Lorsque Harry et Meghan, le duc et la duchesse de Sussex, ont visité la nation nord-africaine en février de cette année, ils ont rencontré le roi Mohammed, aujourd’hui âgé de 56 ans, et le prince héritier Moulay. Il n’y avait aucun signe de Lalla Salma, aujourd’hui âgée de 41 ans.

    La belle-mère

    Si Mohammed avait été mécontent de sa femme et avait agi en l’enfermant, il y avait un précédent. Selon un rapport du Times, on pense que le roi a gardé sa mère dans un palais, bien que plus tard, il aurait cédé et lui aurait donné la permission de vivre en exil en France.

    Silence des médias

    Le black-out de la presse s’ajoute au mystère entourant la disparition de Lalla Salma. Contrairement au Royaume-Uni où la couverture du clan Windsor domine les tabloïds, la presse marocaine est impitoyablement réglementée. (Il se classe actuellement au 135e rang mondial pour la liberté de la presse.) Alors qu’il y a eu des murmures sur la disparition notable de Lalla Salma de la vie publique, le palais a refusé de commenter.

    Lorsqu’un site Web marocain a publié un article réprimandant Lalla Salma, l’accusant d’avoir une « attitude trompeuse » et un « ego démesuré », il a été largement admis qu’il l’avait fait avec l’approbation du roi.

    Observations européennes

    Au cours des mois et des années qui ont suivi, la princesse a été aperçue en dehors de son pays d’origine, y compris des informations selon lesquelles elle s’était rendue à Portofino avec sa fille en 2018 et avait navigué autour des îles grecques avec son fils en juillet de cette année dans un yacht qui coûte 1 million de dollars. -par semaine.

    Une théorie qui a fait l’objet de rumeurs est que le couple s’est séparé et se dispute la garde et qu’elle n’a pas été autorisée à voyager avec ses deux enfants, bien que cela ait été réfuté lorsqu’elle a été aperçue avec le jeune prince et la princesse à New York.

    En avril, une image floue prétendant être celle de Lalla Salma et de sa fille en train de dîner à Marrakech a fait surface, bien qu’il n’ait, encore une fois, jamais été confirmé qu’il s’agissait bien d’elle.

    Rumeurs de divorce

    Plus tôt cette année, le magazine espagnol Hola! a affirmé que Lalla Salma et le roi avaient divorcé discrètement, mais toute la situation reste entourée de mystère. Malgré des rapports similaires, sa page Wikipedia la répertorie toujours comme la « princesse consort du Maroc » et comme l’épouse du roi Mohammed.

    Le King est un utilisateur dévoué de Facebook. Bien que son flux soit parsemé de photos franches de lui en train de manger, de travailler et de ses enfants, Lalla Salma est introuvable. Pour une femme qui a résisté à la tradition et tracé sa propre voie, sa disparition dramatique de la vie publique est surprenante, et ce mystère est loin d’être résolu.

    #Maroc #LallaSalma #MohammedVI #Pegasus #Espionnage

  • Maladie du roi du Maroc: les rumeurs font rage

    Maladie du roi du Maroc: les rumeurs font rage

    Maladie du roi du Maroc: les rumeurs font rage – Mohammed VI, Makhzen, prince héritier, Lalla Salma, Sahara Occidental,

    Le brouhaha diplomatique que connaît depuis des mois le régime marocain du Makhzen cache l’une des plus grandes menaces à la stabilité du trône dans le royaume alaouite, qui est le problème de la succession du roi Mohammed VI, qui souffre de nombreuses maladies et est devenu moins visible dans les scènes officielles et les forums.

    Les scènes qui ont été filmées récemment ont montré qu’il était dans un état de santé grave, car il semblait avoir un visage pâle, des mouvements lents et des signes de maladie plus visibles que jamais sur son visage.

    La présence du roi du Maroc dans les réunions et activités officielles de la période récente n’était pas par désir ou conformément aux protocoles royaux habituels, mais plutôt sous la pression qui lui était imposée par le biais des réseaux sociaux, qui n’ont cessé de divulguer des informations graves sur sa santé, ce qui l’a forcé à sortir pour démentir ces rumeurs.

    Cependant, sa sortie n’a pas éliminé ces rumeurs autant qu’elle les a renforcées en raison de la situation fragile dans laquelle il est apparu devant les caméras et les objectifs des caméras.
    Mohammed VI n’apparaissait pas sur la photo qui rassemblait les participants à ce dernier forum de Marrakech sur le terrorisme, tandis que des militants sur les réseaux sociaux rapportaient que le roi n’arrivait plus à respirer, ce qui confirme les scènes fragiles sur lesquelles il est récemment apparu, sachant que le Le roi du Maroc avait auparavant subi une chirurgie complexe au cœur, en raison d’une arythmie.

    Les sources ont évoqué le retour de la princesse Lalla Salma (Benani), l’ex-épouse du monarque marocain, et la mère du prince héritier Moulay El Hassan, au premier plan après sa disparition de la scène en 2018, suite à des fuites sur sa séparation du roi, avant d’être confirmée plus tard par l’avocat de la famille alaouite en France.
    Les sources liaient le retour de « Lalla Salma » sur le devant de la scène au conflit autour du trône, compte tenu de l’état de santé du roi malade du Makhzen.

    Lalla Salma pourrait bientôt devenir la mère du prochain roi du Maroc, selon les modalités de passation de pouvoir au sein de la famille royale, après que Mohammed VI a renversé son frère Moulay Rachid, qui était prince héritier dans un premier temps, lorsque Mohammed VI a succédé à son père décédé. , Hassan II, en 1999.

    Le régime marocain du Makhzen tente d’occulter l’état de doute qui domine les rouages ​​du trône à Rabat, en occupant l’attention de l’opinion publique marocaine avec des victoires fictives de la diplomatie makhzen dans certains dossiers comme celui du Sahara occidental récemment, et en organisant des manifestations internationales, comme cela s’est produit récemment dans la ville de Marrakech, auxquelles ont participé des ministres des affaires étrangères de pays connus pour leur proximité avec le système marocain du makhzen.

    Tout cela arrive à un moment où l’influence sioniste pénètre et envahit les leviers de décision chez le voisin occidental. Les sionistes ont pris le contrôle des dotations dans le secteur des affaires religieuses, censé être loin de tels comptes, selon des témoignages d’activistes marocains sur les réseaux sociaux.
    Parmi les traits les plus saillants de cette infiltration, le régime marocain du Makhzen a ignoré l’assassinat hideux de la journaliste palestinienne, Sherine Abu Aqleh, en Palestine par les balles de l’occupation sioniste, alors que Rabat n’a pas été en mesure de publier un communiqué condamnant ce lâche assassinat, alors que les symboles du Makhzen sortent de temps en temps, pour confirmer que le « Royaume des Normalisateurs » soutient la cause palestinienne et se tient aux côtés du peuple palestinien dans sa lutte pour l’indépendance, sachant que son représentant aux Nations Unies, Omar Hilale, avait avait auparavant fait obstruction à une liste condamnant la profanation des lieux saints de Jérusalem par des soldats sionistes.

    Plus dangereux que tout cela, c’est la récurrence des fuites sur la possibilité qu’Audrey Azoulay, l’actuelle patronne de l’UNESCO, et la fille du juif André Azoulay, conseiller au Palais Royal, prennent la tête du gouvernement marocain dans le prochain amendement, succédant à son président actuel, Aziz Akhannouch, une fuite devenue plus crédible à la lumière du contrôle rampant des Juifs sur le pays.

    Sofiane. A.

    Echouroukonline, 15 mai 2022

    LIRE AUSSI : Presse espagnole / Maroc : Où est Lalla Salma?

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    #Maroc #MohammedVI #Maladie #Makhzen #Prince_héritier #LallaSalma

  • Maroc. Le magazine Style évoque la disparition de Lalla Salma

    Maroc. Le magazine Style évoque la disparition de Lalla Salma – Mohammed VI, Prince héritier, Moulay El Hassan, Lalla Khadija, Fondation Lalla Salma,

    Où est la princesse Lalla Salma du Maroc ? Elle est allée au mariage du prince William et de Kate Middleton en 2011 et a rencontré l’ancienne première dame américaine Michelle Obama en 2016, mais a rarement été vue depuis.
    Salma Bennani a rencontré le futur roi Mohammed VI lors d’une fête en 1999 et ils ont deux enfants : le prince héritier Moulay Hassan, 18 ans, et la princesse Lalla Khadija, 15 ans.
    Elle a fondé la Fondation Lalla Salma pour lutter contre le cancer, est devenue ambassadrice de bonne volonté de l’Organisation mondiale de la santé et travaille pour arrêter la propagation du VIH/sida en Afrique.

    Salma Bennani n’était qu’une fille marocaine typique qui a étudié l’informatique à l’université, rencontré un gars lors d’une fête en 1999 et l’a épousé trois ans plus tard. Mais ce gars était un prince destiné à être le monarque régnant du pays, l’actuel roi Mohammed VI – la cinquième personne la plus riche de toute l’Afrique, selon Forbes en 2015.

    Désormais connue sous le nom de princesse Lalla Salma, elle a eu deux enfants avec le roi Mohammed : le prince héritier Moulay Hassan, 18 ans, et la princesse Lalla Khadija, 15 ans.

    Mais ce conte de fées moderne s’accompagne d’un rebondissement. La princesse Lalla Salma a été la première épouse d’un roi marocain à recevoir son propre titre et a souvent rompu avec la tradition, vue publiquement faire un travail humanitaire. Mais maintenant, elle a mystérieusement disparu. Où pouvait-elle être, et que lui était-il arrivé ?

    Voici tout ce que l’on sait sur la princesse Lalla Salma…

    Princesse moderne

    Aussi cliché que cela puisse paraître, la princesse Lalla Salma n’était pas une épouse typique du roi. Première épouse d’un roi marocain à recevoir un titre royal, elle est devenue officiellement connue sous le nom de Son Altesse Royale la princesse Lalla Salma.

    Malgré son statut royal, le plaidoyer humanitaire était là où son cœur était. En 2005, la princesse a fondé la Fondation Lalla Salma pour lutter contre le cancer, a été nommée ambassadrice de bonne volonté de l’Organisation mondiale de la santé et a également œuvré pour prévenir la propagation du VIH/sida en Afrique.

    La princesse Lalla Salma a également été une pionnière pour les femmes à la cour avec son style caractéristique de porter des pantalons en public et de s’abstenir de porter un foulard dans un pays musulman.

    Rumeurs de divorce

    En 2018, le couple royal aurait rompu après 16 ans de mariage. La rumeur a commencé à bourdonner lorsque le roi a subi une opération cardiaque en février à Paris après avoir souffert d’une arythmie cardiaque. La maison royale du Maroc a publié une photo après l’opération, et alors que la plupart de la famille royale marocaine était là pour la soutenir, la princesse Lalla Salma ne l’était pas.

    Il a été largement noté que la princesse n’avait pas été beaucoup vue publiquement vers la fin de 2017. Le magazine espagnol Hola a été parmi les premiers à poser des questions, mais la cour royale n’a jamais confirmé ou nié les informations faisant état d’une rupture.

    Princesse fantôme

    Pour quiconque a vécu sa vie en public pendant plus d’une décennie, ne pas être vu pendant un certain temps soulèverait certainement des sourcils.

    La princesse Lalla Salma n’était pas seulement une partenaire du roi Mohammed VI, elle a également représenté son mari et le Maroc lors d’événements de grande envergure, notamment le mariage du prince William et de Kate Middleton en 2011, et la visite officielle de l’ancienne première dame américaine Michelle Obama au Maroc en 2016.

    Puis elle était partie.

    Ajoutant au mystère de tout cela, il y a le manque de reportage ou même de spéculation dans les médias marocains. Il n’y a eu aucun rapport vérifié sur pourquoi et comment la princesse a simplement disparu des yeux du public.

    Où est-elle maintenant?

    Plus d’un an après que les médias internationaux ont commencé à se demander où elle se trouvait, la princesse Lalla Salma a été photographiée en avril 2019 alors qu’elle dînait avec sa fille, la princesse Khadija, dans un restaurant traditionnel de Marrakech.

    Quelques jours plus tard, le site néerlandais De Telegraaf rapportait que la princesse Lalla Salma avait effectué une visite non officielle au centre d’oncologie Oulad Mbarek à Beni Mellal.

    Puis, en juillet 2019, la maman de deux enfants a été vue en train de prendre des vacances avec son aîné, le prince Moulay Hassan, à Skiathos, en Grèce. Le même mois, le roi Mohammed VI et la princesse Lalla Salma ont publié un démenti conjoint du conflit de garde dans le magazine people français Gala, via leur avocat Eric Dupond-Moretti.

    Enfin, en septembre 2019, elle a été aperçue à New York avec ses deux enfants ainsi que des agents de sécurité près de Central Park à New York.

    Depuis lors, cependant, il n’y a plus eu de nouvelles de l’endroit où se trouve la princesse. Ce qui était autrefois un conte de fées est devenu un mystère – où est la princesse marocaine Lalla Salma maintenant?

    Style, 17/03/2022

  • La succession de Mohammed VI au centre de l’attention médiatique

    La succession de Mohammed VI au centre de l’attention médiatique

    La succession de Mohammed VI au centre de l’attention médiatique – Maroc, Lalla Salma, prince héritier, Moulay El Hassan,

    La multiplication des manifestations de contestation contre le régime du makhzen, tant au Maroc qu’à l’étranger suscitent des rumeurs de plus en plus insistantes sur un éventuel changement à la tête du pouvoir marocain.

    Il ya a d’abord la gravité réelle ou supposée de la maladie du roi, que l’on aperçoit de plus en plus affaibli à chacune de ses rares apparitions en public, et la situation sociopolitique qui prévaut au Maroc, la cherté de la vie, les relations tendues avec les voisins (Espagne et Algérie) mais surtout le rejet de la normalisation et le renforcement effréné des relations géostratégiques avec le gouvernement sioniste qui risque de déstabiliser la région. La succession s’est désormais invitée à la table des Marocains qui ont commencé à s’interroger, discrètement, par crainte d’être épinglés par les services de renseignement, sur l’avenir du règne de Mohammed VI. Et ce n’est certainement pas le directeur de l’hebdomadaire arabophone al-Michaal qui dira le contraire.

    En 2009, il avait déjà été emprisonné pour avoir publié un dossier sur la maladie du souverain. Depuis, il est devenu patron d’une chaîne de télévision digitale, une véritable machine à buzz au service du pouvoir. C’est dire toute la sensibilité qui entoure la santé du roi, une question publiquement taboue qui continue de déchaîner les passions et nourrir les scénarios les plus extravagants.

    Par le passé, la succession au sultan alaouite relevait d’une tradition mythique presque archaïque (elle se limitait à une réunion dans la grande mosquée de Fès en présence des oulémas qui approuvaient l’acte d’allégeance). Aujourd’hui, elle est devenue une entreprise sophistiquée visant à pérenniser le pouvoir absolu de l’ombre de Dieu sur terre. Pour cela, les fervents défenseurs de cette monarchie tentaculaire tentent de forger une image humaniste du futur roi, Moulay Hassan, car c’est de lui qu’il s’agit, mais semblent préoccupés par le risque d’un virage à 180 degrés, tant son attachement à sa mère, la princesse Lalla Salma dont personne au Maroc ne doute de sa proximité avec le peuple et aussi son allergie présumée au baisemain. Plus que jamais au centre de l’attention médiatique, le prince héritier du Maroc, est l’une des préoccupations majeures des chancelleries européennes et à leur tète la France qui souhaiteraient jouer les tuteurs.

    L’état de santé du roi du Maroc, Mohammed VI, qui suscite de nouveau des interrogations dans le royaume chérifien, pose plus que jamais le problème de sa succession par son fils Moulay Hassan. Le souci majeur du régime, c’est qu’en cas de disparition du roi avant que son successeur atteigne la majorité, ce dernier puisse avoir la détermination d’un homme de pouvoir disposé à affronter ses adversaires pour défendre la monarchie. En attendant qu’il devienne chef suprême des Forces armées royales (FAR), comme le prévoit l’article 53 de la Constitution, le prince héritier a été initié au maniement des armes légères et aux dispositifs sécuritaires à suivre lors de ses déplacements ; seul ou en compagnie de son père.

    Plusieurs voix marocaines s’interrogent aujourd’hui l’ état de santé réel de leur roi, et d’autres sont allées jusqu’à se demander s’il pourrait tenir jusqu’à l’arrivée du prince héritier à la majorité pour être couronné ». Leur crainte est que le futur roi soit influencé dans sa gouvernance par sa mère dont il est très proche, la princesse Lalla Salma. Bien qu’elle ait été zappée par une bonne partie de la presse marocaine, depuis notamment son divorce avec le roi Mohammed VI, elle vient de refaire la Une de l’actualité au royaume. En effet, discrète depuis son divorce avec le roi Mohammed VI du Maroc, il y a trois ans, Lalla Salma fait à nouveau parler d’elle, non pas pour évoquer son ancienne vie au palais royal, mais à travers le sujet de la lutte contre le cancer. L’ex-épouse du roi Mohammed VI, s’implique d’avantage dans l’humanitaire.

    Très discrète, Lalla Salma, 43 ans, avait été prise en photo, en 2019, lors de la visite d’un centre de cancérologie. En parallèle, elle continue à garder un œil sur ses deux enfants, Moulay El Hassan et Lalla Khadija. Son fils Moulay El Hassan, héritier au trône du Maroc, semble de plus en plus promis à un brillant avenir, et elle pourrait y prendre un rôle actif. Certains journaux qui n’avaient pas hésité à déverser des insanités sur la mère de Moulay El Hassan, traitée de tous les noms d’oiseaux, tentent de réparer les dégâts maintenant que la roue risque de tourner, avec un pouvoir qui pourrait à tout moment se retrouver entre les mains du fils de son fils.

    Ces médias savent aujourd’hui que ces positions pourraient en effet bien changer. Une situation à donner le frisson au souverain. Et rien qu’à l’idée de voir ce dirigeant quitter les commandes, c’est l’inquiétude la plus totale dans l’entourage immédiat et les rentiers du gouvernent marocain. Même la diplomatie de ce pays est en perte de vitesse, si bien que ses relations avec son voisin espagnole est de plus en plus compliquée ces derniers temps. Mercredi passé, 2 500 migrants avaient fait de même lors de la tentative de passage la plus massive jamais enregistrée dans cette enclave, qui constitue, avec Ceuta, la seule frontière terrestre de l’UE avec l’Afrique. Près de 500 y étaient parvenus.

    À environ 6 h aujourd’hui mercredi 03 mars, le commandement de la Garde civile a vu un groupe d’environ 1 200 migrants s’approcher de la clôture, a indiqué la préfecture de Melilla dans un communiqué. Après avoir « débordé » sans problème les forces de sécurité marocaines, ils ont commencé, vers 7 h 25 (6 h 25 GMT), à franchir la clôture , lançant des pierres et utilisant des crochets et des bâtons contre les forces de sécurité, a-t-elle ajouté. Nous estimons qu’environ 350 sont entrés dans la ville, a poursuivi la préfecture. Melilla et l’autre enclave espagnole de Ceuta, située à près de 400 kilomètres plus à l’ouest, constituent les seules frontières terrestres de l’Union européenne en Afrique. Pour cette raison, elles font régulièrement l’objet de tentatives d’entrée de la part de migrants clandestins cherchant à rejoindre l’Europe pour fuir la guerre ou la pauvreté après avoir traversé une partie de l’Afrique jusqu’au Maroc.

    Le gouvernement espagnol a encore haussé le ton contre le Maroc, accusé d’« agression » et de « chantage ». De son côté, l’Association marocaine des droits de l’Homme (AMDH) avait fait elle aussi état mercredi d’une trentaine de migrants blessés, dont trois ou quatre grièvement. Selon l’AMDH, 250 migrants ont été arrêtés jeudi et placés dans un centre de jeunesse, transformé en centre de détention, dans la ville marocaine de Kariat Arekmane, et seront ensuite éloignés par les autorités de la zone. En parallèle, le Maroc a exprimé sa colère, après l’annonce du G4, que forment quatre pays à savoir l’Algérie, l’Afrique du Sud, le Nigeria et l’Éthiopie. Selon des journaux échos du pouvoir, ces nations seraient connues pour leurs positions hostiles vis à vis du Royaume chérifien. C’était pourtant un regroupement informel à but diplomatique, lancé à Bruxelles, en marge du dernier sommet de l’Union européenne-Afrique, le G4 devait être réactivé au sein de l’Union africaine. Il avait pour but de coordonner, analyser, concerter et trouver des solutions aux défis du continent en proposant un mécanisme stratégique qui vise à apporter des solutions pratiques et efficaces aux différents problèmes auxquels l’Afrique est confrontée. Le Nigeria, l’Afrique du Sud, l’Algérie et l’Éthiopie partagent effectivement le même point de vue sur de multiples questions concernant le continent.

    Ils partagent également la même vision de la sécurité au Sahel et surtout au Mali. Le communiqué de la présidence nigériane précise qu’un sommet officiel entre les quatre chefs d’État sera convoqué dans les mois à venir, pour tracer une feuille de route. Selon la presse proche du pouvoir, le Maroc a exprimé son mécontentement mercredi 23 février passé, car pour elle, les quatre pays formant ce groupe seraient selon ces médias, connus pour leurs positions hostiles au Royaume chérifien. Mais qu’en est-il du retour du Royaume du Maroc au Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, qui s’est accompagné par la présence au sein de cette instance de l’Union Africaine de six pays, ayant déjà ouvert des consulats au Sahara ? Il s’agit du Sénégal, le Burundi, Djibouti, la République Démocratique du Congo, la Gambie et la Guinée équatoriale. Deux poids deux mesures…

    En réalité, cette diversion est faite pour détourner l’attention internationale des événements qui se déroulent dans la rue marocaine et qui demandent ni plus ni moins le départ immédiat des sbires du pouvoir. Aujourd’hui, les Marocains en pleine désobéissance civile ! Trop c’est trop ! La coupe est désormais par trop pleine dans le royaume. Depuis plusieurs jours, des centaines de milliers de sujets marocains campent nuit et jour dans toutes les villes du royaume chérifien. Comme le montrent de nombreuses vidéos mises en ligne, cette revendication, immédiate et sans appel, devrait être suivie par une autre, encore plus radicale, mais carrément salvatrice, celle du départ du roi Mohamed VI et de son régime makhzenien. Celui-ci incarne en effet la véritable source du mal.

    Ce roi prédateur et immensément riche s’empiffre de la misère et des innombrables privations de ses malheureux sujets. Au Maroc, l’heure de rendre enfin compte a enfin sonné. Ceux qui s’attendaient, à juste titre il faut le dire, à un soulèvement massif contre la trahison par Mohamed et « commandeur des croyants » sic ! de la cause palestinienne, étaient sans doute loin de se douter que c’est la situation sociale, désormais intenable, qui allait jouer le rôle de détonateur final. Dimanche 3 mars, plusieurs centaines de Marocains se sont rassemblés sur le parvis des droits de l’Homme, place du Trocadéro à Paris, pour dénoncer les agissements d’un roi prédateur contre une population victime expiatoire. Il est certain que ces manifestations appelant à jeter à terre ce régime féodal et corrompu, constituent une sérieuse alerte pour le régime de Mohamed VI.

    Selon plusieurs sources recoupées et digne de foi, d’imposantes manifestations se sont déroulées dans plusieurs villes marocaines durant la nuit de samedi à dimanche 6 mars 2022. Les préoccupations et jeux de pouvoir se cristallisent autour de la succession au trône et la préparation du jeune prince héritier, Moulay el Hassan, 17 ans. Le jeune homme a récemment fait parler de lui en refusant de faire les études universitaires qu’on avait prévues pour lui. La presse espagnole voisine est souvent fort bien renseignée sur ce qui se passe à la Cour du Maroc. Cherchez la mère diront certaines sources proches du Palais, prompts à y voir la main mise de Salma, l’ex épouse du roi. Souvenez- vous qu’elle était passée à la trappe brutalement, sans crier gare, quittant rapidement ses fonctions caritatives et publiques. On l’a sortie comme une voleuse et ses propres enfants l’auront remarqué. D’un point de vue psy systémique, ce n’est jamais bon de bannir ainsi les gens (employés, parents) car c’est créer une sorte de secret de famille qui rebondit à la gueule par la suite… Moulay el Hassan est très attaché à celle qui l’a élevée. Il préfèrerait rester près d’elle. Il s’est inquiété pour elle lors du divorce, la voyant déchue, ostracisée du jour au lendemain. Il n’est donc pas exclu que le jeune prince devenu roi tendrait une oreille attentive à celle qui l’a mis au monde, et la politique du royaume risquerait de changer et de mettre à mal certaines alliances, mais ce pouvoir maternel sur le future roi inquièterait le roi et ses sœurs (qui n’ont jamais adoré Salma). En effet, la succession de M6 devient une question potentiellement imminente. Il pourrait avoir besoin de passer le flambeau rapidement à son fils et le prépare, malgré tous les risques qu’il encoure.

    par Youcef Dris

    Le Quotidien d’Oran, 13/03/2022

    #Maroc #MohammedVI #LallaSala #PriceHéritier

  • Maroc: Presse israélienne parle d’un scandale de mœurs au palais royal

    Maroc, Mohammed VI, Moulay El Hassan, Lalla Salma, prince héritier, #Maroc,

    Grave scandale de mœurs au sein de la famille Moulay : Le fils de Mohamed VI serait illégitime
    Un scandale d’une gravité extrême risque d’éclater au royaume chérifien. Et c’est la presse sioniste, réputée très proche, et très complice du régime alaouite qui s’en et faite l’écho dans ses éditions de ce mercredi.
    La princesse Lala Asmaâ se serait en effet violemment opposée à ce que le fis du roi Mohamed VI, Moulay Hassan, assure la succession de son père, sachant que ce présumé bâtard en a récemment atteint l’âge légal de 18 ans depuis le mois de mai passé. Le plus poilant dans ce scandale, intrigues de palais et secrets d’alcôves si je puis dire, ce sont les raisons qui poussent l’une des trois sœurs de Mohamed VI à s’opposer frontalement à ce que son fils ainé lui succède.
    Elle argumente son veto en effet par le fait que le prince Hassan ne serait pas le fils légitime de Mohamed VI. Il serait en effet le fruit de liaisons extraconjugales qu’aurait eu l’ex-femme de Mohamed VI.
    Les soupçons sont surtout portés sur un chauffeur de la famille royale, retrouvé mort dans sa chambre, au sein-même du palais royal, et dans des circonstances particulièrement troubles et louches.
    Les faisceaux de soupçons, particulièrement nombreux, se portent également sur le défunt consul général de France Denis François, lui aussi retrouvé mort à Tanger en date du 19 novembre 2020, là encore dans des circonstances particulièrement troubles. Les mœurs peu orthodoxes de Mohamed VI, ses douteuses amitiés, son divorce et la brusque disparition de Lalla Selma sont autant d’éléments qui concourent à accréditer la thèse selon laquelle le successeur de Mohamed VI, Moulay Hassan, ne serait pas le fils légitime du roi Mohamed VI. Auquel cas, un séisme d’une magnitude incommensurable pourrait souffler sur la famille régnante au Maroc et l’emporter toute entière.
    Ce n’est pas tout. Le fait que ce soit des médias sionistes qui aient donné libre court à cette « info » c’est que Tel-Aviv semble avoir résolu de se débarrasser de Mohamed VI et de ses proches collaborateurs.
    Sur le plan international, par exemple, son ministre des Affaires Etrangères, Nacer Bourita, a accumulé les bévues en ouvrant des fronts directs avec des Etats puissants comme l’Espagne, l’Allemagne et même l’Algérie. Preuve en est que l’entité sioniste n’a même pas daigné ouvrir une représentation consulaire à Dakhla ou à Laâyoune, dans les territoires occupés sahraouis conformément au « deal du siècle », portant reconnaissance par Washington de la prétendue « marocanité du Sahara Occidental ».
    Au reste, l’enjeu principal des élections locales et législatives au royaume chérifien résidera très certainement dans le taux de participation. Les autorités marocaines seront obligées, sur ce coup, de bourrer les urnes et de frauder jusqu’à l’outrance dans les territoires occupés.
    Au Sahara Occidental, en effet, le taux de participation n’est pas loin de zéro, ce qui équivaut à un référendum décrétant le rejet officiel de l’occupation marocaine, celui-même que Rabat continue de refuser au peuple sahraoui…
    Kamel Zaidi
    La Patrie News, 08/09/2021

  • Le jet privé et les 500 euros brûlés à Mykonos par le prince du Maroc

    Moulay Hassan : La vie luxueuse du prince marocain de 18 ans – Le jet privé et les 500 euros brûlés à Mykonos

    Le jeune prince marocain est le dernier membre de la dynastie à diriger le pays depuis le 16e siècle.

    Son avenir est prédéterminé puisqu’il s’entraîne depuis l’âge de 10 ans pour succéder un jour à son père et devenir roi du Maroc. Cependant, comme les autres enfants de son âge, il semble trouver des moyens de se divertir. Certainement avec un peu plus d’excès que n’importe lequel de ses pairs. La raison en est Moulay Hassan, le prince marocain qui a fait trembler Mykonos il y a quelques jours.

    Le jeune homme de 18 ans était en vacances sur l’île venteuse et n’a pas manqué l’occasion de faire la fête sur l’île cosmopolite des Cyclades. En fait, selon une information qui fait le tour de l’internet, lors d’une des fêtes auxquelles il a participé, lui et sa société sont allés jusqu’à brûler, littéralement, un billet de 500 euros. Bien sûr, sur une île comme Mykonos, qui a vu des Arabes se laver les pieds avec des milliers d’euros de champagne et toutes sortes d’étalages excessifs de richesse, cela est considéré comme un délit.

    Cependant, pour Moulay Hassan, les choses ne se passent pas ainsi, car il s’efforce de maintenir un profil bas qui lui permettra de s’imposer lentement comme le nouveau leader du pays nord-africain. Fils de Mohammed VI, son actuel roi, il est le prochain héritier de la dynastie alaouite qui est à la tête du pays depuis le XVIIe siècle, à l’exception d’une brève période de 1912 à 1956 où le Maroc était un protectorat de la France.

    Le fils aîné du roi suit son père lors d’occasions officielles depuis 2015, afin de le « griller » pour qu’il soit prêt à monter sur le trône le moment venu pour lui succéder. Bien que plus jeune, il semble qu’il n’ait pas apprécié le rôle du nouveau roi, son aversion à être embrassé sur la main, comme c’est la coutume chez les membres de la haute société, étant devenue virale, Moulay El Hassan semble maintenant assez mature pour assumer le rôle.

    Il a accompagné son père à des réunions avec des dirigeants étrangers tels qu’Emmanuel Macron, a assisté à des galas internationaux où il a lui-même rencontré d’autres sangs bleus comme le prince Harry et Meghan Markle, tout en étudiant l’aviation, en veillant à ce que, où qu’il se tienne et où qu’il soit, il s’assure d’exprimer ses préoccupations concernant le changement climatique. En même temps, il se construit un profil social à l’intérieur des frontières, suivant les traces de son père qui a créé un nouveau code de la famille lorsqu’il a pris les rênes du pays, la Mudawana, donnant aux femmes des privilèges comme celui de pouvoir posséder des biens personnels, effectif depuis février 2004.

    La vie luxueuse et la préférence de la famille royale pour la Grèce

    Pour ses obligations sociales, le sang bleu de 18 ans dispose d’un jet privé pour voyager à travers le monde. Le Gulfstream G650, d’une valeur de 67,4 millions de dollars. Sa plaque d’immatriculation indique « CN-AMH », qui signifie « Altesse » (ou « Majesté »), traduit librement par Sa Majesté Moulay Hassan, qui est l’initiale du nom de code. En effet, le jet privé est équipé d’un système de défense antimissile israélien J-Music d’une valeur de 20 millions de dollars, ce qui porte sa valeur totale à 87,4 millions de dollars.

    L’argent pour lui ne semble pas être un problème et comment pourrait-il l’être de toute façon. Son père et la famille royale marocaine ont prouvé qu’ils ne pensent pas à l’argent, comme en témoignent les vacances qu’ils prennent de temps à autre en Grèce, qui s’avère être leur destination favorite. En 2015, en pleine crise économique dans notre pays, Mohammed VI a profité des beautés de Kyllini en Ilia et a dépensé environ cinq millions d’euros avec les quelque 200 personnes accompagnant la famille royale.

    La même année, ils se sont également rendus à Mykonos, tandis qu’en 2014, ils ont préféré Corfou, dépensant également sans compter. En 2019, la princesse Lala Salma, mère de Moulay Hassan, a passé des vacances à Skiathos sur le yacht de luxe Serenity, long de 60 mètres. La prochaine destination du prince reste inconnue pour l’instant.

    Avec des informations provenant de scmp.com

    The toc, 09/07/2021

    Etiquettes : Maroc, Moulay El Hassan, Mohammed VI, prince héritier, Grèce,Myjonos, billet de 500 euros, luxe, jet privé, Gulstream,