Étiquette : produits agricoles

  • Maroc. Exportations alimentaires: une baisse de 2,325 MM$

    Maroc. Exportations alimentaires: une baisse de 2,325 MM$

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    Exportations alimentaires: la mauvaise gestion du Makhzen cause un important manque à gagner

    RABAT – Les exportations alimentaires au Maroc enregistrent un important manque à gagner qui se chiffre à 2,325 milliards de dollars, causé principalement par la mauvaise gestion du secteur des exportations par les autorités du Makhzen.

    Sur un potentiel estimé à 7,638 milliards de dollars, les exportateurs marocains de produits de la mer et agricoles réalisent seulement 5,313 milliards de dollars, révèle-t-on lors d’une rencontre organisée récemment à Agadir, à l’extrême Sud du royaume, par la société de Conseil AssurTrade et le groupe Allianz Trade, spécialisé dans les solutions d’assurance.

    Les conférenciers, cités par la presse locale, ont précisé que les exportations alimentaires du Maroc ne dépassent pas 5,313 milliards de dollars, alors que le potentiel de cette filière est estimé à 7,638 milliards de dollars.

    Selon les observateurs, le Makhzen peine toujours à trouver des solutions concrètes et à mettre en place des facilitations au profit des exportateurs locaux.

    La mauvaise gestion des exportations par les autorités du Makhzen a conduit le pays vers une dépendance vis-à-vis de l’Europe, où les conditions d’exportation sont hautement exigeantes, explique-t-on.

    En plus de cet énorme manque à gagner, cette situation participe également au sabotage des producteurs locaux, dont nombreux, parmi eux, se trouvent dans une situation de difficulté de payement ou complètement en faillite.

    #Maroc #Economie #Exportations_alimentaires

  • Algérie. Des promesses, pour quel résultats ?

    Algérie. Des promesses, pour quel résultats ?

    Algérie. Des promesses, pour quel résultats ? – produits agricoles, prix, huile de table, semoule, spéculation,

    Contrairement aux promesses des ministres du Commerce et de l’Agriculture, la mercuriale n’a pas enclenché un mouvement baissier. Ni la fin de la première semaine, ni la seconde n’ont vu la réalisation des prévisions ministérielles. L’inflation que connaissent les produits agricoles et les tensions perceptibles sur l’huile et la semoule amènent les citoyens à faire un constat d’échec de ces deux départements. Ils n’ont plus besoin de s’exprimer à quelques jours de la fin du mois sacré. La vérité est qu’ils ont perdu leur pari, au point où les instances de l’Etat n’arrivent même plus à se faire entendre par les citoyens. Les informations sur les nombreuses saisies de nourriture illégalement stockée et même les 10 ans de prison écopés par un spéculateur, ne font pas réagir l’opinion. Tant que les Algériens ne sentent pas les effets du déploiement de l’Etat dans son panier, il ne fait pas cas des efforts déployés. Il faut dire que ceux-ci n’ont pas suffi à arrêter le monstre de la spéculation. C’est un fait.

    Maintenant que l’échec est pratiquement consommé, l’opinion publique découvre que l’on n’est pas mieux lotis pour ce qui concerne les effets vestimentaires pour l’Aid El Fitr. Les parents qui pensaient bénéficier d’une baisse des prix des produits de consommation pour répondre présent à la demande de leurs enfants, déchantent et réfléchissent déjà au système D qu’ils vont devoir adopter pour sortir de ce mois avec un minimum de dégâts financiers. Cela dit, il ne faut pas, non plus, faire dans l’exagération. Entre deux complaintes, les familles algériennes ont su profiter de ce mois béni et avant même qu’ils ne finissent, pensent déjà aux joies du prochain. Que l’administration a prêté le flanc est une chose, mais cela n’entamera pas l’amour qu’ont grands et petits pour le mois sacré. Qu’on se le dise donc.

    Il reste, cependant que cette tendance aux «laxisme» des autorités publiques a quelque peu gâché le tableau que tout le monde aurait voulu voir idyllique. Et pour cause, l’impréparation des services habilités a entraîné une sorte de réaction en chaîne, débouchant sur un démarrage en catastrophe de ce mois sacré, avec les scènes que l’on a vu autour des supérettes. Même si ces images sont derrière nous et pratiquement oubliées après près d’une vingtaine de jours de jeûne et de veillées ramadanesques, il reste tout de même un arrière-goût de promesses non tenues et une impression d’imperfection dans l’attitude de certains agents de l’Etat.

    Aussi, disons-le donc clairement que l’administration n’a pas été vraiment au top dans la gestion du Ramadhan 2022. Ceci entraînera, à n’en pas douter, des remontrances légitimes de la part des citoyens, tant que l’administration n’a pas fait montre d’une parfaite maîtrise du processus commercial.
    Par Nabil G.

    Ouest Tribune, 20/04/2022

  • L’Europe dénonce l’entrée massive de tomates du Maroc et la Turquie

    L’Espagne et d’autres pays européens ont dénoncé l’entrée massive de tomates et de fruits d’été en provenance du Maroc et de la Turquie.

    La question a été abordée mardi par les ministres de l’agriculture de l’Union européenne lors d’un Conseil « Agriculture » qui s’est tenu à Luxembourg. Organisé deux fois par an, ce Conseil permet à la Commission de faire le point sur la situation des différents marchés agricoles.

    Le ministre espagnol de l’Agriculture, de la Pêche et de l’Alimentation, Luis Planas, a déclaré lundi à Efeagro qu’il existe des préoccupations concernant « la situation du marché de la tomate, les importations en provenance de pays tiers et la manière dont notre production en est affectée en termes de prix et de surface cultivée ».

    « En ce qui concerne les tomates et les fruits d’été, les États membres font état d’une pression croissante ces dernières années de la part des importations en provenance de pays tiers, notamment la Turquie et le Maroc. Ainsi, ils demandent que les accords d’importation avec ces pays soient revus », indique un document qui a été préparé pour la réunion.

    Fresh Plaza, 01/07/2021

    Etiquettes : Union Européenne, UE, agriculture, produits agricoles, fruits d’été, légumes, Maroc, Turquie,

  • APEDA: promouvoir les exportations agricoles vers l’Algérie

    L’APEDA organise une réunion virtuelle pour promouvoir les exportations agricoles vers l’Algérie.

    Dans le but de stimuler les exportations de produits agricoles et de produits alimentaires transformés, l’APEDA (Autorité de développement des exportations de produits agricoles et alimentaires transformés), en collaboration avec l’ambassade indienne, a organisé une rencontre virtuelle entre acheteurs et vendeurs (RVEAV) avec l’Algérie, à laquelle ont participé les principaux acteurs des chaînes de valeur agricoles des deux pays.

    Plus de 100 participants, y compris des exportateurs, des transformateurs et des négociants de produits agricoles de base de l’Inde et de l’Algérie ont participé à la RVEAV intitulée « Opportunités dans le secteur agricole entre l’Inde et l’Algérie » organisée mercredi.

    En raison de la pandémie actuelle de Covid19, les programmes de promotion des exportations n’ont pas pu être organisés physiquement. L’APEDA a organisé une série de RVEAV avec différents pays pour fournir une plateforme aux exportateurs et aux importateurs.

    Lors de la VBSM organisée avec des représentants du commerce et du gouvernement algériens, les possibilités d’augmenter les exportations de produits agricoles indiens certifiés par des indications géographiques (IG) ont été discutées.

    Le potentiel d’exportation vers l’Algérie de produits tels que les céréales, les produits d’origine animale, le riz basmati et non basmati, etc. a été discuté au cours de la RVEAV.

    Outre les représentants de l’APEDA et de l’ambassade indienne, des représentants du commerce, notamment des représentants de la All India Rice Exporters Association, de la Rice Exporters Association, de la All India Food Processors Association, des importateurs algériens, dont la Sarl Agro Plast Compant, Eurl kbline, Haddadi Med Business Export et d’autres, ont participé au RVEAV.

    SME Times, 24 juin 2021

    Etiquettes : Algérie, APEDA, exportation, produits agricoles, aliments, Inde,