Étiquette : Rachad

  • Algérie : démantèlement d’une cellule de Rachad à Tissemsilt

    LE CAS DE TISSEMSILT EN DIT LONG SUR LES ACTIVITÉS SUBVERSIVES DE CETTE ORGANISATION TERRORISTE : Chasse ouverte aux acolytes de Rachad

    Les masques tombent chaque jour un peu plus et le complot qui vise la stabilité du pays est chaque jour débusqué et déjoué avec preuves à l’appui pour convaincre les plus sceptiques. L’organisation Rachad n’a pas renié sa matrice, le terrorisme, et son essence de formation que la stabilité du pays dérange. Sa trahison au pays et ses martyrs devient de plus en plus évidente.

    Jeudi dernier, un communiqué de la Sûreté nationale a fait état du démantèlement d’une cellule de cette organisation qui activait, via les réseaux sociaux, à partir de la wilaya de Tissemsilt. « Les résultats de l’enquête réalisée dans le cadre d’une affaire traitée par les services de sûreté de la wilaya de Tissemsilt, en coordination avec l’Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication (OCLCTIC) à la Direction de la police judiciaire, ont permis l’identification et l’arrestation d’un suspect (33 ans-sans profession) résidant à Tissemsilt, qui avait ouvert plusieurs comptes via les plateformes numériques, notamment pour la propagande et la publication de tracts liés à l’organisation terroriste Rachad, entre autres documents subversifs », a révélé le document.

    C’est une preuve de plus que Rachad fait preuve d’acharnement contre le pays et ses institutions qu’elle veut déstabiliser par l’intox, la fabrication de fake-news, et la diffusion de fausses informations visant à porter atteinte à la paix et la sécurité du pays.

    Rachad, qui s’est constituée autour d’un noyau d’individus liés organiquement avec l’ancien parti dissous le FIS, responsables de la décennie noire, n’a jamais caché son essence terroriste. Ces dirigeants, au moment où le Hirak insistait sur le caractère pacifique de ses marches, appelaient depuis les capitales occidentales à la violence et au chaos comme mode de revendication politique.

    Aujourd’hui, sa relation avec des milieux hostiles à l’Algérie, le Maroc ou encore Israël est établie. Elle n’a jamais caché son désir de voir le terrorisme se réinstaller en Algérie.

    La vigilance est de mise car, cette organisation, dont les membres fondateurs sont des aigris qui n’ont jamais pardonné au peuple sa résistance face à leur machine terroriste durant la décennie noire, pourraient revenir à la charge pour attenter, encore et encore à la stabilité du pays.

    Tapis dans leur confort dans les capitales occidentales et choyés par leurs soutiens qui se recrutent parmi tous ceux qui ne portent pas l’Algérie dans leur cœur, ils ne voient en la jeunesse du pays, qu’une chair à canon qu’ils n’hésiteraient pas à utiliser pour ressusciter leur projet d’Etat théocratique régi par un obscurantisme réducteur nourri par les ennemis de tous bords de l’Algérie.
    Slimane B.

    Le Courrier d’Algérie, 29 mai 2021

    Etiquettes : Algérie, Tissemsilt, Rachad, islamistes,

  • Hirak: Alger imprenable par la silmiya

    Depuis la reprise des marches hebdomadaires du mouvement populaire pacifique « Hirak », à l’occasion de la célébration de son deuxième anniversaire, les manifestants font face à une gestion sécuritaire inhabituelle voire déroutante, notamment après la décision d’imposer « la déclaration » au préalable des manifestations auprès des autorités, ce qui revient à les interdire. En ce vendredi 28 mai, la capitale ainsi que la majorité des villes du pays ont été investies par un imposant dispositif de sécurité. Aucune manifestation non autorisée ne sera tolérée. Le hirak est mis en sourdine par les forces de l’ordre. Alger est désormais imprenable par la silmiya.

    A l’approche des élections législatives du 12 juin, le ministère de l’Intérieur a annoncé dans un communiqué que les organisateurs du Hirak, un mouvement sans véritable leadership, sont tenus de faire une déclaration auprès des autorités compétentes comprenant « les noms des responsables de l’organisation de la marche, l’heure de son début et de sa fin, son itinéraire et les slogans brandis », précisant que le non-respect de ces procédures «dénue la marche de tout caractère légal et implique un traitement en conséquence ».

    Depuis, les forces de l’ordre, dépêché en grand nombre, ont empêché sans ménagement les marches hebdomadaires, et procédé à l’arrestation de dizaines de militants, chefs de partis et journalistes, comme le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Mohcine Belabbas, Fethi Ghares, coordinateur du parti Mouvement démocratique et social (MDS), les journalistes Khaled Drarni et Kenza Khatto, à qui le parquet a requis mardi un an de prison ferme.

    Selon les chiffres rapportés au Jeune Indépendant, par le vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (LADDH), Saïd Salhi, plus de 2.000 manifestants ont été interpellés depuis le 14 mai courant, dont près d’une centaine ont été placés en garde à vue et une soixantaine sous mandat de dépôt, dans 19 wilayas.

    Le plus lourd bilan d’arrestation, affirme M. Salhi, a été enregistré au cours de la 117 marche du Hirak, avec près de 1000 interpellations dans 15 wilayas, précisant néanmoins, que la plupart des interpellés ont été relâchés dans les heures qui ont suivi.

    De son coté, Me Abderrahmane Salah, membre du collectif des avocats du Hirak, a affirmé au Jeune Indépendant que 173 personnes sont actuellement incarcérées et poursuivies pour des faits en lien avec le Hirak, condamnant « ses graves agissements » qui portent atteinte, s’alarme-t-il, à l’image de l’Algérie et installent chez les citoyens un sentiment d’instabilité et d’insécurité.

    «La répression quotidienne s’accroît en Algérie, en contradiction totale avec les lois de la République et en violation flagrante des droits fondamentaux des citoyens, que garantit la Constitution», a déploré Me Salah, faisant savoir que rien que cette semaine, près de 20 personnes ont été condamnées à des peines de prison «pour avoir tenté de participer à des marches du mouvement de contestation populaire Hirak».

    Il a également signalé que les chefs d’inculpation contre les manifestants sont généralement les mêmes, « incitation à attroupement non armé », «atteinte à l’unité nationale», et, depuis l’interdiction des rassemblements, «non-respect des mesures administratives ».

    Par ailleurs, les autorités politiques et militaires du pays ont affirmé à plusieurs reprises avoir déjà répondu aux principales revendications du Hirak et qualifie ses militants de « magma contre-révolutionnaire ». C’est d’ailleurs sur la même tonalité que, le chef d’état-major de l’Armée nationale populaire le général de Corps d’Armée, Said Chanegriha, a adressé un message de mise en garde aux partisans du Hirak, qu’il a qualifié «d’aventuriers tentés de jouer avec l’unité et l’intégrité de la Nation ».

    Le Haut conseil de sécurité avait classé, le 18 mai, le Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (MAK) et le Mouvement islamiste RACHAD comme «organisations terroristes» les accusant d’être les principaux instigateurs du hirak.

    Le jeune Indépendant, 29 mai 2021

    Etiquettes : Algérie, Hirak, silmiya, manifestation, MAK, Rachad, Alger,

  • Algérie : Halte à la haine !

    A l’approche du rendez-vous électoral du 12 juin prochain, les prédateurs de la cohésion sociale redoublent d’efforts et se dé « chainent sur tous les fronts. En plus d’un Hirak totalement dévié de ses origines de changement, les contestations socioprofessionnelles dans certains secteurs économiques et administratifs sont une réalité et montrent preuve à l’appui la suite d’un agenda stratégique établi pour la déstabilisation de l’Algérie d’où ce regain prompt de manipulation et qui prend la forme d’une véritable campagne visant l’ordre public en vue de l’instauration d’un climat de confusion à la veille de l’important scrutin législatif. A ce propos, le général de corps d’Armée Saïd Chengriha, chef d’état-major de l’ANP, a dimanche lors de son allocution inaugurale des travaux du séminaire intitulé  » La Cyber-sécurité et la cyber-défense « ,a indiqué, que les sites et les réseaux sociaux constituent une  » tribune  » pour les réseaux du crime organisé, connus pour  » leur rancune et leur haine  » envers l’Algérie, qui a réussi à  » contrer leurs attaches et mettre en échec tous leurs plans et complots menés à travers le cyberespace « . Il a expliqué :  » Les sites et les réseaux sociaux ont constitué ainsi, une tribune pour les réseaux du crime organisé, connus pour leur rancune et leur haine envers l’Etat algérien, connu pour ses principes immuables, ses nobles valeurs humaines et sa Révolution de libération inégalée dans l’histoire, pour mener des campagnes subversives visant à porter préjudice à la stabilité et à semer la discorde entre les fils du même pays « . Dans ce contexte, le général de corps d’Armée a précisé que  » les tentatives de manipulation, la diffusion des messages de propagande, la promotion des idées subversives par ces réseaux ont, clairement, pour objectif de service des agendas hostiles qui sont désormais démarqués pour tous « .

    En effet, ces tentatives de manipulation font partie d’un agenda préétabli par des milieux à la fois occultes mais aussi connus. Un autre prétexte pour attirer l’ingérence étrangère. Et pour preuve, le MAK et Rachad, deux mouvements classés dans la liste du terrorisme, sautent sur l’occasion pour se hisser dans l’actualité. Ils supplient certaines capitales étrangères et des ONG hostiles à l’Algérie de faire un travail de sape à l’égard de l’Algérie et ses institutions. Ces appels n’étonnent pas de la part du MAK et de Rachad et répondent au  » mémoire  » que Ferhat Mehenni et Mohamed Larbi Zitout ont étudié avec le Makhzen et le Mossad. Aujourd’hui, il n’est plus question de douter que ces tentatives sont le fait de manipulation et de propagande dont l’attitude et l’adversité de ces aventuriers ne peuvent changer à l’égard de la Nation.

    C’est une erreur de le croire, ils ne sont pas en mesure de modifier leur haine contre la stabilité de l’Algérie et son épanouissement social et économique. Les raisons avancées pour justifier l’acharnement de ces aventuriers et autres acteurs de l’anarchie tendant à porter atteinte à l’essence même du climat ambiant à la paix sociale, renvoient fréquemment à la culture politicienne dénigrante, notion utilisée par les faibles dans un sens de haine, de rancunes et volontarisme affichés ainsi à toute stabilité du pays. Un activisme qui se caractérise par une adhésion sans faille tournée vers le mal au détriment du bien, mais aussi une réaction aux similitudes d’un environnement pollué des politiques.

    L’immersion dans la réalité populaire rend compte de la cohérence et de la convergence de la mobilisation autour de la stabilité du pays et la préservation de son avenir.

    L’ensemble de la communauté nationale prend de plus en plus conscience du danger qui la menace : les aventuriers, les mercenaires de réseaux sociaux. A ce sujet, le Chef d’état-major de l’ANP a précisé que la mission de protection, de sécurisation et de défense de notre cyberespace est une responsabilité collective, assurée par une stratégie nationale globale de cyber-sécurité, à laquelle nous devons tous adhérer, à commencer par le citoyen, qui doit prendre conscience des dangers des cyberespaces et respecter rigoureusement les mesures appropriées lors de l’utilisation des moyens technologiques, en passant par les experts « .
    B. C.

    Le Maghreb, 26-05-2021

    Etiquettes : Algérie, élections législatives, unité, union, haine, armée, MAK, Rachad,

  • La stratégie de l’Algérie face aux groupes terroristes

    La stratégie de l’Algérie face aux groupes terroristes

    La stratégie de l’Algérie face aux groupes terroristes … Mesures préventives pour la confrontation … Démantèlement des mouvements extrémistes dans le pays et à l’étranger … et mise sur liste noire des organisations

    La stratégie de l’Algérie face aux groupes terroristes … Mesures préventives pour la confrontation … Démantèlement des mouvements extrémistes dans le pays et à l’étranger … et mise sur liste noire des organisations

    L’Algérie s’est occupée des groupes terroristes au cours des derniers mois selon une stratégie par laquelle elle surveille les mesures prises par ces groupes terroristes qui cherchent à mettre en œuvre leur embargo visant à déstabiliser la sécurité et la stabilité du pays. L’organisation internationale des Frères musulmans a reçu une nouvelle coup dur en Algérie, les autorités algériennes annonçant officiellement l’inclusion du mouvement des Frères musulmans « Rashad » et le « MAC » séparatiste est sur les listes des terroristes. Ceci est intervenu après une réunion du Conseil suprême de sécurité présidé par le président Abdel Majid Tebboune, en présence de le commandant d’état-major de l’armée, les chefs des services de sécurité intérieure et extérieure et les ministres des affaires étrangères, de l’intérieur et de la justice.

    La décision des autorités algériennes est intervenue après avoir étudié « les actes d’hostilité et d’incitation commis par les mouvements dits » Rashad « et » MAC « , qui visent à déstabiliser le pays et à compromettre sa sécurité ».

    Les autorités algériennes de sécurité et de justice ont déclaré qu’elles avaient «préparé un dossier lourd sur les membres de la Fraternité, qui contenait des preuves irréfutables de l’implication de ses membres dans le soutien et le financement d’actes terroristes en Algérie et dans d’autres pays et la formation d’un groupe terroriste à l’étranger».

    Mounir Adeeb, chercheur sur les mouvements extrémistes et le terrorisme international, a déclaré que placer le mouvement des Frères musulmans « Rashad » sur les listes terroristes en Algérie fait partie d’une tendance arabe à affronter les groupes islamistes politiques et les organisations de violence et d’extrémisme, ajoutant que l’Égypte est à la tête de la Région arabe pour confronter toutes les organisations extrémistes avec des extensions Droit international impliqué dans l’utilisation ou l’incitation à la violence.

    Adeeb a souligné que l’Algérie a souffert du terrorisme pendant plus de 10 ans dans ce que l’on appelle la décennie noire depuis 1992 et après, en raison de l’expansion des organisations extrémistes, au premier rang desquelles se trouvaient le Front du Salut et le mouvement des Frères musulmans, et après cette période, l’Etat a réussi à étendre son contrôle et son autorité et à démanteler ces organisations au niveau de la structure de l’organisation et au niveau des idées.

    Sur l’importance de cette étape malgré l’existence de ce mouvement depuis 14 ans, Adeeb a déclaré que l’Algérie est l’un des pays les plus importants qui porte une vision stratégique face aux organisations extrémistes, et a donc choisi le moment opportun pour la mettre en œuvre. les listes terroristes, mais cette étape a été précédée par le démantèlement du mouvement à l’intérieur de l’Algérie, d’autant plus qu’elle a grandi hors d’Algérie, et a aussi démonté ses idées, et ici, placer le mouvement sur des listes terroristes a été bénéfique pour l’éliminer complètement.

    Le chercheur dans les affaires des mouvements extrémistes et du terrorisme international a confirmé que ce mouvement est l’héritier légitime du Front du Salut et recevait un soutien et un soutien pour le mouvement des Frères musulmans à l’intérieur et à l’extérieur de l’Algérie, et qu’il était donc confronté à la nécessité d’affronter tous les incubateurs qui initialement l’a soutenu et en a coupé les lignes de ravitaillement, d’autant plus que les services de renseignement algériens ont réussi à capturer des réunions qui ont eu lieu à l’étranger avec les services de renseignement de pays étrangers qui soutenaient l’orientation armée du mouvement dans son pays.

    Actuexpress.net, 2021-05-22

    Etiquettes : Algérie, MAK, Rachad, frères musulmans, terrorisme,

  • Après une courte garde à vue: Ferhat Mehenni libéré

    par R. N.

    Le président du « Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie » (MAK) a été brièvement placé en garde à vue à Paris, mardi, dans une enquête pour blanchiment en bande organisée, selon l’AFP citant le parquet de Paris. Ferhat Mehenni, qui a été placé en garde à vue, mardi matin, après avoir été convoqué par la police, a été libéré dans la soirée sans poursuite à ce stade, selon le parquet.

    Toujours selon l’AFP citant une source proche du dossier, Mehenni «a été entendu par la Brigade de recherches et d’investigations financières (Brif) de la police judiciaire parisienne». «Ça n’a rien de politique», a précisé la même source. Sept autres personnes ont également été placées en garde à vue dans cette enquête et deux d’entre elles ont été relâchées mardi soir, selon le parquet. Par ailleurs, une « deuxième source proche du dossier», affirme que «ces gardes à vue s’inscrivent dans une procédure contre un trafic de revente de tickets gagnants de PMU».

    Cette affaire a coïncidé avec le communiqué du Haut-Conseil de sécurité, réuni mardi sous la présidence de Abdelmadjid Tebboune. Le Haut-Conseil de sécurité « s’est penché sur les actes hostiles et subversifs commis par les mouvements dits (Rachad) et (MAK) pour déstabiliser le pays et attenter à sa sécurité, et décidé, dans ce cadre, de les classer sur la liste des organisations terroristes et de les traiter comme telles », selon le communiqué.

    Le Quotidien d’Oran, 20 mai 2021

    Etiquettes : Algérie, France, Ferhat Mehenni, MAK, Rachad,

  • Algérie: Chapelets (…) et cris de haine

    Par B. Chellali


    La réalité sociologique et politique a toujours conduit les ennemis de la Patrie à tenir compte qu’ils ne pourront à aucun moment, aucune circonstance captée l’adhésion des masses à leur aventure caractérisée par des assauts répétés à l’encontre de la stabilité générale du pays. D’où a-t-on assisté ces derniers temps à cette poussée de pressions subversives trop extrémistes à travers le verbe et la parole et qui semblent impénétrables que les destinées divines. De Mohamed Zitout (Rachad) à Ferhat Mehenni (MAK) en passant par les résidus de l’ex-FIS et des abonnés de la chaine de télévision El Magharibya ce n’est en fait qu’un groupe de laquais porte-parole des ennemis de la nation qui tentent d’imposer le chaos et servir en même temps des parties étrangères.

    Lors de sa réunion de mardi, le Haut Conseil de Sécurité(HCS) présidé par le président de la République chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale s’est penché sur les actes hostiles et subversifs commis par les mouvements dits Rachad et MAK pour déstabiliser le pays et attenter à sa sécurité. Le HCS a décidé au cours de cette réunion, de classer ces deux mouvements extrémistes sur la liste des organisations terroristes et de les traiter comme telles. Cette décision est incontestable et elle intervient suite à des preuves convaincantes et vérifiables. Dans ce genre de situation, et à ce niveau d’abstraction, il est certain que des détails foudroyants contre Rachad et le MAK seront révélés dans les prochaines jours.

    A travers cette décision attendue et singulière, par les preuves, on relève que c’est une réplique officielle à ces deux mouvements totalement orientés vers la déstabilisation de l’Algérie tout en étant financés par des officines étrangères (il n’y a aucune partie étrangère, qui vous donne de l’argent et qui ne demande pas un retour…).En effet, Rachad mène depuis des années une campagne de mensonges, matraquage, dénigrement que ses animateurs, Mohamed Zitout injecte et ballote, depuis Londres pour tenter de dominer les consciences et caporaliser la jeunesse, aidé par la chaine de télévision El Magharibya (propriété des fils d’Abassi Madani. Ferhat Mehenni (MAK) dont l’âme a été anéantie par le Makhzen et le Mossad est présent dans l’actualité pour mettre en exécution la partition de l’Algérie comme voulue par certaine capitale étrangère et mise beaucoup sur l’adhésion du peuple Kabyle. Faux rêves, fausse illusion la Kabylie ne s’est jamais soumise à ce traitre manipulé par nombre de services secrets étrangers. A ce propos, il est à rappeler qu’aucune partie étrangère n’a le doit d’indiquer à un pays souverain comment manier ses propres affaires internes, voire sa politique étrangère. Un droit de regard sur la gestion des affaires internes, qui a juste titre est considéré comme une admissible atteinte à la souveraineté nationale.

    L’enjeu est important : il ne faut pas permettre à ces traitres de faire régner la « terreur sociale » visant la dislocation de la société algérienne. Il faut cependant noter, en parlant de contestation, de manifestations et d’actes subversifs, que le but recherché n’est tout autre que l’expression et la volonté d’une conspiration ourdie de l’étranger. C’est en effet, chapelets (…) et cris de haine contre la stabilité de l’Algérie qu’on entend dont les « clameurs » ont ce souci permanent à chercher à faire ressurgir particulièrement une prétendue orthodoxie extrémiste qui leur est propre à travers des voies subversives. Des clameurs qui sont en train de brocarder au travers d’un activisme visant la sérénité du moment, notamment à la veille des élections législatives du 12 juin prochain. Il s’agit de fait d’individus totalement opposés au redressement du pays et à l’espoir populaire pour un lendemain meilleur. Un espoir que les ennemis de la Patrie, ceux qui tiennent revenir sur la scène politique, devinent clairement en « négative », tant et évidente leur volonté de folâtrer la cohésion nationale. Aussi la conspiration de Rachad et du MAK sous la dictée de parties étrangères relève d’un « terrorisme psychologique »exercé en continu sur la société aux fins de semer l’anarchie et la désobéissance civile, est une trahison des intérêts suprêmes de la nation. Il y a une dramaturgie sous-jacente derrière laquelle on recherche une certaine politique belliciste pour intimider le peuple et le provoquer.

    Ainsi le classement de Rachad et du MAK sur la liste des organisations terroristes se veut un avertissement sur leurs manœuvres tendancieuses, il faut donc croire qu’elles sont réelles et il n’est plus possible à présent de les camoufler. Aujourd’hui sont manœuvres sont perçues avec plus de preuves, de justifications et tout le monde sait quels sont les responsables en l’occurrence Rachad et le MAK appointés aux résidus de l’ex-FIS et aux faux démocrates et à certains acolytes qui ont des comptes à régler avec l’Algérie.

    Le Maghreb, 20-05-2021

    Etiquettes : Algérie, Rachad, MAK, organisation terroristes, déstabilisation,

  • La détention de Ferhat Mehenni coïncide avec la signature de l’accord d’extradition entre la France et l’Algérie

    La nouvelle de la mise en garde-à-vue dans un commissariat parisien de Ferhat Mehenni, le dirigeant du Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie (MAK) coïncide avec deux événements d’une grande importance pour l’Algérie :

    -La signature de l’accord sur l’extradition entre Alger et Paris

    – La décision du gouvernement algérien d’inscrire le MAK et la mouvance Rachad dans la liste d’organisations terroristes

    Aucune information n’a été donnée au sujet de son arrestation à la Prefecture de Police du 17ème Arrondissement, mais il est for probable qu’elle soit liée aux deux événements précités.

    Etiquettes : Algérie, MAK, Ferhat Mehenni, Rachad, terrorisme, séparatisme,

  • Algérie/Le rôle de la cellule dormante de Rachad et de ses foules de supplétifs partisans.

    « Nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence par l’infiltration plutôt que l’invasion, la subversion plutôt que les élections et l’intimidation au lieu du libre-arbitre”.

    C’est un moyen qui nécessite énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et d’une efficacité remarquable, elle combine des opérations militaires, diplomatiques.
    Ses ramifications sont occultées et non publiées. Ses erreurs sont enterrées et ne font pas les gros titres, on fait taire ses dissidents, on ne les glorifie pas, aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret n’est révélé. »

    (John F. Kennedy, au cours d’une conférence à l’Hôtel Waldorf Astoria de New York, le 27 avril 1961, au sujet d’un gouvernement secret dans les coulisses de la politique mondiale)…Il en est mort……assassiné !
    Un sujet qui dérange… qui lève un peu le voile sur le rôle de la cellule dormante de Rachad et de ses foules de supplétifs partisans dans la modification du tissu social, théologique, géostratégique et géographique d’une population œuvrant pour le développement, la paix et la sécurité de la population de la région.
    Comprendre les rivalités sectaro-milices entreprises par la cellule dormante et ses agents supplétifs de « Rachad » n’est pas chose aisée.

    Des rancœurs également alimentées par la rivalité de la décennie 1990 entre algérien. Il convient toutefois ne pas négliger cet aspect qui influe par bien des égards sur la politique extérieure des États de la péninsule arabique et de notre géographie maghrébine au premier rang desquels on peut compter la Syrie, l’Irak, la Libye, la Tunisie et l’Algérie.

    Le résultat logique de cette milice est l’extrémisme. On ne peut pas tout mettre sur le dos des méthodes brutales des régimes arabes. Ceux qui disent qu’on aurait dû mieux soutenir les soi-disant modérés auparavant, oublient ce qui arrive lorsque les États s’effondrent et que les milices prennent la place de l’État.

    Les gens se réfugient dans des appartenances identitaires plus primitives, et ce sont les supplétifs partisans aidés par les cellules dormantes qui prennent le dessus. Ceux ci, se développent en tandem et se rapprochent les uns des autres, dans un processus complexe d’adaptation mutuelle.

    Les frontières entre le réel et l’imaginaire disparaissent et, finalement, c’est l’imaginé qui hante leurs imaginations et conduit leurs politiques. Au lieu d’informer sur la réalité du système en place (réalité économique, bancaire, impérialiste et esclavagiste), auxquelles le peuple algérien s’est interrogé sur les moyens qui ont permis à une poignée de personnes d’amasser des richesses immenses par des voies illégales.

    Ceux-là, préfèrent portés à l’ordre du jour les problèmes, des mouvements populaires d’opposition, des personnes arrêtées, jetées en prison et de tous ce qui peut participer aux attaques envers le triumvirat : la présidence de la république , l’institution militaire et le docteur Ahmed Bensaada.

    Tout ce soutien extérieur que les supplétifs de Rachad ont reçu les a de plus éloignés de leur propre société. Les vrais supplétifs sont organiquement liés à leurs communautés et accordent une grande importance à leur bien-être. C’est souvent parce qu’ils reposent sur leurs communautés pour leur approvisionnement et d’autres formes de soutien propagandistes et médiatiques. Auxquels ils s’en donnaient à cœur joie certains médias tels que « Radio M » avec des journalistes à l’instar d’Al-Kadi-Ihsen et Imad Boubekri.

    A cela s’joute dans la même corbeille, au-dessus de toutes soupçon deux autres supplétifs de l’université algérienne respectivement : Saci Belgat et Rachid Dahak qui ne lésinent pas sans fausse honte à porter des coups bas sur l’auteur Ahmed Bensaada, le tombeur des félons, celui par lequel tous les projets complotistes, contre l’Algérie, sont tombés et leurs auteurs mis à nu comme de vulgaires débutants rongés par la frustration, la haine et la cupidité.

    Il est certain, qu’ils ne sont pas en mesure de s’attaquer à leurs alliés et copains supplétifs du SNAPAP, LADDH, CFDA, CGATA, ou Amnesty International, FIDH et RSF, pour condamner leur action portant amplement l’ingérence dans les affaires internes de l’Algérie. Mais plutôt ils préfèrent porter leurs attaque concentrée à des personnes présumées innocentes, dont leur seul tort est d’avoir écrit sur les financements attribués à des identités louches aux ramifications internationales douteuses, entre autres celles qui s’autoproclamaient les ténors du Hirak Algérien.

    Pourquoi s’attaquent-ils à Ahmed Bensaada ?

    Pourtant le docteur Ahmed Bensaada n’a cessé de le marteler « Pourquoi l’argent fut-il donné aux autoproclamés du peuple algérien et non pas aux démocrates constitutionnels ? On devrait pourtant supposer ceux-ci plus proches et plus chers aux cœurs des médias, des journalistes et intellectuels algériens »

    Donc la présence de cellule supplétive dormante dans quelques médias et universités Algérienne, représenterait une source potentielle de déstabilisation, est une source d’inquiétude pour le peuple Algérien dans sa majorité patriotique, qui se voit menacé dans son environnement national par ces groupuscules.

    Ceci est prouvé par plusieurs guerres hybrides désespérées que l’empire étasunien ait déclenché contre l’Algérie en réponse à sa première tentative de changement de régime en 1992 avec le parti dessous et ses supplétifs!
    Dans ces cas, on peut affirmer que l’Algérie a toujours été considérée comme l’objectif le plus stratégique de tous les États affectés par les printemps arabes.

    Forcément si un groupe est financé de l’extérieur et n’a pas besoin des services du pays, il peut terroriser ses concitoyens ou se moquer de provoquer sa destruction. Comment cela est-il possible que des gens de mon pays bons et honnêtes, pour lesquels j’ai beaucoup de preuves de ce que j’avance, puissent participer à des escroqueries et des fraudes, sachant pertinemment que cela va affecter des milliers de leurs concitoyens. »

    Pour ce faire une idée très précise du modus operandi de ses foules formées de supplétifs, consultez le livre Arabesques, enquête sur le rôle des États-Unis dans les révolutions arabes d’Ahmed Bensaada et son dernier chef d’œuvre « Qui sont les ténors autoproclamés du Hirak algérien ? »

    Les faits présentés dans ces deux livres, sont à couper le souffle, ils sont une véritable bombe littéraire qui explosera à la figure de chaque lecteur !

    De manière évidente, qui que ce soit qui aient écrits ces livres, l’objectif pour lui était de prévenir contre l’agression occidentale à venir et montrer du doigt les sources originelles du mal, parce que l’assistance technique des officines américaines contrôlées par la gouvernance mondiale étaient toujours nécessaire pour que les pères fondateurs du « mondialisme »construisent leur machine de guerre.

    Ici vous aller observer vraisemblablement que le mode opératoire de Wall-Street avec les bolchéviques n’a cessé de se répéter aujourd’hui, avec le monde arabe en général et le Hirak algérien en particulier ? C’est hélas cette triste vérité qui obsède les uns et que les autres refusent de voir.

    Qui sont-ils ces hommes sensés nous représenter ?

    Le site d’Ahmed Bensaada publie la liste des organisations signataires de l’appel à l’origine de la résolution du parlement européen, condamnant l’Algérie : Suite à ce revirement devenu un rituel de la part de certaines institutions pour exercer des pressions sur l’Algérie, il est important de connaître les noms :
    l’Institut du Caire pour les études des droits de l’homme (CIHRS), le Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA) Riposte Internationale, la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), CIVICUS : Alliance mondiale pour la participation citoyenne, Reporters Sans Frontières, le Syndicat National Autonome des Personnels de l’Administration Publique (SNAPAP), la Confédération générale autonome des travailleurs en Algérie (CGATA), la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), Article 19, Cartooning for Peace, le Forum de solidarité euro-méditerranéen (FORSEM), Amnesty International, Euromed Droits,l’Action pour le Changement et la Démocratie en Algérie (ACDA). (1)

    Également les deux livres cités ci-haut, présentent des noms des partis politiques, des ONG, telles que POMED (Project on Middle East Democracy, qui a attribué un prix, au mois d’octobre 2019, au chef de parti politique Sofiane Djilali, créateur et chef du parti Jil Jadid), le SNAPAP, le CNCD tous ont participé à des rencontres et séminaires réguliers avec la National Endowment for democracy –Agence des Etas-Unis pour le développement international (NED-USAID)

    L’ex chef du RCD ( Said Sadi) alla jusqu’à demander un soutien extérieur ? Ses confidences et bien d’autres contenues dans le cable 07ALGIERS1806 (6)

    Rappelant que le RCD n’était pas le seul parti participant à cette mission « tous frais payés ». La délégation était aussi composée de représentants des partis suivant :
    FLN, MSP, TAJ, JIL JADID, Front EL MOSTAKBAL, FFS et MPA. (4)
    Fodil Boumala déclara, que lors de son voyage aux Etats-Unis, il a été reçu par le président Obama en personne ? Il est vrai que l’Administration américaine a facilement ouvert les portes de ses prestigieux bureaux aux cyberactivistes arabes. (4)

    Où se situe le danger ?

    N’est-ce pas par un passé pas si lointain, l’évangélisme aidé par le MAK ont servi à pointer du doigt la Kabylie, qui se servaient de leur groupe comme d’un moyen de propagande politique et pour inciter à la haine et à la violence. Il a été relevé également la présence des éléments du MAK et des groupes djihadistes dans des régions du G5. Le tout sous la supervision de la France. (2)

    Ce serait donc pareil cas, pour Ghardaia que «le MAM » trouverait un terrain de prédilection et pourquoi pas puisque tout les ingrédients sont réunis pour une terrible tragédie dans les prochaines années.
    N’est-ce pas là une manière vivante de préparer des adversaires hybrides ? Puisque ils forment des entités non étatique capables de jouer des rôles que leurs attribuent le front d’intervention international. (3)
    Il nous semble que ce caractère particulier fait de l’Algérie un cas propice à étudier par la théorie des jeux coopératifs qui offre des outils permettant d’identifier les bénéficiaires de ce système de querelles confessionnelles.

    Toutefois, des explications vraisemblables nous ont été fournies sur les situations vécues par les pays auxquels des sectes n’ont pas cessé d’intervenir. (Voir le cas du Yémen, au Liban et en Syrie)
    Les informations que nous avons vues sur ces entités dans ces patries, fournissaient de preuves convaincantes à l’appui de la théorie de la conspiration de ses éléments contre leur pays. (4)
    Il n’est pas du tout rationnel d’essayer, comme les institutions européennes et parties influentes corrompues d’algérien organisées en supplétifs, de maquiller cette hostilité sous la forme d’une opposition au gouvernement au pouvoir parce que la vérité est évidente.

    Algérie: comment le mouvement Gülen aurait eu la peau de Toufik, l’ancien chef du DRS
    L’existence en Algérie de réseaux liés au turc Fethullah Gülen serait l’une des raisons ayant amené le Président Bouteflika à limoger son ancien chef des renseignements, le général Toufik.
    C’est ce qu’a rapporté le site ALG24, citant des sources affirmant que ce dernier aurait transmis au Président un rapport ne relatant pas la réalité des faits. Un article révélateur sur une histoire qui a une dimension internationale. Surtout que celle-ci est liée directement avec la souveraineté d’un pays (l’Algérie) (5)
    C’est à la fois inquiétant et étonnant d’actualité.

    L’observation des derniers événements en Algérie avec les islamistes rigoristes , le GIA et l’AIS , des organisations reconnues terroristes , nous rapproche de cette analyse de La règle d’or du point de vue géopolitique est de ne jamais leurs faire confiance (les cellules dormantes et ses foules de supplétifs partisans) qui ont participé au côté des américains et au côté de l’union européenne à masquer la vérité et non pas la révéler, tuer les enfants , les femmes dans une guerre qui continue de fournir des preuves et jette une lumière crue sur les rouages de la machine de mort de ces cellules de conspiration américaine , sans état d’âme !

    Voulant tout simplement que leurs maîtres remportaient victoire après victoire contre l’Algérie leur vieux rival, et l’a voir à genoux !

    (1) L’Algérie face à l’Union européenne et ses lobbys
    https://www.ahmedbensaada.com/index.php…
    (2)MAK (Mouvement algérien kabyle)
    (3) MAM (Mouvement algérien Mouzabite)
    (4) Arabesques Enquête sur le rôle des États-Unis dans les révoltes arabes.
    (5) Algérie: comment le mouvement Gülen aurait eu la peau de Toufik, l’ancien chef du DRS
    https://fr.sputniknews.com/…/201810081038409053…/…
    (6) Sonia Lyes, « les confidences de Saïd Sadi à l’ambassadeur américain en Algérie » TSA, 17 décembre 2010.

    Algérie54, 15 mai 2021

    Etiquettes : Algérie, Hirak, Rachad, MAK, islamistes, séparatistes,

  • Extradition entre l’Algérie et la France : Le glas a sonné pour les rescapés de la «Îssaba»

    C’est un grand pas de fait en matière de lutte contre la criminalité et la corruption, et en matière de stratégie de récupération des capitaux sortis illicitement vers l’étranger, qu’introduit le décret officiel annonçant la signature de convention d’extradition entre l’Algérie et la France.

    Autant dire que l’étau se resserre sur les fugitifs qui ont participé à la ruine du pays, et qui se prélassent à l’ombre des refuges et des paradis fiscaux. Ceux qui croyaient être sortis d’affaire, et qui sont passés à travers les mailles du filet de la lutte contre l’argent sale, ne sont plus dans l’impunité qui leurs a permis d’accomplir leurs méfaits et de fuir.

    A ce sujet la convention est on ne peut plus claire, elle stipule que «désireux de rendre plus efficace la coopération en matière de lutte contre la criminalité sous toutes ses formes par la conclusion d’une convention d’extradition (…) s’engagent à se livrer réciproquement, selon les règles et sous les conditions établies par la présente convention, les personnes poursuivies ou condamnées par leurs autorités judiciaires compétentes. Aux fins de la présente convention, donnent lieu à extradition, les infractions punies par les lois des parties d’une peine privative de liberté d’au moins une année ou d’une peine d’emprisonnement plus sévère».

    C’est l’ouverture d’un front nouveau pour la lutte contre l’argent sale, qui risque de faire remonter à la surface un nombre considérable de scandales et de dossiers brûlants. La plupart des affaires, en plus de celles liées au terrorisme international, seront les résultats de plusieurs décennies de gestion despotique, ou les dirigeants du pays se sont affairés à s’enrichir et à ériger le pouvoir de l’argent, comme seule autorité reconnue, et ou la loi de la jungle, celle du plus fort sera appliquée et imposée au peuple.

    Autant dire que le glas a sonné pour ceux qui ont orchestré la ruine du pays, et que se sont retranchés après la chute de leurs régime, à l’étranger. Ils semblent être attrapés par un renversement de situation inattendu, ou sous l’effet d’un partage mutuel d’intérêt entre les deux pays, les parois épaisses qui composaient leur impunité se sont anéanties sans résistance, par l’unique truchement de la loi.

    Cependant, il s’agit de mettre en place des mécanismes et des outils issus d’une coopération sans failles, ou les investigations et le partage seraient les armes absolues dans cette coalition contre le crime et la corruption.

    Dans ces termes, la signature de cette convention, viendra mettre fin à une longue période d’errance juridique, accentuée par des conjonctures, souvent non favorables à de telles avancées. Il y a lieu de convenir que les intérêts économiques et les enjeux géopolitiques des deux pays sont au centre de la conjoncture actuelle, et devraient motiver le renforcement des relations bilatérales.

    Cela étant, le chemin vers la récupération massive des sommes mirobolantes qui ont quitté le sol algérien, durant le règne de la Îssiba, est encore long et parsemé d’obstacles. Dans la mesure où la méfiance a fait de ces derniers des orfèvres en matière de manipulations de lois et de documents. Souvent leurs acquisitions à l’étranger se font à travers des prête-noms, et ne laissent trace de leur réel patrimoine, qu’en infime portion.

    Mais il est important de retenir que malgré les difficultés que vont rencontrer les investigations et les enquêtes, il est indéniable que les nouvelles voies de coopération entre les deux, sont ouvertes, et représenteront désormais le cauchemar des oligarques et des criminels qui lorgnaient l’espoir d’échapper aux poursuites judiciaires, et aux jugements prononcés à leur encontre.

    Source : Algerie-Eco via Maghreb Aujourd’hui

    Etiquettes : Algérie, France, extradition, Issaba, Rachad, argent sale, détournement,

  • Algérie/ Quand Ryad Mahrez déshabille les larbins de Rachad

    Le succès engrangé ces derniers jours par notre international Ryad Mahrez, sur les plan sportif et humanitaire de défense du droit des palestiniens d’Al Qods Occupé, n’a pas laissé indifférent des « employés » de la nébuleuse terroriste de Rachad à l’instar de Yahia Makhyouba, et le sulfureux Amir DZ, qui n’ont pas raté l’aubaine de s’attaquer à lui.

    Pour le premier cité, la réussite sportive de Ryad Mahrez, et l’engouement qu’il suscite chez les algériens, de l’intérieur, et l’extérieur, sert les « intérêts du régime ». Sieur Yahia Makhyouba veut priver les algériens fans du football, et supporters de l’équipe d’Algérie, de la joie suscitée par les prouesses techniques de leur idole, et son engagement pour la jeunesse algérienne.

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=DM5vYcOP_i8&w=560&h=315]

    Pour le second, Ryad Mahrez aurait dû soutenir « les détenus » du Hirak II, au lieu de soutenir les palestiniens d’Al Qods. Une comparaison débile, qui confirme l’alignement de ces sbires des officines aux thèses sionistes.

    Pire encore, celui qui détourne l’argent du Paypal, collecté pour ses « détenus » et leurs familles, vient à point nommé critiquer quelqu’un qui ne peut même atteindre ses chaussures, qui font trembler les filets des buts adverses, et qui font vibrer non seulement le peuple algérien, mais aussi le peuple palestinien frère.

    Algérie54, 10 mai 2021

    Etiquettes : Algérie, Rachad, Ryad Mahrez, Palestine, Al Qods,