Étiquette : Sarkozy

  • Avant le roi du Maroc, Sarkozy avait loué aussi Ben Ali

    Il est vrai que Sarkozy, ainsi que d’autres lobbystes du Makhzen ont beaucoup à perdre avec des changements véritablement démocratiques dans les » pays du sud » dont les peuples luttent entre autres, pour une véritable indépendance, une démocratie respectable.

    Pour les français, l’Etat marocain est un véritable relais dans la région. Un fidèle gendarme. Un Maroc national, démocratique et populaire c’est, entre autres, une mamelle perdue pour la françafrique

    De la même manière que Nicolas Sarkozy avait loué en 2008 son homologue Ben Ali pour les progrès accomplis en matière de libertés en Tunisie, Nicolas Sarkozy a fait le choix de s’engager aux côtés du roi Mohammed VI et n’hesite pas à afficher son soutien inconditionnel à la monarchie médiévale marocaine. Pourtant on est encore loin des réformes nécessaires pour engager le Maroc sur le chemin de la démocratie et d’un état de droit.

    Le roi continue de garder l’essentiel des pouvoirs politique, judiciaire et militaire. Par ailleurs aucune annonce n’est faite contre la corruption et les inégalités sociales qui minent la société marocaine. Le peuple marocain ne demande qu’un petit geste du roi pour appaiser ses souffrances quotidiennes.

    La jeunesse marocaine, les associations de défense des droits humains, les partis de la gauche démocratique dénoncent l’alignement de l’Elysée avec le pouvoir corrompu de Rabat.

    Tags : Maroc, Sarkozy, France, Mohammed VI, dictature,

  • Clintongate: Kadhafi a été tué pour avorter ses plans africains

    Clintongate: Kadhafi a été tué pour avorter ses plans africains

    Libye, Kadhafi, Union Africaine, monnaie africaine, Franc CFA, FCFA, Françafrique, France, Sarkozy, OTAN,

    Mouammar Kadhafi est devenu le chef du gouvernement libyen jusqu’à son assassinat en 2011. Kadhafi a eu des manières impitoyables mais a quand même beaucoup accompli pour son pays. L’une des politiques immédiates de Kadhafi était de partager les bénéfices et les richesses avec tous les Libyens.

    Kadhafi a utilisé la principale ressource de la Libye (le pétrole) pour aider à créer des programmes sociaux dans les domaines de l’éducation, de la santé, du logement, des travaux publics et des subventions pour l’électricité et la nourriture. Ses politiques ont converti la Libye de l’un des pays les plus pauvres du monde à avoir des réserves de change de 150 milliards de dollars et un pays sans dette extérieure. La Libye est devenue l’un des pays importants de l’Afrique.

    Pourquoi Mouammar Kadhafi était-il une menace ?

    Le « chef de la révolution » libyen, le colonel Mouammar Kadhafi, a appelé à la création d’une Banque centrale africaine en 2004.

    Le Dr Umar Johnson et le ministre Louis Farrakhan, à la tête de la Nation of Islam, parlent et approfondissent ce qu’une Banque centrale africaine ferait au reste du monde.

    Kadhafi a été assassiné le 20 octobre 2011. Depuis sa mort, la vie en Libye n’a plus été la même. Depuis la mort de Kadhafi, « cela fait plus de 10 ans d’injustice, d’attentats à la bombe, de meurtres et d’enlèvements », a déclaré Mohammad Abi Hamra.

    « Je déteste le dire mais notre vie était meilleure sous le régime précédent », a déclaré à l’AFP Fayza al-Naas, une pharmacienne de 42 ans en 2015, faisant référence au régime de Kadhafi. Un sentiment partagé par de nombreux Libyens, y compris ceux qui se sont opposés à lui à un moment donné.

    Lors d’une apparition sur CBS, Hilary Clinton a eu une réaction tordue en apprenant que Kadhafi était mort. Dans la vidéo, Clinton dit « Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort. » Se référant à la célèbre phrase de Jules César « veni, vidi, vici », qui signifie « je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu », rapporte The Wrap.

    Clinton a eu plus de 3000 e-mails divulgués en 2015. Au moins un tiers de ces e-mails provenaient de son proche confident Sidney Blumenthal, l’avocat qui a défendu son mari dans l’affaire Monica Lewinsky.

    Le WikiLeaks déclare que l’un de ces e-mails, daté du 2 avril 2011, se lit en partie :

    « Le gouvernement de Kadhafi détient 143 tonnes d’or et une quantité similaire en argent… Cet or a été accumulé avant la rébellion actuelle et était destiné à être utilisé pour établir une monnaie panafricaine basée sur le dinar libyen doré. Ce plan a été conçu pour offrir aux pays africains francophones une alternative au franc français (CFA) ».

    Dans WikiLeaks, l’e-mail mettait en exergue la valeur de l’or et de l’argent du gouvernement de Kadhafi et les raisons qui ont poussé le président Nicolas Sarkozy à attaquer la Libye :

    « Selon des personnes bien informées, cette quantité d’or et d’argent est évaluée à plus de 7 milliards de dollars. Les officiers du renseignement français ont découvert ce plan peu de temps après le début de la rébellion actuelle, et ce fut l’un des facteurs qui ont influencé la décision du président Nicolas Sarkozy d’engager la France dans l’attaque contre la Libye. Selon ces personnes, les plans de Sarkozy sont motivés par les problèmes suivants :

    -Une volonté de s’approprier une plus grande part de la production pétrolière libyenne,
    -Accroître l’influence française en Afrique du Nord,
    -Améliorer sa situation politique intérieure en France,
    -Offrir à l’armée française l’opportunité de réaffirmer sa position dans le monde,
    -Répondre à l’inquiétude de ses conseillers sur les projets à long terme de Kadhafi de supplanter la France en tant que dominatrice

    #Libye #Kadhafi #UnionAfricaine #FrancCFA #FCFA #HillaryClinton #Wikileaks #Sarkozy #Françafrique


  • Sarkozy apporte son soutien à Emmanuel Macron

    Sarkozy apporte son soutien à Emmanuel Macron

    Sarkozy apporte son soutien à Emmanuel Macron – Valery Pécresse, deuxième tour, Les Républicains, LREM, extrême droite,

    Nicolas Sarkozy, qui a obstinément refusé de se prononcer en faveur de la candidate de sa famille politique pour l’élection présidentielle, sort du silence à l’occasion de cet entre-deux-tours pour apporter son soutien à Emmanuel Macron. L’ancien président de la République a indiqué dans un communiqué qu’il voterait pour le président sortant, tout en exhortant son camp de participer à un «rassemblement» autour de Macron. Il explique, par ailleurs, dans un entretien dans la presse, les raisons qui le poussent à soutenir l’actuel président. Principal motif, son positionnement politique : le président candidat aurait évolué «vers le centre droit» tout au long du quinquennat.

    «Une grande partie de ses idées sont maintenant les mêmes que les (leurs)», analyse l’ancien chef de l’État. Un constat qui pousse Sarkozy à exhorter son camp à «accompagner» Emmanuel Macron dans un éventuel second quinquennat. Pointant de manière prononcée le rapprochement idéologique entre sa famille politique et le locataire de l’Élysée, Nicolas Sarkozy s’en réjouit : «Qui peut s’en plaindre ? Pas moi». «Son bon score au premier tour… N’est-ce pas la traduction qu’une partie des électeurs de droite l’ont rejoint ?», fait-il mine de s’interroger, alors qu’Emmanuel Macron est arrivé en tête du premier tour dimanche avec 27,85 % des voix. Une déclaration qui doit faire mal à Valérie Pécresse qui n’a cessé durant des mois d’essayer de convaincre l’ex-président de se tenir à ses côtés, en vain. Le silence de Nicolas Sarkozy vis-à-vis de Pécresse était même devenu une vraie épine dans le pied de la candidate Les Républicains ces dernières semaines.

    Si l’ancien chef de l’État ne l’a même pas évoquée dans son communiqué publié au lendemain du premier tour, il ne mâche pas ses mots dans «Paris Match» contre celle qui fut sa ministre. «La candidate LR a choisi d’être très dure avec le candidat Macron, mais ses propositions n’arrivaient pas à percer. Valérie ne pouvait pas, en même temps, l’accuser d’être le fossoyeur de la France et dire qu’il nous prenait nos idées», raille-t-il notamment après le très faible score de la présidente de la région francilienne (4,78 %).

    À l’inverse, dans son communiqué, Sarkozy expliquait dans des mots choisis et flatteurs que le président de la République était «le seul en situation d’agir» : «Il a l’expérience nécessaire face à une grave crise internationale plus complexe que jamais, parce que son projet économique met la valorisation du travail au centre de toutes ses priorités, parce que son engagement européen est clair et sans ambiguïté».

    Face aux critiques qu’il anticipait dans son camp, celui qui fut à la tête de la France entre 2007 et 2012 a enfoncé le clou : «On ne se trompe jamais en choisissant la clarté et la constance». «La fidélité aux valeurs de la droite républicaine et à notre culture de gouvernement doit nous conduire à répondre à l’appel au rassemblement d’Emmanuel Macron en vue de l’élection présidentielle», ajoutait-il. Face à cet appui, le président de la République l’a remercié «de sa confiance et de son soutien» : «Cela m’honore et cela m’oblige et donc je pense qu’il faut rassembler très largement».

    Cela fait plusieurs années maintenant que la relation entre Sarkozy et Macron, toujours plus proches, laissait entrevoir un rapprochement idéologique et politique. Reste à voir si les électeurs de droite, encore réticents à franchir le pas, qui ont voté Pécresse au premier tour, seront convaincus par l’ancien chef d’État et mettront un bulletin dans l’urne pour le président sortant ou si, encore plus que lors du premier tour, l’abstention prévaudra.

    Le Jour d’Algérie, 20/04/2022

    #Sarkozy #Macron #Pécresse #LREM #LR

  • Sarkozy : « Dans un an l’Algérie, dans trois ans l’Iran »

    Sarkozy : « Dans un an l’Algérie, dans trois ans l’Iran »

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    «Dans un an l’Algérie, dans trois ans l’Iran.», se rappelle-t-on de cette phrase ?

    Fameuse phrase prononcée par Sarkozy en réponse au refus du soutien de l’Algérie au CNT libyen inventé et reconnu par le seul Elysée et BHL… Qu’est ce qui a changé depuis lors ? Rien. Bien au contraire. La France, de manière plus nuancée, celle de Macron, menace, planifie et exécute ses manipulations par procuration via les terroristes de Rachad et du MAK couvés sur son territoire. Faisons donc le pari de savoir qui sera encore en place, dans un an, dans trois ans, quatre ou dix ans : l’Algérie et l’Iran ou la France ?

    Cela fait des années que Maque et Maquerelles de l’Occident, le pire fut le guignol de Trump, menacent l’Iran avec des formules passées à la postérité : la bombe ou le bombardement. Bravant ses foudres, l’Iran est parvenu, entre-temps, au seuil nucléaire avec la centrale de Bouchehr raccordée au réseau électrique iranien.

    L’Algérie, quant à elle, se dégage comme puissance régionale et se dit prête à renvoyer devant le mur des lamentations tous les partisans des alternatives de déstabilisation et d’ingérence dans ses affaires internes. Les jeux sont, on ne peut plus clairs, avec des déclarations ouvertes et franches car nous n’avons pas pour coutumes de poignarder dans le dos, y compris nos ennemis. Cette Algérie-là aurait peur d’un quelconque affrontement ? D’un Président à contretemps, à contresens de l’histoire, le pire sinistre politique de la Ve République ?

    Ce stratège en chambre confond le principe du désir et le principe de la réalité. Que pourrait espérer le peuple français d’un président qui, au lieu d’avoir le courage de rendre une baffe tend l’autre joue ? Et les baffes, il en a reçues ! Il ose parler de l’Algérie. Sans aller loin dans le passé, l’Algérie était là avec les Palestiniens massacrés en Jordanie (1970), ou assiégés avec les Libanais à Beyrouth (1982), pour les suppliciés soudanais à Khartoum (1972), pour les Vietnamiens brûlés au napalm par les Américains (1970-1975), pour les noirs américains des ghettos déroutés par l’assassinat de leurs chefs charismatiques, Malcolm X ou Martin Luther King, ou encore pour les Latino-Américains mitraillés à travers Che Guevara en Bolivie (1967) ou pulvérisés avec la destruction du palais présidentiel de Salvador Allende au Chili (1973).

    L’Algérie c’est Arafat à l’ONU, le nouvel Ordre économique international, le nouvel Ordre mondial de l’information, les négociations pour la libération des otages américains à Téhéran, l’exfiltration de Carlos en guise d’épilogue à la prise d’otages de l’Opep à Vienne en décembre 1975, le rapprochement entre l’Iran et l’Irak avec la signature, en mars 1975, de l’Accord d’Alger sur la délimitation frontalière entre le Chah d’Iran et le président irakien Saddam Hussein, puis la libération des otages américains de Téhéran.

    L’Algérie, c’est en somme 540 000 Arabes et Africains, chrétiens ou musulmans, qui ont aidé la France à vaincre les Allemands durant la Première Guerre mondiale (1914-1918). Des gens qui sont sous le joug colonial vont aider leur oppresseur à vaincre l’oppresseur de leur oppresseur et contribuer massivement à vaincre à Verdun pour obtenir l’armistice de 1918. Dans la mémoire des peuples, cela équivaut à la première victoire française depuis un siècle.

    L’histoire en témoigne : la dernière victoire française était Austerlitz en1805. Après il y eut une série de défaites retentissantes : Waterloo, Fachoda, l’expédition du Mexique, Sedan… Une catastrophe pour la France qu’elle compensera par des conquêtes coloniales (Algérie, Tunisie, puis le Levant, le mandat sur le Liban et la Syrie, etc.)

    En récompense, la France a amputé le district d’Alexandrette de la Syrie pour l’attribuer à la Turquie. Donc, en langage clair, il y a des Arabes qui vont combattre pour aider la France à sauver son honneur face aux Allemands, et la France, au lieu de les récompenser, leur a amputé un territoire – déjà qu’ils étaient amputés de la Palestine par la promesse Belfort – pour le donner à la Turquie qui était, quant à elle, son ennemi de la Première Guerre mondiale.

    Voilà le traumatisme de Macron contre la Turquie.

    À suivre…

    Par S. Méhalla

    Crésus, 05/10/2021

  • Le poids des énarques sous la Ve République

    Un président sur deux, quatre Premiers ministres sur dix, un ministre sur sept: les anciens élèves de l’Ecole nationale d’administration (ENA), qu’Emmanuel Macron a dit jeudi vouloir «supprimer», ont marqué la Ve République de leur empreinte.

    Parmi les huit présidents, quatre sont énarques: Valéry Giscard d’Estaing, Jacques Chirac, François Hollande et Emmanuel Macron lui-même.

    C’est également le cas de neuf des 23 Premiers ministres: outre Jacques Chirac, Laurent Fabius, Michel Rocard, Edouard Balladur, Alain Juppé, Lionel Jospin, Dominique de Villepin, Edouard Philippe et Jean Castex.

    Sur les 672 ministres et secrétaires d’Etat de la Ve République, 98 ont fait l’ENA (14,6%), selon une base de données tenue par l’AFP.

    – Giscard, le pionnier –

    Le 8 janvier 1959, lorsqu’est nommé le premier gouvernement de la Ve République, Valéry Giscard d’Estaing, secrétaire d’Etat aux Finances, est, à 32 ans, le seul énarque.

    En 1974, il sera aussi le premier énarque à être élu président. Ses prédécesseurs étaient nés trop tôt pour avoir pu faire l’ENA, créée après-guerre en 1945.

    – Sous Pompidou, l’ère des énarques –

    Le poids des énarques sous la Ve République
    François Mitterrand accompagné par son successeur Jacques Chirac à son départ de l’Elysée le 17 mai 1995 / AFP/Archives

    S’ils ne sont qu’une poignée sous la présidence du Général De Gaulle (1958-1969), les énarques connaissent leur apogée sous Georges Pompidou. Entre 1969 et 1974, sur les 69 ministres de ses gouvernements, 23,2% sortent de l’ENA. Une proportion qui est montée à 37% d’avril 1973 à février 1974, un record inégalé depuis.

    Ses trois successeurs, MM. Giscard d’Estaing, Mitterrand et Chirac, feront également confiance aux anciens élèves de l’école, avec respectivement 16,8%, 18,2% et 20,6% de ministres énarques.

    Les énarques se sont taillé la part du lion pendant les périodes de cohabitation: 32% lorsque M. Chirac était le Premier ministre de M. Mitterrand, 29% lorsque Lionel Jospin était celui de M. Chirac.

    – Plus de conseillers que de ministres –

    Depuis la présidence de Nicolas Sarkozy, les énarques se font plus rares.

    Le poids des énarques sous la Ve République
    Emmanuel Macron et Edouard Philippe le 8 mai 2020 à Paris / POOL/AFP/Archives

    Si Emmanuel Macron et ses deux Premiers ministres successifs Edouard Philippe et Jean Castex sortent de l’ENA, ils n’ont nommé que sept ministres énarques depuis 2017, sur 67 (10,4%).

    Cinq d’entre eux sont actuellement au gouvernement: les ministres Bruno Le Maire (Economie et Finances) et Florence Parly (Armées), les ministres déléguées Emmanuelle Wargon (Logement) et Agnès Pannier-Runacher (Industrie), ainsi que le secrétaire d’Etat Clément Beaune (Affaires européennes).

    Les énarques gardent un poids important dans l’entourage des ministres et du président. A l’Elysée, 30% du cabinet de M. Macron a fait l’ENA.

    – Le Quai d’Orsay, nid d’énarques –

    Le poids des énarques sous la Ve République
    Dominique de Villepin (D) raccompagne, le 8 mai 2002 sur le perron du Quai d’Orsay à Paris, son prédécesseur Hubert Védrine à l’issue de la passation de pouvoir / AFP/Archives

    Le ministère qui a vu passer le plus d’énarques (41%) est celui des Affaires étrangères, avec notamment Hubert Védrine, Dominique de Villepin, Alain Juppé et Laurent Fabius.

    Suivent la Défense et la Culture (35% chacun). Les énarques ont détenu souvent brièvement ce dernier portefeuille, tandis que les deux personnalités qui ont occupé le poste le plus longtemps n’avaient pas fait l’ENA: André Malraux, qui appartenait à une autre époque, et Jack Lang.

    Les grands ministères économiques et financiers (31%) et l’Intérieur (26%) ne sont pas loin.

    Les ministères de l’Education (13%) et de la Justice (12%) sont bons derniers.

    La Croix, 8 avr 2021

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