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  • Un scandale qui n’en finit pas : nouvel épisode dans la saga du Marocgate

    Etiquettes : scandale, Marocgate, Maroc, Qatargate, corruption, parlement européen, Belgique, communauté marocaine,

    Une contribution de Mohsen Abdelmoumen – Le scandale du Marocgate n’en finit pas de rebondir en Belgique. Pour ne pas égratigner la communauté marocaine établie au Plat Pays, la presse mainstream belge s’entête à faire ses titres en parlant du «Qatargate», alors que l’on sait très bien que le Qatar n’a joué qu’un tout petit rôle dans ce scandale retentissant qui a secoué le Parlement européen et qui l’a discrédité à jamais. Devant le tremblement de terre occasionné par l’arrestation des différents protagonistes de cette énorme affaire de corruption, la plupart étant des eurodéputés, des résolutions avaient été prises au niveau du Parlement européen mais aucune d’entre elles n’a jamais été mise en œuvre, que ce soit l’obligation pour les lobbyistes de s’enregistrer au registre de transparence ou encore l’interdiction d’accès au Parlement pour les envoyés du Qatar ou du Maroc. Les lobbyistes marocains continuent donc à fréquenter les lieux sans l’ombre d’un contrôle, et la présidente Roberta Metsola et les eurodéputés continuent à faire leurs petites affaires comme si de rien n’était. Cela s’appelle la «démocratie» à l’occidentale.

    Quant à l’appellation «Qatargate» serinée par la presse, rappelons que le Qatar a su exploiter les réseaux marocains préexistants pour ses propres intérêts à l’occasion de la préparation de la Coupe du monde de football en 2022. D’ailleurs, selon les aveux du «repenti» Pier Antonio Panzeri, le Maroc était là bien avant le Qatar dans cette vaste organisation d’ingérence au Parlement européen, avec des milliers d’euros distribués en cash et de nombreux cadeaux, tels des voyages au Maroc dont ont profité tous les personnages impliqués dans ce que, nous, nous appelons à juste titre le «Marocgate».

    Madame «Droits de l’Homme» : innocente avec conviction

    Parmi ceux qui ont profité des fameux voyages, citons Madame «Droits de l’Homme», l’eurodéputée belge du parti socialiste Marie Arena, grande «amie» du repenti Panzeri, qui a enfin été auditionnée par les enquêteurs le 9 février dernier en tant que suspecte. On ne comprend d’ailleurs pas pourquoi il a fallu si longtemps à la justice pour entendre Arena, si ce n’est parce qu’elle a bénéficié d’appuis politiques très lourds. Pour rappel, le domicile de Marie Arena ainsi que celui de son fils, qui habite l’appartement voisin, avaient été perquisitionnés le 19 juillet 2023, perquisition au cours de laquelle les policiers avaient trouvé chez le fils d’Arena, Ugo Lemaire, la somme de 280 000 euros en cash disséminés un peu partout, y compris sur le balcon, des traceurs GPS, de la drogue (hachich et poudre blanche) et une balance de précision, ainsi que plusieurs véhicules. Or, on apprend qu’avant de s’activer chez le fils prodigue avec les résultats que l’on sait, le chien renifleur a sauté sur la table de nuit de la chambre d’Arena, où il a permis de découvrir un carnet rouge contenant une liasse de billets de banque entourés d’un élastique pour un total de 1 250 euros cash. Une balise GPS a également été retrouvée dans la chambre. Mais bien sûr, comme à son habitude, Marie Arena clame son innocence avec conviction. Chacun sait qu’il n’y a rien d’anormal de dormir avec une liasse de billets entourés d’un élastique sur sa table de nuit et avec une balise GPS. Tout le monde le fait, voyons.

    Dans son carnet rouge, sorte de journal intime saisi lui aussi, Arena dit avoir été trahie et salie par son «ami» Antonio Panzeri, qu’elle s’est retrouvée, pauvre biche innocente, au centre d’une toile invisible que les autres ont tissée et qu’«aucun de ses actes n’est reprochable». Et d’ajouter qu’entre elle et Panzeri, «c’était bien plus qu’une love affair, c’était une amitié basée sur la bienveillance et la disponibilité dans les moments difficiles qu’ils avaient traversés ces cinq dernières années». Madame Panzeri doit apprécier, à moins que les enveloppes bien remplies de l’ambassadeur marocain Atmoun aient amplement consolé ses déboires conjugaux.

    Concernant le fils d’Arena, Ugo Lemaire, on apprend que lors de la perquisition, les enquêteurs ont découvert une carte d’identité établie au nom d’un certain Frédéric H., ressortissant français, avec la photo du fils d’Arena. Cette carte avait été signalée volée. Selon les enquêteurs, cette carte aurait bien été trafiquée par Ugo Lemaire qui y aurait apposé sa photo à la place de celle du propriétaire légitime de la carte d’identité, Frédéric H. En outre, l’analyse de l’Iphone d’Ugo Lemaire retrouvé lors de la perquisition établit, d’après les photos et vidéos visualisées, que le fils d’Arena serait l’intermédiaire d’un trafic de cannabis entre l’Espagne et la Belgique, en provenance du Maroc où il a été invité à plusieurs reprises. Ses communications sur un réseau de chat se faisaient au nom de Frédéric H. En outre, les deux voitures retrouvées lors de la perquisition sont immatriculées en Espagne et font déjà l’objet d’une enquête pour trafic de stupéfiants. On se demande aussi pourquoi cet individu qui a invoqué son droit au silence lors de son audition n’a pas été arrêté, alors que les faits démontrent qu’il est impliqué dans un vaste trafic de stupéfiants. Jouirait-il de la même protection que sa mère ?

    Autre fait d’importance, le 3 mai 2023, l’inspecteur en chef de l’enquête sur le Marocgate a été enregistré à son insu par Francesco Giorgi, un autre inculpé qui a été quelques semaines en prison et qui était l’assistant de Panzeri et le compagnon de l’ex-vice-présidente du Parlement européen, Eva Kaili. L’enregistrement de l’entretien entre Giorgi et l’inspecteur principal de l’Office central pour la répression de la corruption (OCRC) de la Police judiciaire fédérale (PJF) a été publié dans la presse fin janvier dernier et a soulevé un véritable tollé ainsi que la réprobation des avocats des différents inculpés qui mettent en doute l’impartialité des enquêteurs. Cet inspecteur affirme que Panzeri ment, et que personne ne le croit, et que le statut de repenti pourrait être annulé selon les preuves de ses divers mensonges. Quant à la justice, le policier dit ne pas y croire et qu’il faut être fou pour y croire, car les juges sont nommés par décision politique. Il ajoute également qu’il ne croit ni au monde politique, ni à l’Union européenne, ni aux fonctionnaires européens. Il ne croit qu’à une chose : le travail des enquêteurs qui recherchent la vérité. L’enregistrement audio se trouve à la suite de l’article.

    Espionnage, corruption, empoisonnement

    Cerise sur la baklawa marocaine, un inspecteur principal belge qui enquête sur le Marocgate a porté plainte pour tentative d’assassinat. En effet, un soir de janvier 2024, il s’était rendu avec deux collègues au café Le Bar des Amis, au centre de Bruxelles, où ils se sont fait remarquer pour leur comportement agressif envers certains clients. La police a dû intervenir et l’inspecteur a été embarqué au commissariat où on l’a placé pour la nuit en cellule de dégrisement. Or, il s’avère qu’il a dû être envoyé à l’hôpital tôt le lendemain matin où les médecins ont découvert qu’il souffrait d’une hémorragie interne. Lors de l’analyse de sang, les médecins ont découvert qu’il avait reçu une dose massive d’amphétamines, bien plus que ce qui est habituellement ingéré dans le cadre d’une prise «festive». De plus, l’inspecteur est connu pour son intégrité et son abstinence en matière de stupéfiants. Ses deux collègues présentaient également des signes plus légers d’overdose d’amphétamines. L’inspecteur a pu être soigné à temps mais a dû rester hospitalisé quelques jours et a porté plainte contre X pour tentative d’empoisonnement.

    Il apparaît, selon certaines de nos sources, que cette méthode d’empoisonnement à l’amphétamine est utilisée par les services de renseignement marocains qui l’emploient pour décrédibiliser les personnes visées en portant atteinte à leur intégrité. Il est clair que cet inspecteur avait le tort d’enquêter sur le Marocgate et que les sbires de la DGED d’El Mansouri ont voulu détruire son intégrité d’enquêteur. Combien d’agents El Mansouri a-t-il mobilisé pour faire cette opération d’empoisonnement en plein Bruxelles contre des enquêteurs de premier plan dans le cadre du Marocgate ? Ce qui vient de se passer avec l’empoisonnement de l’inspecteur principal chargé de l’enquête du Marocgate vient s’ajouter à la série de crimes que livre l’entité voyou du Maroc en territoire belge : espionnage, corruption, empoisonnement… Sans parler des pressions exercées sur le juge Michel Claise dont le fils a été débauché par les services marocains qui ont utilisé pour ce faire le fils de Marie Arena, Ugo Lemaire.

    Par ailleurs, le Makhzen marocain aux abois n’arrête pas de s’attaquer à l’Algérie et à sa grande armée dans un désespoir illimité, sachant que l’Algérie est en train de montrer au monde son humanisme à travers son engagement diplomatique exemplaire à défendre les causes justes palestinienne et sahraouie, et les pas de géant qu’elle accomplit tous les jours afin d’offrir un avenir meilleur à ses dignes enfants. Le Makhzen marocain dans sa faillite et sa détresse totales se livre sans aucune gêne au vol du patrimoine culinaire et culturel algérien. Quand on n’a pas d’histoire, on la vole à ses voisins. Le Marocgate dont on continue à suivre les rebondissements montre au monde entier le visage hideux de l’entité voyou du Maroc, vassal des Occidentaux et de l’entité sioniste d’Israël. Le Makhzen et ses mercenaires ont beau mentir comme des arracheurs de dents et nier la vérité, les faits sont là pour les désigner comme les principaux coupables dans cette vaste affaire du Marocgate qui n’en finit pas de faire des vagues.

    M. A.

    Source : Algérie Patriotique, 09/03/2024

    #Marocgate #Maroc #Qatargate #ParlementEuropéen #corruption #MarieArena

  • Quand Macron se dévouait pour une cause appelée Uber

    Quand Macron se dévouait pour une cause appelée Uber

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    Les Uber Files sont des dizaines de milliers de documents internes au géant des VTC (véhicules de transport avec chauffeurs) Uber, transmis par un lanceur d’alerte au journal britannique «The Guardian», qui les a partagés avec d’autres publications, avant qu’ils ne soient portés à la connaissance du public. Ils montrent avec quelles détermination et agressivité l’entreprise soi-disant technologique est parvenue à faire sauter les verrous légaux entravant soit son arrivée sur un marché national soit son expansion si elle y était déjà, recourant pour ce faire à un lobbying tous azimuts, mais plus encore à la compréhension et à l’aide active des responsables politiques des pays d’implantation. Dans ce cadre un coup de projecteur particulier est donné sur Emmanuel Macron, du temps où il était ministre de l’Economie, entre 2014 et 2016 sous la présidence Hollande, dont on peut dire qu’il ne s’était alors épargné aucun effort pour permettre à Uber de s’imposer sur le marché français du transport en taxi. Interrogé sur cette affaire, il a dit qu’il était fier d’avoir permis ce faisant la création d’emplois, et qu’il referait la même chose demain et après-demain.

    Il n’a eu bien sûr aucun mot sur les emplois qu’Uber a détruits dans son domaine d’activité en faisant voler en éclats la réglementation en vigueur à cette époque, favorable pour sa part aux chauffeurs de taxi. Ces derniers n’avaient d’ailleurs pas manqué de se défendre contre la concurrence déloyale qui leur était ainsi faite, en recourant par exemple au blocage de Paris et quelquefois à la violence. Que l’actuel président français soit un libéral à tous crins, cela n’est un secret pour personne.

    Ce que les Français ignoraient jusque-là, c’est qu’il fût pendant un temps un vulgaire lobbyiste au service d’une entreprise qui peut-être mieux que toute autre était, et reste, la meilleure incarnation du libéralisme sauvage. Elle-même reconnait aujourd’hui que pour parvenir à ses fins il lui arrivait d’user de méthodes peu recommandables, mais qu’elle ne le fait plus, s’étant amendée entre-temps. Ainsi donc, lorsque ses dirigeants échangeaient des SMS avec Macron, elle n’agissait pas de la manière la plus convenable qui soit, si elle ne contrevenait pas ouvertement aux lois en vigueur.

    En quelque sorte l’air de rien, la France est en réalité sous le choc, en butte à un malaise indéfinissable. C’est que le lobbying au service d’intérêts privés, bien que toléré ici et là, n’est nulle part dans le monde une activité dont on se flatterait. Il ne grandirait personne. Quand de plus ce sont des représentants de l’intérêt général qui s’en chargent, ce qui ne peut se faire qu’au détriment de la règlementation en place, on se demande si en définitive la loi n’est pas violée, et sinon dans sa lettre, du moins dans son esprit.

    Macron était-il bien dans son rôle en demandant à ses contacts Uber des «amendements clefs en main» à donner à des députés en train de débattre d’une loi les touchant de près, lesquels ensuite n’auraient qu’à les voter ? La question se pose. Pour autant, rien ne dit qu’elle recevra une réponse. Un amendement clef en main est un amendement conçu par le représentant de l’intérêt privé et destiné à l’usage tel quel du représentant de l’intérêt général. Avec un président qui non seulement ne se reproche rien, mais se dit fier de ce qu’il avait fait au profit non pas de n’importe quelle entreprise, mais d’Uber, une des incarnations du Mal, il ne faut s’attendre à aucune réaction à la mesure du scandale. Les Français peuvent juste regretter, ou au contraire se féliciter s’ils sont macronistes, que les Uber Files n’aient pas été publiés avant l’élection présidentielle. Car ils auraient pu empêcher la réélection de Macron. Un proverbe russe dit que ce n’est pas dans l’océan qu’on se noie mais dans la flaque de boue.

    Mohamed Habili

    Le Jour d’Algérie, 13/07/2022

    #Macron #France #Uber_files #Taxis #Transport

  • Le scandale qui secoue le président sud-africain

    Le scandale qui secoue le président sud-africain

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    CAPE TOWN, Afrique du Sud (AP) – Le président sud-africain Cyril Ramaphosa pourrait faire face à des accusations criminelles et fait déjà face à des appels pour démissionner suite à des allégations selon lesquelles il aurait tenté de dissimuler le vol de millions de dollars en devises américaines cachés dans des meubles à son ferme de gibier.

    Les allégations étonnantes faites par l’ancien chef de l’agence de renseignement sud-africaine incluent également que les suspects du vol d’il y a deux ans ont été retrouvés et kidnappés par l’unité de protection présidentielle de Ramaphosa, interrogés sur sa propriété et soudoyés pour qu’ils se taisent sur l’existence du en espèces, et rien n’a été signalé à la police.

    Les accusations portent gravement atteinte à la réputation de Ramaphosa en tant que leader dédié à la lutte contre la corruption. Il est devenu président en 2018 sur la promesse de nettoyer le gouvernement et son parti au pouvoir entaché de corruption, le Congrès national africain, qui est maintenant bien loin de l’époque où il était largement respecté et dirigé par Nelson Mandela. Le scandale, surnommé « farmgate » par la presse sud-africaine, menace de mettre fin à la présidence de Ramaphosa et de déstabiliser l’économie la plus développée d’Afrique.

    Voici ce que nous savons jusqu’à présent sur le scandale :

    L’ARGENT

    L’ancien directeur de l’Agence de sécurité de l’État, Arthur Fraser, est entré dans un poste de police de Johannesburg le 1er juin et a déposé une plainte pénale contre Ramaphosa pour le vol de ce que Fraser dit être plus de 4 millions de dollars en espèces cachés dans le ranch. Cela a plongé les médias du pays dans une frénésie. Fraser a allégué dans un affidavit que Ramaphosa et d’autres étaient coupables de blanchiment d’argent et d’avoir enfreint les lois du pays sur le contrôle des devises étrangères sur l’argent caché.

    Fraser a également affirmé que les suspects du vol avaient été kidnappés et soudoyés pour garder le silence, et Ramaphosa a caché l’incident à la police et aux autorités fiscales. Fraser a déclaré avoir soumis à la police des «preuves à l’appui» comprenant des photographies, des séquences vidéo et des coordonnées bancaires. Il a déclaré que le vol avait eu lieu en février 2020.

    LE PATRON ESPION

    Le fait que ce soit Fraser qui ait fait les allégations contre Ramaphosa suggère qu’ils sont politiquement motivés. Fraser est un loyaliste bien connu de l’ancien président Jacob Zuma et une faction de l’ANC qui veut que Ramaphosa sorte. Zuma, le prédécesseur de Ramaphosa, a été contraint de démissionner de son poste de président en 2018 et est actuellement jugé pour corruption. Ce procès est considéré comme un indicateur de l’engagement de Ramaphosa à lutter contre la corruption au plus haut niveau.

    Fraser a également fait la une des journaux l’année dernière lorsque, en tant que chef du département des services correctionnels, il a accordé à Zuma une libération conditionnelle médicale contre la recommandation d’une commission des libérations conditionnelles qui a conseillé à Zuma de ne pas être libéré tôt après avoir été reconnu coupable d’outrage au tribunal. . Fraser était le chef des espions de l’Afrique du Sud sous Zuma de 2016 à 2018.

    LE PRÉSIDENT

    Les allégations ont forcé Ramaphosa, 69 ans, à se battre pour sa vie politique. Il a admis que le vol s’était produit dans son ranch de Phala Phala, dans la province septentrionale du Limpopo, mais a déclaré qu’il avait été signalé au chef de son unité de protection, qui relève des services de police sud-africains. Il a dit que l’argent provenait de la vente de gibier à la ferme et qu’il n’était « impliqué dans aucune conduite criminelle ».

    Ces réponses ont cependant été considérées comme terriblement inadéquates. Ramaphosa a refusé de dire combien d’argent était impliqué, pourquoi il a été caché dans son ranch et si la devise étrangère a été déclarée aux autorités. Il a évité une pléthore de questions sur le scandale lors d’une conférence de presse de 90 minutes au Parlement la semaine dernière, où il a coupé une silhouette épuisée et sous pression. Il a dit qu’il ne ferait aucun commentaire avant une enquête policière.

    « J’aimerais que la procédure régulière se déroule dans cette affaire », a déclaré Ramaphosa.

    LES RETOMBÉES

    Ramaphosa a été crié au Parlement pendant deux jours consécutifs la semaine dernière par des législateurs des Economic Freedom Fighters, le deuxième plus grand parti d’opposition. L’EFF a depuis intensifié ses critiques en exigeant la démission de Ramaphosa à cause du scandale. Deux autres partis d’opposition ont demandé cette semaine au Parlement de mettre Ramaphosa en « congé sabbatique » et d’ouvrir une enquête parlementaire. Cela a été rejeté par le président du Parlement.

    Aucune accusation criminelle contre Ramaphosa n’a été annoncée par la police, bien qu’une unité chargée des crimes graves et très médiatisés enquête sur les allégations de Fraser. Ramaphosa a déclaré qu’il comparaîtrait volontairement devant un comité d’intégrité de l’ANC, qui a le pouvoir de le suspendre en tant que chef du parti. Aucune date n’a encore été fixée pour la comparution de Ramaphosa devant le comité.

    Le moment du scandale est terrible pour Ramaphosa, qui fait déjà face à des défis politiques de taille et à une élection critique du parti en décembre qui décidera s’il reste à la tête de l’ANC et, effectivement, s’il reste président.

    Associated Press, 17 juin 2022

    #Scandale #Afrique_du_sud #Cyril_Ramaphosa #Farmgate

  • Algérie: Quatre joueurs du MCA suspendus suite à un scandale

    Scandale au cœur du MCA: Quatre joueurs suspendus

    Le club algérois MCA est désormais au cœur d’un scandale qui implique plusieurs joueurs, les montrant en train de faire la fête dans une boite de nuit, a rapporté dimanche Echourouk online.

    Selon la même source, la direction du club a tenu a agir contre ce scandale qui a terni l’image du club.

    Dans un communiqué, le MCA a révélé que « il a été décidé de suspendre Bensaha, Addadi, Rebai et Alleti de l’équipe », a indique le mème communiqué, qui ajoute qu’à ces sanctions von s’ajouter d’autres, « ainsi que les mesures qui seron dévoilées plus tard ».

    Etiquettes : Algérie, football, MCA, Mouloudia Club d’Alger, scandale, fête, boîte de nuit, pandémie,