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Les services secrets algéries sont largement supérieurs à ceux du Maroc
Algérie, Maroc, services secrets, #Algérie, #Maroc,Les mesures successives prises par l’Algérie contre le Maroc ont assommé le Makhzen. Les services de renseignement marocains, décrits comme efficaces au point que le patron de la DDST a été décoré par le ministre de l’Intérieur français, ont prouvé leur inefficacité totale.Formés par les Français, les officiers de la DDST (sécurité intérieure), de la DGED (renseignement extérieur) et de la DGSSI (sécurité des systèmes d’information) demeurent prisonniers des quelques enseignements qu’ils reçoivent durant leur cursus soit en France, soit au Maroc même.Depuis l’annonce officielle des relations qui ont toujours lié le Maroc à Israël, la coopération avec le Mossad et le Shin Bet s’est accélérée et cible directement l’Algérie. Mais tous ces efforts entrepris par le régime de Rabat ont été vains.Les services spéciaux de Mohammed VI ont été incapables d’anticiper les coups de boutoir que l’Algérie a assénés au Maroc sur une période courte. C’est que les mesures prises par Alger à quelques semaines d’intervalle ne sont pas banales.Rompre les relations et interdire l’espace aérien représentent une gifle retentissante que même les puissances occidentales et les pétromonarchies alliées du Makhzen ne croyaient pas possibles de la part de la «pacifique» et «conciliante» Algérie.Cette première salve de sanctions prises par le Haut Conseil de sécurité, présidé par le chef de l’Etat et qui réunit l’ensemble des composantes des services de renseignement (intérieur, extérieur et sécurité de l’armée), sous la férule du ministre de la Défense nationale et du chef d’état-major de l’ANP, est résolument le fruit de mois d’enquêtes et d’analyses qui ont débouché sur cette cassure rendue inévitable par l’incapacité du Maroc à répondre de façon judicieuse et mutuellement bénéfique aux nombreux avertissements clairs que lui envoyaient Abdelmadjid Tebboune et le général de corps d’armée Saïd Chengriha à partir d’Alger et le message chiffré que ce dernier a adressé à la France et à Israël à partir de la capitale russe.Complètement désinformé, le Makhzen a cru que c’en était fini des performants et puissants services secrets algériens affaiblis, un temps, certes, par le malheureux interlude Gaïd-Salah qui avait pris sous sa coupe l’ancien DRS et confié la sécurité intérieure au traître Wassini Bouazza dont l’instruction a démontré sa collusion avec l’organisation terroriste Rachad qu’il utilisait pour asseoir son pouvoir et éliminer les officiers honnêtes, au fait de ses desseins diaboliques.Des sources informées ont expliqué à Algeriepatriotique que les redoutables renseignements algériens, héritiers du MALG, ne s’appuient jamais sur un seul homme, quand bien même le général Toufik aura présidé un quart de siècle aux destinées du Département du renseignement et de la sécurité.Cette longévité, nous explique-t-on, trouve son explication dans la volonté de l’Etat d’assurer une stabilité à cette institution névralgique, d’autant que le DRS a vu le jour au moment de la grave crise sécuritaire des années 1990.Durant cette même période, les services secrets algériens avaient repéré le fondateur du groupe terroriste sanguinaire GIA, Abdelhak Layada, au Maroc même, ce qui prouve que ceux-ci sont capables de s’incruster jusqu’au cœur du palais d’El-Mechouar et de toutes les autres institutions du royaume.Face aux gesticulations bruyantes et complètement contreproductives des services secrets marocains, leurs homologues algériens opposent une discrétion à toute épreuve, apprise à l’école d’Abdelhafid Boussouf qui a mis l’effacement et la furtivité au cœur du dispositif du renseignement durant la Guerre de libération.Cette spécificité algérienne assure à nos services d’autant plus de puissance qu’elle a permis de déjouer les nombreuses entreprises terroristes et hostiles émanant d’officines étrangères connues pour leur animosité à l’égard de notre pays.La seule arme que détiennent encore Abdellatif Hammouchi et Yassine Mansouri sont la toile d’araignée formée par des agents algériens à leur solde – Hichem Aboud, Larbi Zitout, Anouar Malek, etc. – qui, non seulement n’ont qu’une popularité surfaite, fabriquée par les chiffres artificiels et ô combien lucratifs gonflés par les trolls marocains, mais sont désormais poursuivis pour blanchiment d’argent dans les villes européennes où ils ont prospéré depuis trente ans sans jamais avoir été inquiétés.Par Kamel M.Algérie Patriotique, 26/09/2021 -
Le jour où le Maroc a été puni par la France
Le Maroc vient de provoquer une grave crise avec l’Europe à cause de la présence du président sahraoui Brahim Ghali. Pourtant, un épisode similaire se trouve derrière une grande brouille avec la France.
Les faits ont eu lieu le 20 février 2014. Leur acteur principal s’appelle Abdellatif El Hammouchi, le directeur de la DGSN. Il se trouvait en France dans le cadre d’une visite officielle lorsque quatre agents de la police judiciaire française, envoyés par un juge d’instruction, se sont rendus dans la résidence de l’ambassadeur du Maroc à Paris pour lui remettre une convocation dans le cadre d’une plainte contre lui déposée par deux citoyens maroco-français pour des faits de torture.
El Hammouchi a refusé de se présenter devant la justice française. Selon certaines sources, il est retourné discrètement au Maroc en passant par le territoire espagnol. Suite à cet incident, le roi Mohammed VI a ordonné la suspenstion immédiate de toute coopération judiciaire avec la France.
Réponse du berger à la bergère, Paris frappe avec l’activation d’un hacker qui se fait appeler Chris Coleman. Des milliers de documents de documents confidentiels de la diplomatie marocaine sont étayés sur la toile.
L’affaire est devenu un véritable scandale qui a secoué l’Etat marocain. Depuis un compte Twitter, Coleman a frappé là où ça fait mal au Maroc : la question du Sahara Occidental en révélant les pratiques de la diplomatie marocaine basées sur la corruption, les pots-de-vin. Des journalistes français et américains avaient été généreusement payés pour s’en prendre au Front Polisario et l’Algérie et édulcorer le royaume dans leurs écrits.
Parmi les personnalités visées se trouve particulièrement le ministre marocain des affaires étrangères, Salaheddine Mezouar et son aide de camp la ministre déléguée Mbarka Bouaida. Pour le premier, le public marocain a appris qu’il avait demandé à son homologue français, Laurent Fabius, d’intervenir pour que sa fille de ce dernier reçoive un permis de travail, afin de rejoindre l’équipe de Mckinsey France qui l’avait embauchée. Coleman apporte une lettre dans laquelle Fabius assurait à Mezouar que des ordres ont été donnés dans ce sillage. Il s’agit d’un « trafic d’influence » car il aurait « engagé la société McKinsey pour réaliser une étude destinée à relancer l’économie marocaine ». Le cabinet de conseil américain emploie, selon Coleman, la fille du responsable de la diplomatie marocaine, ce qui permettrait «des versements de commission» pour une étude qui « coûtera certainement aux contribuables marocains des millions de dollars ».
Une autre lettre révèle des aspects de la vie privée de Mbarka Bouaida et ses problèmes conjugaux.
L’affaire qualifiée de « Wikileaks marocain » a révélé au grand jours les failles de sécurité à tous les niveaux, y compris les services secrets dirigés par Yassine Mansouri, un ami d’enfance de Mohammed VI.
Concernant le conflit du Sahara Occidental, Coleman a révélé un accord secret conclu en novembre 2013 entre Barack Obama et Mohammed VI lors de la visite de ce dernier aux Etats-Unis. A l’époque, Washington avait présenté au Conseil de Sécurité une résolution proposant l’élargissement du mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’homme. Sous pression de la France, les américains ont fait marche arrière, mais Obama a imposé au roi du Maroc trois conditions : il doit arrêter de faire juger les civils par des tribunaux militaires ; faciliter ensuite les visites au Sahara des fonctionnaires du Haut Commissariat aux droits de l’homme et légaliser les associations sahraouies indépendantistes comme le Collectif sahraoui des défenseurs des droits de l’homme (CODESA) et ASVDH.
Le compte publie également des écrits et des lettres de hauts fonctionnaires étrangers, d’ambassadeurs à Washington, à Genève ou à l’ONU qui font leur travail, c’est-à-dire rassembler des soutiens pour défendre la position du Maroc, notamment sur le Sahara et contre l’Algérie et le Polisario. Cependant, le ton de certains de ces entretiens est incisif et dénigrant, par exemple à l’encontre de Christopher Ross, l’envoyé spécial du Secrétaire Général des Nations Unies pour le Sahara, qui est qualifié d’alcoolique
Un autre aspect macabre du scandale est celui des pots-de-vin versés à des journalistes internationaux pour qu’ils écrivent en faveur de la thèse marocaine sur le Sahara. L’intermédiaire de ces pots-de-vin n’est autre que le journaliste marocain Ahmed Charai, directeur de l’hebdomadaire L’Observateur, une personnalité influente liée aux services secrets marocains, ayant une affinité non dissimulée avec le roi, le gouvernement et des contacts dans des think tanks américains et juifs. Il a payé jusqu’à 20000 dollars pour un article de presse publié dans un média américain.
Source : Marocleaks, 06 juin 2021
Etiquettes : Maroc, France, Abdellatif El Hammouchi, DGSN, DGED, services secrets, Yassine Mansouri, Mohammed VI, Ahmed Charaï, Sahara Occidental, Algérie, Etats-Unis, ONU,
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Espagne : les espions du Maroc, non loin de l’hôpital de Logroño
Hospitalisation du président sahraoui : les espions du Maroc, non loin de l’hôpital espagnol
Les services de sécurité espagnols ont découvert un nid d’espions marocains non loin de l’hôpital espagnol, San Pedro, lieu d’hospitalisation du président sahraoui Brahim Ghali, révèle le journal espagnol El Mundo.
Selon la même source, les services espagnols ont découvert une importante présence des éléments des services marocains, aux alentours de l’hôpital espagnol de cette petite et paisible localité ibérique. Des éléments du Makhzen, qui auraient installé des appareils d’écoute et d’espionnage dans divers coins de cette zoneDe nouveau de la tension entre Rabat et Madrid
La reprise de la tension est de nouveau d’actualité, entre Madrid et Rabat,suite aux accusations formulées ce jeudi par l’ambassadrice marocaine à Madrid Karima Benaiche, rappelée par son pays pour consultation et après avoir été convoquée dans un premier temps, par le ministère espagnol des affaires étrangères .
A partir de son pays, et après une semaine de son rappel, la diplomate marocaine avait souligné que son pays ne tolérait pas l’autorisation permettant au président sahraoui de quitter les terres ibériques.La propagande malveillante du Makhzen
Au moment où les relations entre l’Espagne et le Maroc marquent le pas, dans le sillage de la crise des migrants envoyés vers l’enclave espagnole de Ceuta, en signe de chantage et marchandage de bas étage, la propagande du Makhzen continue de distiller des Fakenews, sur l’état de santé du président sahraoui et son « éventuelle » convocation par la justice espagnole au sujet d’une plainte déposée par un pseudo-opposant à la solde du palais royal.
Berlin dénonce le chantage de Rabat
La crise diplomatique entre Berlin et Rabat est loin d’être terminée, puisque l’État Fédéral menace de revoir tous les accords économiques signés avec le Maroc. Sur ce plan le ministre adjoint chargé des affaires européennes, Michael Roth dénonce le chantage politique du Maroc, et regrette la surenchère de Rabat d’utiliser la carte des jeunes migrants comme carte de pression sur l’Espagne, en particulier, et l’Union Européenne en général.
Algérie54, 28 mai 2021
Etiquettes : Maroc, Espagne, Sahara Occidental, Front Polisario, Brahim Ghali, Hospital San Pedro, Logroño, espionnage, services secrets,
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L’Allemagne a avorté un complot ourdi par les services secrets du Maroc
Brouille entre Berlin et Rabat : le contre-espionnage allemand évente un grave complot marocain
Le journal EL ESPAÑOL vient de jeter un véritable pavé dans la mare. Il révèle, en effet les raisons cachées de la brouille advenue entre le Maroc et l’Allemagne. Les services du contre-espionnage berlinois ont en effet mis à jour un vaste complot ourdi par les barbouzes du roi Mohamed VI en Europe centrale, et en Allemagne notamment.
« Le contre-espionnage allemand a obtenu des « informations secrètes et sensibles » au Maroc sur les plans organisés par Rabat pour agir dans le pays européen, comme l’ont expliqué à EL ESPAÑOL des membres du renseignement étranger.
L’intention était de devenir un allié de l’Allemagne dans la lutte contre le crime organisé. En contrepartie, il souhaite que Berlin reconnaisse la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental », écrit notamment ce journal. Mais, l’illusion n’a pas trompé les services secrets allemands.
Il est de notoriété publique que les éléments d’Abdellatif Hammouchi, pour faire du chiffre, et créer l’illusion qu’ils agissent efficacement contre le terrorisme islamiste, s’en prennent à de pauvres sujets marocains, qu’ils obligent à commettre les aveux les plus fous sous la pire des tortures.
Ils essayent aussi de faire accroire aux Européens que des connexions existeraient entre le Polisario et le terrorisme islamiste armé, afin de décrédibiliser ce mouvement de résistance qui se bat pour l’indépendance et l’émancipation de son peuple. De dangereuses connexions terroristes existent en effet entre les barbouzes marocaines et les groupes criminels islamistes sévissant au Sahel.
Le MUJAO (mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’ouest est en effet une pure création des services marocains, comme l’a maintes fois affirmé l’actuel ambassadeur sahraoui basé à Alger, Abdelkader Taleb Omar.
« En outre, la position ferme de l’Allemagne sur le droit international a influencé la décision des autres pays européens de prendre position sur le conflit du Sahara Occidental, selon des informations de Paris à Rabat », relève encore le même média, au grand dam de la diplomatie errante de Mohamed VI.
De son côté, à Rabat, il n’y a pas de version officielle des raisons de cette crise, au-delà de ce qui est contenu dans le communiqué du ministère des affaires étrangères, qui fait allusion à des « malentendus profonds sur des questions fondamentales ».
Entretemps, la presse marocaine a concentré le conflit sur plusieurs points : La non-invitation du Maroc par la chancelière Angela Merkel au sommet de la Libye à Berlin en janvier 2020, un drapeau de la République arabe sahraouie (RASD) qui a flotté sur la façade d’un bâtiment public de la ville de Brême à l’occasion du 45e anniversaire de la fondation du Front Polisario, mais aussi le positionnement de l’Allemagne contre le décret présidentiel de Donald Trump reconnaissant la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental le 10 décembre dernier.
Pour l’instant, il y a une impasse bureaucratique à Rabat et à Berlin, qui sera suivie de discussions plus profondes qui pourraient conduire à une rupture à d’autres niveaux.
En cherchant à jouer dans la cour des grands, le Maroc s’est littéralement grillé les ailes. Il va très certainement en payer le prix fort. Son masque est définitivement tombé. Il ne fait plus du tout illusion…
Ali Oussi
La Patrie News, 16 mai 2021
Etiquettes : Maroc, Allemagne, DGED, services secrets, lutte antiterroriste,
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Maâti Monjib accuse la « police politique » marocaine d’avoir « fabriqué » des accusations contre lui
RABAT – « Les accusations portées contre moi sont fabriquées par la police politique », a déclaré l’historien et défenseur des droits de l’Homme marocain Maâti Monjib à sa sortie de prison après avoir bénéficié d’une mise en liberté provisoire.
« La raison directe de mon arrestation est un article intitulé +Une structure secrète menace la sécurité des Marocains+ », a affirmé l’intellectuel emprisonné en décembre dernier pour « fraude » et « atteinte à la sûreté de l’Etat ».
La « structure secrète » dont il est question, a-t-il expliqué, est formée « d’officiers de la sécurité, d’hommes politiques, de quelques membres du système judiciaire auquel ils sont étrangers, à l’origine, ainsi que des journalistes. Ils coordonnent leurs efforts pour terroriser la classe politique et la société civile marocaine ».
Maâti Monjib a promis, en outre, de profiter de la période de sa mise en liberté provisoire pour « militer en vue de la libération des autres détenus d’opinion », citant les noms d’intellectuels emprisonnés récemment mais également ceux de militants du Hirak marocain.
L’historien marocain a été jugé et condamné en même temps que six militants et journalistes. Le 4 mars courant, il avait entamé une grève de la faim exigeant sa mise en liberté, ce qui a fortement fragilisé son état de santé.
En janvier dernier, un comité de soutien créé pour défendre Maâti Monjib avait entamé des démarches pour recruter une équipe internationale d’avocats pour appuyer la défense de l’intellectuel au Maroc, engager des procédures en France et au niveau international.
Il y a quelques jours, Maâti Monjib qui détient également la nationalité française, avait fait déposer une plainte à Paris contre les autorités marocaines. Celles-ci sont accusées de « harcèlement moral », de « mise en danger de la vie d’autrui » et « d’atteinte à la liberté individuelle par des personnes exerçant une fonction publique ».
L’intérieur sous la coupe de la DST et la DGED
Les propos tenus par l’historien, à sa sortie de prison, ont fait réagir le ministère de l’Intérieur marocain qui a critiqué « les déclarations irresponsables » du dénommé Maati Monjib.
Dans un communiqué rendu public le lendemain de la libération de Monjib, le ministère de l’Intérieur a nié catégoriquement l’existence « d’une structure secrète menaçant la sécurité des Marocains ». Le ministère s’est évertué à critiquer le militant des droits de l’Homme qu’elle a accusé de vouloir ternir l’image du Maroc au niveau international.
De son côté, l’opposant marocain, Ali Lmrabet a vertement critiqué le communiqué du ministère de l’Intérieur aussi bien sur la forme que sur le fond.
« Le ministère de l’Intérieur s’en prend au « dénommé » Maâti Monjib, l’accuse « d’irresponsabilité » et de porter atteinte à « l’image » du Maroc.
Pourtant, s’il y a un « dénommé », c’est bien ce ministère qui est sous la coupe de la police politique (DST et DGED) », a-t-il affirmé jeudi dans un tweet.
« Pourquoi la police politique s’est fâchée et a « télécommandé » le ministère de l’Intérieur? Parce que Monjib a parlé d’une structure secrète formée de flics, de juges et de journalistes qui élaborent des dossiers et des persécutions contre les dissidents », a-t-il ajouté.
Interpellé le 29 décembre 2020 dans le cadre d’une enquête préliminaire pour « blanchiment de capitaux », l’intellectuel a parallèlement été condamné à un an de prison le 27 janvier pour « fraude » et « atteinte à la sécurité de l’Etat » au terme d’un procès ouvert en 2015.
En janvier dernier, l’ONG de défense des droits de l’Homme, Amnesty international avait appelé , à la libération « sans condition » de l’historien.
« Les autorités marocaines doivent libérer immédiatement et sans condition le défenseur des droits humains Maâti Monjib et abandonner toutes les accusations portées contre lui, y compris celles qui découlent d’un précédent procès en cours depuis 2015, en relation avec son travail sur la liberté d’expression », avait indiqué l’ONG dans un communiqué.
Amnesty International avait affirmé aussi que « les accusations portées contre lui sont liées à des activités protégées par le droit à la liberté d’association qui ne justifient ni poursuites ni placement en détention ».
Maâti Monjib a également bénéficié du soutien d’une vingtaine d’ONG tunisiennes des droits de l’Homme et auxquelles il a rendu hommage à sa sortie de prison.Tags : Maroc, Maati Monjib, répression, presse, journalistes, Makhzen, DST, DGED, services secrets,
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Un livre sur la guerre d’espionnage entre l’Espagne et le Maroc
Une publication qui est en train de faire un tabas. Ignacio Cembrero vient de publier « El agente oscuro » (l’agent obscur. En fait, il n’a écrit que le prologue, mais c’est le seul nom que vous trouverez en couverture.
Avec le sous-titre de « Mémoires d’un espion infiltré par le CNI », les services de renseignements espagnols.
El Agente oscuro est un document de première importance pour comprendre les méandres de l’histoire de l’ombre mais il peut être lui aussi comme un véritanle roman. Dans un comme dans l’autres, il est à lire absolument.
Source : RTVE
Tags : Maroc, Espagne, DGED, services secrets, CNI,