Étiquette : Sultana Khaya

  • Sahara Occidental : Sultana Khaya victime d'une tentative d'élimination physique

    Depuis sa résidence surveillée dans la ville occupée de Boujdour, la militante sahraouie, Mme Sultana Khaya a précisé à l’APS dans un appel téléphonique que « des baltaguia cagoulés des forces d’occupation marocaine ont attaqué son domicile, en lui jetant une substance dangereuse, qui pourrait être un mélange de brai et d’acide ». Elle exhorte tous les Hommes épris de liberté dans le Monde à agir en urgence pour la protection des civils sahraouis sans défense contre « la répression systématique » du régime du Makhzen.

    Relatant dans une vidéo les détails de « l’attaque brutale » dont elle a fait l’objet, la militante des droits de l’homme affirme que « l’Etat d’occupation marocaine cherche à l’éliminer physiquement ainsi que sa sœur », rappelant « les tentatives de l’occupant marocain de l’éborgner ».
    Elle a fait savoir, en outre, que la substance que lui ont jeté « les baltaguia du régime marocain » lui a causé une thrombose de l’œil gauche », rappelant qu’elle avait « déjà du mal à voir avec cet œil en raison d’une précédente attaque par des éléments du Makhzen lors d’une manifestation estudiantine contre l’occupation marocaine ».
    La vidéo de la nouvelle attaque des éléments de la sécurité marocaine filmée par la militante sahraouie montre des personnes cagoulées et confirme la présence d’une substance noire sur son visage.
    Sultana Khaya rappelle,dans le même contexte, que son domicile avait été « jeudi vers 02h00 la cible d’une tentative d’introduction par « les forces de l’occupation marocaine »
    Affirmant que sa vie et celle de sa famille est en danger, elle dénonce également « la torture psychologique et la répression barbare », appelant tous les Hommes épris de liberté dans le Monde à agir en urgence pour protéger les civils sahraouis de « la répression menée par les forces de l’occupation marocaine »
    Pour la militante sahraouie Sultana Khaya « la répression systématique » dans les villes sahraouies occupées est une honte pour toute l’Humanité », assurant que « le peuple sahraoui ne renoncera point à son droit légitime à l’édification de la RASD sur l’ensemble de ses territoires ».
    Sultana Khaya qui a subi des « agressions successives » depuis l’attaque de sa maison, le 13 février dernier, a échappé mardi passé, à une tentative d’assassinat.
    Algérie Medinfo
    Tags : Sahara Occidental, Maroc, Sultana Khaya, répression, 
  • Sahara occidental : Création d'une équipe internationale de soutien à Soltana Kheya

    Des organisations de différents pays ont créé une équipe de soutien pour attirer l’attention de la communauté internationale sur la situation déplorable de la militante sahraouie, Soltana Kheya, assignée arbitrairement à résidence par les autorités d’occupation marocaine depuis plus de trois mois sans mandat, ont rapporté des médias espagnols. « Nous sommes en contact fréquent avec Soltana pour documenter les violations qui sont commises contre elle et sa famille », a affirmé Tone Sorfonn Moe, juriste norvégienne qui travaille volontairement avec le Comité norvégien de soutien au Sahara occidental, est l’une des personnes qui font partie de cette équipe ». « Ce mouvement de solidarité qui travaille dans les territoires occupés du Sahara occidental est composé de personnes du monde entier, d’origines et de nationalités différentes. Nous essayons de coopérer le plus largement possible », a-t-elle soutenu. Au Sahara occidental occupé, « l’un des actes de répression les plus graves de ces derniers mois a été l’attaque visant la militante Soltana Kheya et de sa famille. Des dizaines de policiers et de services de renseignement marocains ont assiégé sa maison dans le but d’infliger douleur et peur à sa famille et, finalement, faire taire la voix de Soltana, mais aussi celle de la communauté sahraouie en général », a condamné la juriste norvégienne.

    Il est clair, pour la juriste, que l’assignation à résidence de Kheya est « aggravée par des actes de violence excessive, de menaces et d’intimidation ». De même, la juriste dénonce que « cette semaine des dizaines de sahraouis ont tenté de franchir les lignes de police pour rendre visite à la famille Kheya et ont tous subi des violences. Maintenant, Soltana continue de souffrir atrocement de ses blessures, surtout après avoir été frappée avec une pierre, la laissant étourdie avec de la difficulté à se lever et à voir », a dénoncé Mme Tone.
    L’ONU doit agir en urgence
    Pour la juriste norvégienne, le rôle de l’Organisation des Nations unies dans des situations comme celle de Soltana est essentiel car « elle a une responsabilité particulière d’agir et de dénoncer lorsqu’elle est informée de telles violations graves ». Mme Tone a estimé que « de telles violations ne doivent pas passer sous silence ». « Elles nécessitent une dénonciation et exigent que nous tenions les auteurs pour responsables. Ma liberté en tant que juriste norvégienne dépend des libertés d’autrui et si les droits de mes voisins sont violés aujourd’hui, demain je perdrai la mienne. Par conséquent, il est du devoir de chacun de lutter contre l’injustice ». Plusieurs organisations, telles que le Front Line Defenders, Democracy Now ou encore Equipe Media ont publié divers rapports qui attestent les mauvais traitements et la torture que la militante et sa famille subissent depuis des mois. « Cela nous rappelle ce qui s’est passé en 2010 et la situation actuelle semble être pire », déclare Nazha Elkhalidi, journaliste pour Equipe Media à Laâyoune occupée. En 2010, les autorités marocaines ont procédé brutalement au démantèlement du camp de Gdeim Izik, à quelques kilomètres de la ville sahraouie occupée El Ayoune, faisant une vingtaine de morts et des centaines de blessés et de disparus. Après cela, les villes du Sahara occidental sont devenues une prison pour les militants et journalistes sahraouis.
    Tags : Sahara Occidental, Western Sahara, Sultana Khaya, répression, 
  • Sahara Occidental : L'occupant marocain "pleinement responsable" des conséquences de son agression contre Soltana Khaya

    L’Instance sahraouie contre l’occupation marocaine (ISACOM) a tenu pour responsables les autorités marocaines de tout ce qui pourrait affecter l’état physique et psychologique de Soltana Khaya, et des membres de sa famille, en raison des agressions menées par l’occupant contre la militante sahraouie des droits de l’Homme, assignée arbitrairement à résidence depuis plus de trois mois. L’ISACOM a, dans un communiqué rendu public lundi, fait savoir qu’elle « suit le combat mené par le membre de l’Assemblée générale de Instance contre la décision injuste des autorités d’occupation prise contre Soltana Khaya le 19 novembre 2020, qui l’a placée ainsi que sa famille en résidence surveillée en assiégeant leur maison et en les empêchant de recevoir des visiteurs ».

    L’Instance a rappelé dans son communiqué que le dernier épisode des agressions marocaines contre la militante sahraouie remonte à dimanche, 21 février, lorsqu’elle a été agressée physiquement en lui confisquant son téléphone portable, sous le coup de menaces. « Après cet acte criminel mené par l’occupant marocain », a ajouté la même source, Soltana Kheya, accompagnée de sa sœur et de leur mère, ont décidé de s’asseoir devant la maison et d’entamer une grève de la faim illimitée, à partir de dimanche jusqu’à la récupération du téléphone portable de la militante et la levée du siège imposé à leur maison. Par ailleurs, des organisations de différents pays ont créé une équipe de soutien pour attirer l’attention de la communauté internationale sur la situation déplorable de la militante sahraouie, Soltana Khaya. « Nous sommes en contact fréquent avec Soltana pour documenter les violations qui sont commises contre elle et sa famille », a affirmé Tone Sorfonn Moe, juriste norvégienne qui travaille volontairement avec le Comité norvégien de soutien au Sahara occidental, et qui est l’une des personnes qui font partie de cette équipe.
    Au Sahara occidental occupé, « l’un des actes de répression les plus graves de ces derniers mois a été l’attaque visant la militante Soltana Khaya et de sa famille. Des dizaines de policiers et de services de renseignement marocains ont assiégé sa maison dans le but d’infliger douleur et peur à sa famille et, finalement, faire taire la voix de Soltana, mais aussi celle de la communauté sahraouie en général », a ainsi condamné la juriste norvégienne. Récemment, Soltana Kheya avait affirmé à l’APS que les forces de l’occupation marocaine cherchaient à la liquider physiquement à travers l’agression brutale sur son domicile et sa famille, appelant à cet effet les instances internationales des droits de l’Homme à l’ »impératif de protéger les civils sahraouis des pratiques répressives du Makhzen ». Le 13 novembre dernier, le cessez-le-feu en vigueur dans les territoires sahraouis occupés a été rompu suite à l’agression marocaine contre des civils sahraouis dans la zone tampon d’EL-Guerguerat (au sud -ouest du Sahara occidental). Le cessez-le-feu était en vigueur depuis 1991. Depuis, le régime marocain viole, de manière systématique, les droits de l’Homme dans les territoires occupés, où il mène aussi une escalade « dangereuse » et « hystérique » à l’encontre des civils sahraouis sans défense.
    Tags : Sahara Occidental, Western Sahara, Maroc, Sultana Khaya, répression, 
  • Sahara Occidental : Le parti espagnol Podemos condamne la répression marocaine

    RÉPRESSION MAROCAINE CONTRE LES SAHRAOUIS : Le parti espagnol Podemos condamne

    Le Parti socialiste basque espagnol a condamné la campagne de répression à laquelle s’adonnent les forces d’occupation marocaines contre des militants sahraouis, dans les territoires occupés du Sahara occidental. Le parti a dénoncé la répression barbare dont fait l’objet la militante Sultana Khaya et sa sœur El Ouara au sein même de leur maison et le mutisme international face au mépris affiché par le régime marocain à l’égard de la population sahraouie dans les villes occupées. Le parti affirme suivre de près les derniers développements concernant les violations des droits de l’Homme au Sahara occidental occupé, notant la violation par l’occupant marocain de l’accord de cessez-le-feu depuis le 13 novembre dernier. Le parti espagnol Podemos avait appelé, lundi, les autorités de son pays à intervenir pour mettre un terme aux violations marocaines des droits de l’Homme ciblant des militants sahraouis dans les villes occupées de Laâyoune et de Boujdour. « L’Espagne ne peut tolérer l’augmentation du nombre de violations des droits de l’Homme à Laâyoune et à Boujdour. Nous exigeons du gouvernement et du ministère des Affaires étrangères d’engager des actions d’urgence pour protéger (les militants) Sultana Khaya, Mohamed Nafaa Boutasofra, Ghali Bouhala et Mohamed Lamin Haddi », indique Podemos.
    Pour rappel, le domicile de la famille de la militante des droits de l’Homme, Sultana Khaya a été assiégé par un dispositif intense de la répression marocaine, dans le but de dissuader les militants sahraouis de manifester pacifiquement en vue d’exiger le droit à la liberté et à l’indépendance.
    Le ministère sahraoui des Territoires occupés et des Communautés sahraouies établies à l’étranger tient le Maroc pour responsable de la répression que subit la militante sahraoui Soltana Sidi Brahim Khaya et sa famille. Il a réitéré son appel à la communauté internationale, particulièrement l’ONU, pour assumer ses responsabilités juridiques et morales quant aux pratiques ignobles du régime marocain commises contre le peuple sahraoui.
    M. B.
    Nouvelles attaques de l’ALPS contre les forces coloniales marocaines
    Les unités de l’Armée populaire de libération sahraoui (ALPS) ont poursuivi leurs attaques contre les retranchements de l’armée d’occupation marocaine au niveau du mur de sable pour le 97e jour consécutif, a indiqué un communiqué du ministère sahraoui de la Défense. Selon le communiqué militaire rapporté par l’Agence de presse sahraouie (SPS) « les unités avancées de l’ALPS ont mené, lundi 15 février, des attaques contre les positions de l’armée d’occupation marocaine dans la zone de Agueraret Achedida relevant du secteur d’El-Farsia ». « Mardi, des unités de l’ALPS ont ciblé les positions de retranchement des forces marocaines dans les zones de Rous Fedra Lebir relevant du secteur d’El-Farsia », ajoute la même source. Des bombardements destructeurs ont également ciblé, selon la communiqué, des positions de l’armée d’occupation marocaine derrière le mur de la honte dans « la zone de Sebkhet Tnouchad relevant du secteur de Mahbes et la zone de Agouiret Ould Ablal (secteur de Mahbes). Les attaques de l’ALPS se poursuivent au quotidien contre les positions de retranchement des forces de l’occupant marocain postées le long du mur de la honte, a ajouté le communiqué.
    M. B.
    Sahara Occidental, Maroc, répression, Sultana Khaya,
  • Sahara Occidental : Democracy dénonce l'agression contre Sultana Khaya

    A

    GRESSION CONTRE LA MILITANTE SAHRAOUIE SULTANA KHAYA L’ONG US : Democracy Now accule le Makhzen

    L’ONG américaine Democracy Now est revenue sur l’agression brutale de la militante sahraouie Sultana Khaya par des agents de la police marocaine à son domicile dans la ville de Boujdour occupée, témoignant de la violente campagne de répression marocaine dans les territoires sahraouis occupés. La militante sahraouie et toute sa famille sont assignées à résidence à Boujdour occupée,depuis le 19 novembre dernier, quelques jours après l’agression marocaine contre des civils sahraouis pacifiques dans la zone tampon d’El-Guerguerat, en violation du cessez-le-feu de 1991. 
    « Le 13 février, Sultana Khaya brandissait un grand drapeau depuis son toit lorsque le commissaire de police de Boujdour (occupée) a lancé une pierre qui l’a atteinte à la tête. Les vidéos et photographies de l’agression et des blessures à la tête de Khaya sont devenues virales », a précisé Democracy Now, dans son émission télévisée diffusée lundi dernier. La même source a ajouté qu’au lendemain de la répression, « des dizaines de femmes sahraouies se sont approchées du domicile familial en signe de solidarité, mais ont été battues par la police. Alors que Sultana protestait contre son assignation à résidence, le même policier l’a frappée à la nuque avec une matraque et elle s’est de nouveau évanouie ». 
    La famille de Khaya s’inquiète de ses blessures mais affirme que les hôpitaux gérés par le Maroc ne sont pas des endroits sûrs pour les militants sahraouis et que la police n’a pas autorisé la famille à faire venir un médecin à la maison. 
    En 2016, Democracy Now a interviewé Sultana Khaya pour son documentaire « Quatre jours au Sahara occidental: la dernière colonie de l’Afrique ». Dans ce documentaire exclusif, Democracy Now a rappelé avoir brisé « le blocus médiatique et s’est rendu au Sahara Occidental occupé pour documenter la lutte des Sahraouis pour la liberté qui dure depuis des décennies et la violente répression du Maroc ». 
    Fin 2016, Democracy Now a réussi à pénétrer dans la ville sahraouie de Laayoune occupée et beaucoup de Sahraouis de ce film sont actuellement assiégés par la police.
    M. B.
    Tags : Sahara Occidental, Maroc, répression, Sultana Khaya, Democracy Now,
  • Recrudescence des violations des droits de l'homme dans les territoires occupés du Sahara occidental (Task Force)

    La Task Force de la Coordination des Comités Européens de Soutien au Peuple Sahraoui (EUCOCO) exprime sa solidarité avec Mlle Sultana Khaya, sa famille et tous les défenseurs des droits de l’homme sahraouis qui sont quotidiennement agressés et réprimés par les forces d’occupation marocaines Sahara occidental occupé.

    Les forces d’occupation marocaines ont amélioré la répression et les arrestations arbitraires de militants sahraouis depuis le 14 novembre dernier, date à laquelle la guerre entre l’armée de libération sahraouie et l’armée marocaine a repris. Depuis cette date, les violations des droits de l’homme du peuple sahraoui vivant au Sahara Occidental occupé ont augmenté de façon exponentielle. Il y a quelques années, Mlle Khaya était déjà agressée par les forces d’occupation marocaines et elle a perdu un œil. Récemment, elle a de nouveau été agressée et elle risque maintenant de perdre l’autre œil. Dans le même temps, l’armée d’occupation marocaine l’a emprisonnée avec sa famille dans leur maison pendant plus de 3 mois.
    L’Équipe spéciale demande à l’ONU, à l’Union européenne et à l’Union africaine de s’acquitter de ses obligations et d’agir d’urgence pour éviter toute aggravation de la situation actuelle au Sahara occidental occupé. Les Nations Unies et le Conseil de sécurité doivent obliger le Royaume du Maroc à respecter ses engagements pour la mise en œuvre immédiate du processus d’autodétermination confié à la MINURSO, et ils doivent garantir le droit du peuple sahraoui d’organiser librement un référendum d’autodétermination.
    La Task Force appelle donc le Comité international de la Croix-Rouge à respecter ses engagements et sa mission. Le CICR doit envoyer une mission d’observation au Sahara Occidental occupé et il doit protéger la population sahraouie des violations quotidiennes des droits de l’homme commises par les forces d’occupation marocaines. En outre, le CICR doit obliger le Royaume du Maroc à respecter le droit international humanitaire qu’il n’a jamais respecté pendant le conflit du Sahara occidental.
    Fait à Bruxelles, le 18 février 2021
    Tags : Sahara Occidental, Front Polisario, Maroc, répression, Sultana Khaya,
  • Sahara Occidental : Le Parti socialiste basque espagnol dénonce l'agression de Sultana Khaya :

    Agression de Sultana Khaya : Le Parti socialiste basque espagnol dénonce la répression barbare d’El Makhzen

    Le Parti socialiste basque espagnol a condamné la campagne de répression à laquelle s’adonnent les forces d’occupation marocaines contre des militants sahraouis dans les territoires occupés du Sahara occidental rapport l’agence de presse sahraoui.
    Le parti a dénoncé la répression barbare dont fait l’objet la militante Sultana Khaya et sa soeur El Ouara au sein même de leur maison et le mutisme international face au mépris affiché par le régime marocain, à l’égard de la population sahraouie dans les villes occupées.
    Le parti affirme suivre de près les derniers développements concernant les violations des droits de l’homme au Sahara occidental occupé, notant la violation par l’occupant marocain de l’accord de cessez-le-feu depuis le 13 novembre dernier.
    Le parti espagnol Podemos avait appelé, lundi, les autorités de son pays à intervenir pour mettre un terme aux violations marocaines des droits de l’Homme ciblant des militants sahraouis dans les villes occupées de Laâyoune et de Boujdour.
    « L’Espagne ne peut tolérer l’augmentation du nombre de violations des droits de l’Homme à Laâyoune et à Boujdour. Nous exigeons du gouvernement et du ministère des Affaires étrangères d’engager des actions d’urgence pour protéger (les militants) Sultana Khaya, Mohamed Nafaa Boutasofra, Ghali Bouhala et Mohamed Lamin Haddi », indique Podemos dans un tweet.
    A rappeler que le domicile de la famille de la militante des droits de l’homme, Sultana Khaya a été assiégé par un dispositif intense de la répression marocaine, dans le but de dissuader les militants sahraouis de manifester pacifiquement en vue d’exiger le droit à la liberté et à l’indépendance.
    Le ministère sahraoui des Territoires occupés et des Communautés sahraouies établies à l’étranger avait tenu le Maroc pour responsable de la répression que subit la militante sahraoui Soltana Sidi Brahim Khaya et sa famille.
    Il a réitéré son appel à la communauté internationale, particulièrement l’ONU, pour assumer ses responsabilités juridiques et morales quant aux pratiques ignobles du régime marocain commises contre le peuple sahraoui.
    Tags : Sahara Occidental, Maroc, répression, Sultana Khaya,

  • Sahara occidental : Répression hystérique de l’occupant marocain

    L’hystérie dans la répression des civils sahraouis s’empare des services de sécurité marocains. Ce comportement ne cesse de prendre de l’ampleur depuis que les unités de l’armée de libération sahraouie font subir des dégâts importants et des pertes humaines. Tous les jours, les médias internationaux reçoivent des témoignages accablants sur les violations des forces d’occupation du Makhzen.

    Les forces d’occupation marocaine “accentuent de manière hystérique la répression et les violations des droits de l’homme contre les Sahraouis désarmés dans les territoires sahraouis occupés, soumis à un bouclage sécuritaire inédit pour dissuader les citoyens sahraouis à sortir manifester pour réclamer la liberté et l’indépendance”, a déclaré Hayat Khatri, correspondante de la Télévision et Radio sahraouies dans les villes occupées.
    La journaliste a évoqué “l’encerclement par les forces de l’occupation des domiciles des militants de la société civile sahraouie”, relevant que le domicile de “sa famille situé à El-Hachicha est encerclé en permanence par les forces marocaines”.
    Elle déploré, à ce propos, la situation de la militante des droits de l’Homme, Soltana Sid Ibrahim Khaya et sa soeur Ouara Sid Ibrahim Khaya qui ont été violentées, par les autorités de l’occupation marocaine dans la ville sahraouie occupée de Boujdour.
    “Des soldats de l’occupant marocain, en civil, ont enlevé deux mineurs sahraouis, en l’occurrence Zakaria al-Rijibi et Akram al-Hanafi”, a-t-elle fait savoir, précisant que l’opération “a été dirigé par le bourreau Ali Boufri” et “la destination où les deux enfants ont été conduits reste inconnue”.
    Par ailleurs, on a évoqué la présentation ce lundi des détenus civils Ghali Bouhla et Mohamed Nafeh Boutasoufra devant un tribunal “pour des accusations montées de toutes pièces”. Les poursuites engagées contre eux ne sont motivées que par leur militantisme politique contre la présence de l’occupation.
    Le domicile de la famille de la militante des droits de l’homme, Sultana Khaya, est assiégé depuis 11 semaines par les forces de répression marocaine.
    Le ministère sahraoui des Territoires occupés et des Communautés sahraouies établies à l’étranger avait, de son côté, tenu le Maroc pour responsable de la répression que subit la militante sahraoui Soltana Sidi Brahim Khia et sa famille, réitérant son appel à la communauté internationale, particulièrement l’ONU, pour assumer ses responsabilités juridiques et morales quant aux pratiques ignobles du régime marocain commises contre le peuple sahraoui.
    Pour sa part, la Commission sahraouie des droits de l’Homme (CONASDH) avait dénoncé la répression barbare dont fait l’objet la militante Sultana Khaya et le mutisme international face au mépris affiché par le régime marocain, à l’égard de la population sahraouie dans les villes occupées.
    Les violations et les agressions de l’occupation marocaine ont dépassé toute limite en assassinant le jeune sahraoui Mohamed Salem Ayad Lefkir qui a été placé dans une morgue à l’arrêt à l’hôpital de Laâyoune occupée pour masquer toute trace de violence”, avait révélé le Coordonnateur de la CONASADH en Europe, Hassan Ali Amilid.
    Aussi, une équipe spéciale relevant des forces marocaines ont kidnappé l’ancien détenu politique, Ghali Bouhla et Mohamed Nafeh Boutasoufra dans la ville de Laâyoune occupée.
    La situation dans les geôles marocaines est aussi alarmante que celle à l’extérieur en témoigne le détenu sahraoui Mohamed Lamine Abdine Heddi qui a été torturé et menacé brutalement dans la prison de Tiflet 2 après 27 jours de grève de la faim.
    Tags : Sahara Occidental, Maroc, répression, Sultana Khaya,
  • La militante sahraouie Soltana Khaya sauvagement agressée par les forces de l’ordre marocaines

    Des les territoires occupés su Sahara occidental, les violations des droits de l’Hommes sont systématiques. Nul n’y échappe.

    Le dernier fait de cette logue série de l’épuration ethnique dont excellent le Makhzen et ses relais, à l’encontre des activistes sahraouis, nous vient de Boudjedour, troisième grande ville du Sahara Occidental, où la militante sahraouie des droits de l’Homme, Soltana Sid Ibrahim Khaya, en résidence surveillée, a été sauvagement tabassée et grièvement blessée au visage et à l’œil suite à une agression barbare de la police de l’occupation marocaine.
    Une source sahraouie des droits de l’Homme avait en effet indiqué, que la militante sahraouie des droits de l’Homme, Soltana Sid Ibrahim Khaya et sa sœur, Ouara Sid Ibrahim Khaya ont été violentées par les autorités de l’occupation marocaine.
    Citant une source sahraouie des droits de l’Homme, l’Agence de presse sahraouie (SPS) a précisé que le quartier où se trouve le domicile de la famille de la militante des droits de l’homme, Sultana Khaya est assiégé par un dispositif intense de la répression marocaine, dans le but de dissuader les militants sahraouis de manifester pacifiquement en vue d’exiger le droit à la liberté et à l’indépendance, ajoutent les mêmes sources.
    D’ailleurs, dans une vidéo, mise en ligne, par la fondation des droits humains, Nushatta, il est aisé de voir les forces d’occupation marocaines lancer une féroce campagne de répression contre les militants sahraouis dans les territoires occupés du Sahara occidental depuis la reprise du conflit armé suite à la violation du cessez-le-feu par le Maroc le 13 novembre dernier.
    Dans cette vidéo de deux minutes, la fondation Nushatta parle du cas de la militante Soltana Kheya assignée à résidence dans la localité de Boujdour occupée, pendant 11 semaines.
    D’après la fondation, la militante sahraouie qui «a déjà perdu un œil lors d’une agression policière il y a quelques années», subit, elle et sa famille des «violences policières».
    La Fondation Nushatta, créée en 2013, effectue un suivi régulier de la situation des droits humains dans les territoires occupés du Sahara Occidental.
    En décembre dernier, elle a présenté un rapport sur la situation des droits de l’Homme dans les villes sahraouies occupées depuis l’agression marocaine contre le civils sahraouis dans la zone tampon à El-Guerguarat en novembre dernier.
    Le document mis au point, en collaboration avec le Comité norvégien de soutien pour le Sahara occidental et l’organisation espagnole de défense des droits de l’Homme (Nomads), souligne notamment que des journalistes et défenseurs des droits humains sahraouis font l’objet d’«une campagne massive d’intimidation et de harcèlement», appelant à cet effet les individus et les organisations à prendre des mesures pour dénoncer ces pratiques.
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  • Sahara Occidental : le peuple sahraoui ne capitulera jamais

    Depuis plusieurs années, les grands de ce monde ont décidé d’offrir le territoire du Sahara Occidental au Maroc en guise de récompense pour ses actes de serviteur loyal aux desseins impérialistes dans la région du Maghreb. Même au détriment de la légalité internationale.

    C’est dans ce contexte que toutes les résolutions du Conseil de Sécurité pointent vers l’imposition de la pseudo-solution basée sur l’octroi aux sahraouis d’une prétendue autonomie de la part d’un régime qui n’a jamais respecté ses engagements ni les moindres principes des droits de l’homme et de démocratie. Théoriquement, pour des raisons de sécurité. Dans la réalité, les puissances mondiales, la France et les Etats-Unis plus précisément, lorgnent les nombreuses richesses du territoire.
    En tant qu’instrument parasité par ces puissances, l’ONU tourne le regarde sur les pratiques d’un autre âge que les autorités marocaines utilisent pour museler la population sahraouie dans les territoires occupés. Une population enfermée dans une prison à ciel ouvert interdite aux journalistes, aux ONG et à tous les visiteurs qui n’ont pas l’intention de louer l’occupation marocaine.
    Assuré par le silence criminel de la communauté internationale et la protection de la France colonialiste, le Maroc se permet les pires violations des droits de l’homme dans un territoire classé non autonome par les Nations Unies.
    Ulcérées par la décision du Front Polisario de reprendre la lutte armée en vue de mettre fin au statu-quo imposé au peuple sahraoui dans le but de l’amener à capituler, les autorités marocaines ont décidé d’assouvir leur vengeance sur la population civile sahraouie qui tente de s’exprimer sur son sort et sa situation tragique.
    Ainsi, après avoir arraché un oeil à l’activiste des droits de l’homme Sultana Khaya, elle se retrouve désormais emprisonné chez elle sous le régime de la résidence surveillée, entourée et harcelée par les bourreaux du roi Mohammed VI.
    Cette situation est le produit des mauvais calculs des protecteurs de la monarchie médiévale et sanguinaire du Maroc qui rêvent de voir le peuple sahraouie déposer les armes. Rêver, c’est un droit légitime et gratuit, mais il reste, quand même, un rêve qui dans ce cas ne sera réalisera jamais puisque les sahraouis sont déterminés, maintenant plus que jamais, à en découdre avec cet Etat qui, malgré ses accointances avec le terrorisme et le trafic de drogues, reste le chouchou de l’Occident.
    Tags : Sahara Occidental, Front Polisario, Maroc, ONU, Sultana Khaya,