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  • Algérie: Taux de change des principales devises

    Algérie: Taux de change des principales devises

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    Selon Algérie-Expat, ce jeudi 2 juin 2022, l’euro est proposé à la vente à 217 dinars algériens, 2 dinars de moins pour l’achat.

    En ce qui concerne le billet vert américain, le dollar reste stable. Un dollar US s’échange à 200 dinars l’achat et 203 à la vente.

    Concernant le dollar canadien et la Livre sterling qui ne connaissent pas le même engouement des clients, leurs prix varient. Le pound garde la même valeur. Il est échangé à 250 dinars algériens à l’achat et 253 dinars à la vente. Tandis que la monnaie canadienne est en baisse. Le dollar canadien s’échange contre 147 dinars à l’achat et 150 dinars à la vente.

    Toujours selon la même source, les cotations officielles à la banque d’Algérie connaissent une stagnation relative. Ce jeudi 2 juin 2022, le taux de change de l’euro s’affiche à 155,51 dinars à l’achat et 155,54 dinars à la vente. Le dollar américain reste à 145,61 dinars algériens à l’achat et 145,62 dinars à la vente.

    De son côté, la Livre sterling n’a connu aucun changement. Un pound s’échange contre 182,40 dinars à l’achat et 182,46 dinars à la vente. Enfin, le dollar canadien est proposé 2022 à 114,19 dinars algériens à l’achat et à 114,23 dinars à la vente.

    #Algérie #Devises #Change #Euro #Dollar

  • Algérie.- Lundi 11 avril: Cours des principales devises

    Algérie.- Lundi 11 avril: Cours des principales devises

    Algérie.- Lundi 11 avril: Cours des principales devises – marché interbancaire des changes,

    Voici le cours des principales devises sur le marché interbancaires des changes d’Alger pour la journée du lundi 11 avril.

    *NB : – Le tableau reprend les cours commerciaux (monnaies en compte).
    Ces cours ne s’appliquent pas au change manuel (billets de banque et chèques de voyage).

    Source : Banque d’Algérie

  • Le Maroc ne veut pas de flexibilité du dirham

    Le Maroc ne veut pas de flexibilité du dirham

    Le Maroc ne veut pas de flexibilité du dirham – taux de change, Banque Almaghrib, FMI,

    Abdellatif Jouahri, gouverneur de Bank Al-Maghrib, continue de s’opposer à l’assouplissement du taux de change. Il n’est pas d’accord sur le fait que les marges de fluctuation devraient être à nouveau élargies, malgré les récentes recommandations du Fonds monétaire international.

    Abdellatif Jouahri estime qu’il n’est pas opportun d’élargir davantage la marge de fluctuation du dirham, même si le FMI insiste. « Nous avons défendu notre position et dit que c’est à nous de décider du bon moment. Nous ne nous sentons pas encore prêts, même si techniquement tout est en ordre », a-t-il déclaré mardi lors d’une conférence de presse à l’issue du dernier conseil d’administration de la Banque. Al-Maghrib.

    L’accélération des réformes recommandées par le Fonds monétaire international en cette période dominée par la crise sanitaire, fait peser des incertitudes et des risques sur le budget de l’État, a déclaré le gouverneur de la Banque centrale. « Si nous passons à la deuxième phase, nous nous dirigeons vers l’inflation », a-t-il déclaré. Il a souligné que « les conséquences sont plus dommageables que nous ne pouvons l’imaginer et inverser cela est difficile ».

    Abdellatif Jouahri a également souligné que les partenaires économiques à l’importation et à l’exportation, notamment les petites et moyennes entreprises, ne sont pas prêts à mettre en œuvre la réforme. « Nous avons fait une tournée régionale et nous pensons qu’il faut une politique de formation pour qu’ils soient mieux équipés », a-t-il déclaré.

    Le premier élargissement de la bande de fluctuation du dirham a eu lieu en septembre 2018, permettant à la monnaie nationale de gagner de ±0,3% à ±2,5%. Le deuxième assouplissement a eu lieu en mars 2020, avec des fluctuations allant jusqu’à ± 5 %. Depuis le début de la réforme, le dirham est resté relativement stable face à l’euro et au dollar, malgré les inquiétudes initiales.

    Bladna, 26/12/2021

    #Maroc #Dirham #Change #Devise #dévaluation

  • Taux de change euro – dinar algérien sur le marché noir et officiel (10/08/21)

    Algérie, taux de change, devise, euro, dollar, dinar, #Algérie, 

    Le taux de change de l’euro a connu une légère hausse face au dinar algérien sur le marché noir de devises en Algérie. En ce mardi 10 août 2021, la monnaie européenne est, en effet, repassée au dessus de la barre des 210 dinars. Alors que sur le marché officiel, la monnaie européenne reste toujours sous la barre des 160 dinars.
    Les taux de changes de l’euro et du dinar algérien ont connu un léger changement au niveau des principaux marchés noirs de devises en Algérie. C’est le cas notamment au niveau du Square port Saïd d’Alger, où l’euro a connu une légère hausse ces derniers jours.
    En effet, en ce mardi 10 août 2021, la monnaie européenne est achetée par les cambistes à 209 dinars et la revendent à 211 dinars. Concernant les autres devises présentes au niveau du marché parallèle, on remarque une certaine stabilité des taux de change, à l’image du dollar américain qui s’échange toujours à 176 dinars à l’achat et 179 dinars à la vente. Même constat pour la livre sterling qui s’échange à 236 dinars à l’achat, contre 238 dinars à la vente. Alors que le dollar canadien s’échange en ce mardi à 136 dinars à la vente et à 139 dinars à l’achat.
    Taux de change euro-dinar algérien sur le marché officiel
    Les taux de changes de l’euro et du dollar ont connu des légers changements sur le marché officiel. Selon les cours de la Banque d’Algérie, le taux de change de l’euro reste relativement stable et se maintient au dessous de la barre des 160 dinars. En effet, un euro s’est affiché à 159,17 dinars à l’achat et 159,24 dinars à la vente.
    Pour sa part, le dollar américain, qui connu une hausse remarquable face au dinar algérien au cours des dernières semaines, a amorcé une nouvelle hausse face à la monnaie locale sur le marché interbancaire de changes des devises en Algérie. Selon la même institution financière, le dollar vaut 135,39 dinars à l’achat et 135,41 dinars à la vente.
    Algérie-Expat, 10/08/2021
  • Algérie / Ouverture des frontières. L’euro et le dollar flambent

    Conséquences de l’ouverture partielle des frontières. L’euro et le dollar flambent

    En cascade depuis l’ère de Trump qui avait décidé un plan de relance de l’économie aux Etats-Unis, suite à la hausse des dépenses publiques, les flottements des coûts du métal jaune sur le marché international n’augurent rien sauf peut-être qu’elles réveillent une fois de plus les démons des marchés parallèles. Quand on sait que le dollar est la principale monnaie internationale des achats des matières premières, on devine pourquoi on appréhende les risques de relèvement des coûts des produits importés avec la reprise du trafic aérien et des marchandises, dont l’une des dernières répercussions, est l’entrée en vigueur de la hausse, depuis quatre jours, des prix des marques du tabac importées de l’étranger, à hauteur de 30 da par paquet de cigarette en attendant probablement l’entrée d’importation des véhicules de tourisme de moins de 3 ans d’âge, déjà annoncée par le gouvernement à la faveur de la réouverture des frontières et la reprise des opérations d’importations. Quelles conséquences en Algérie ?

    La reprise des vols internationaux d’Air Algérie aux algériens, d’ici et ailleurs, a vite précipité les cambistes et du coup donné un véritable coup de fouet au marché de changes dominé par le marché informel après une léthargie de plusieurs mois. Même s’il faut reconnaître quelque part que cette hausse du dollar et de l’Euro n’est pas aussi significative que celle qui avait précédé la décision d’annonce de réouverture des frontières pour cause qu’à la fin mai, le prix moyen de l’Euro s’échangeait à 219,19 dinars à l’achat et à 221,63 dinars à la vente contrairement aujourd’hui où il s’échange à 211 dinars à l’achat et à 213 dinars à la vente sur le marché informel.

    Cette flambée de l’euro et partant du dollar, pas du tout aussi importante que celle de fin mai, est donc justifiée par la saturation des réseaux de réservation aux vols de certaines compagnies aériennes du monde et la problématique du remboursement des billets des vols annulés lors du Covid-19. Théoriquement, il faut s’attendre à une autre flambée des coûts de la monnaie européenne soit la plus importante depuis la réouverture des frontières. Mais c’est sur le plan des surcoûts de matières premières importées que le spectre d’une psychose sur le marché de la consommation en Algérie commence à refaire surface, ce qui fait craindre désormais un possible effondrement du pouvoir d’achat des ménages. Reprise du trafic aérien et dynamique retrouvée dans les importations, sont deux indicateurs sur lesquels se basent les cambistes du marché de changes informel pour espérer reprendre les transactions comme dans le « beaux temps » des échanges commerciaux avec l’étranger.

    Depuis la réouverture partielle des frontières aériennes de l’Algérie, le 1er juin, suite à la décision de la reprise des vols internationaux, le marché de changes parallèle a retrouvé une tendance à la hausse. La baisse du dinar algérien se confirme sur le marché noir des devises, au Port Saïd, lieu incontournable des cambistes, qui retrouvent du sourire depuis la réouverture partielle des frontières aériennes, après plus d’une année marquée par un tassement des transactions. La monnaie unique européenne, l’euro, s’échange à 213 dinars à la vente et 211 dinars à l’achat sur le marché parallèle des changes, alors que le dollar américain s’échange à 178 dinars à la vente et à 175 dinars à l’achat. La livre sterling s’échange à 240 dinars à la vente et à 237 dinars à l’achat, alors que le dollar canadien est à 138 dinars à la vente et à 135 dinars à l’achat.

    Régi essentiellement par l’offre de la divise générée par les flux migratoires, notamment vers l’Europe, le marché parallèle des changes s’est revigoré depuis l’annonce de la réouverture des frontières aériennes, après plus d’une année marquée par un niveau de transactions faibles. Le marché officiel interbancaire des changes reste plutôt stable. La monnaie unique européenne s’échange à 162,16 DA à la vente et à 162,09 DA à l’achat. Le dollar américain s’échange à 133,91 DA à la vente et à 133, 90 DA à l’achat.

    Le Carrefour d’Algérie, 15 juin 2021

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  • Algérie : L’interminable chute du dinar

    Marché parallèle des devises

    L’ouverture partielle des frontières aériennes, maritimes et terrestres de l’Algérie et la prochaine reprise des voyages de nos compagnies nationales a insufflé un vent nouveau sur le marché informel des devises. L’animation a repris de plus belle au niveau du Square Port Said, dans la capitale, où les cotations s’animent après une longue période de paralysie. Ce n’est pas le rush encore, mais la fébrilité est visible aussi bien chez les acheteurs que les potentiels clients.

    Premier constat: Le dinar est déprécié face à la monnaie unique européenne « euro ». Sur ce marché parallèle, l’euro s’échangeait ce mardi contre 211 dinars et le billet vert vaut 176 dinars, contre respectivement 210 et 175 dinars la semaine passée.

    En quelques jours, la hausse est palpable. Selon Aziz Staifi, un cambiste, ” la reprise partielle des vols internationaux, ainsi que les perspectives d’ouverture des frontières ont boosté les cours des devises sur le marché noir”. Optimiste, il dira que que les prochaines semaines devraient encore rajouter à la dépréciation de la monnaie nationale face aux devises, surtout avec l’approche des vacances estivales et les voyages. ” Si la campagne de vaccination sera effective d’ici deux mois, les Algériens pourront se décider à voyager en Turquie, en Espagne ou ailleurs. Et là, la demande va augmenter sensiblement”, précise le cambiste.

    Rompu aux détails de ce marché et exhibant fièrement des liasses, un autre cambiste nous dit que l’euro va flamber encore. “Avec les conditions sanitaires en vigueur et la cherté, il y aura moins d’euro sur le marché. Notre offre n’a pas atteint les records de 2019. Quant à la demande, elle sera faible en raison de la crise économique et le faible pouvoir d’achat des catégories sociales moyennes”. Pour l’analyste informel, le marché parallèle des devises s’enflammera le jour où la pandémie disparaîtra.

    Au niveau de l’agence CPA du boulevard Ali Boumendjel, les cotations affichées des billets de banque et des chèques de voyage au taux officiel, tel que préconisé par la Banque d’Algérie, l’euro valait 162,10 dinars, alors que dimanche dernier il avait dépassé la barre fatidique des 170 dinars, soit un nouveau record historique. Le dollar américain affiche une cotation de 133,50 dinars.

    Pour de nombreux observateurs, la politique monétaire n’est pas claire car il semble qu’elle subit depuis quelques semaines une réévaluation qui touche la monnaie nationale. En mars dernier, le premier argentier du pays avait déclaré que le gouvernement va procéder à une “réforme” en prenant en considération les capacités de l’économie nationale.
    Aymen Benabderahmane a même assuré que la “monnaie nationale devrait enregistrer un regain avant la fin de l’année en cours”. Le ministre avait déclaré : « Le décollage économique que connaîtra l’Algérie dans les prochains jours à la faveur du lancement de plusieurs projets de développement va permettre à la monnaie nationale de retrouver sa force économique et son pouvoir libératoire ».

    « La monnaie est le miroir de l’économie », a-t-il dit, en ajoutant : « La monnaie nationale n’est pas en situation d’effondrement comme le prétendent certains mais plutôt en reprise ».

    Un regard dans la mouture de l’avant projet de loi de finances complémentaires 2021, toujours en examen, on constate que les rédacteurs ont prévu la poursuite de la dépréciation du dinar face au dollar américain durant l’année en cours pour atteindre 142,20 DA contre 133 actuellement. L’avant-projet relève : « Le marché des changes s’est caractérisé en 2020 par une dépréciation du dinar par rapport au dollar de 5,9% et par rapport à l’Euro de 7,7%. » « Le dinar s’est échangé, en moyenne annuelle en 2020, à 126,82 DA pour un dollar US et à 144,85 DA pour un Euro, contre, respectivement, 119,36 DA/$US et 133,71 DA/Euro, en moyenne annuelle en 2019. »
    En fin de période (31 décembre 2020), « le dinar s’est échangé à 132,13 DA pour un dollar US et à 162,4 DA pour un Euro. »

    Difficile dans ces conditions de croire à une embellie rapide du dinar, alors que le pays connait une lente campagne de vaccination de sa population ( les projections indiquent juste moins de 10% de vaccinés avant 2022), surtout que cette mesure va devenir une obligation pour toute reprise d’une vie normale. De plus, pour certains observateurs, la réussite de cette campagne de vaccination dépendra largement de la réussite du décollage économique qui fait rêver le premier argentier du pays.

    Le Jeune Indépendant, 25 mai 2021

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  • Devises au Maroc: Taux de change Euro/Dirham marocain, dimanche 9 mai

    Le taux de change de l’euro s’est stabilisé au Maroc, ce dimanche, face au Dirham, au début des échanges.

    Le taux de change de l’Euro a enregistré face au Dirham, 10.37 Dirhams, pour 01 Euro, à l’achat et 12.06 Dirhams, à la vente.

    La livre sterling s’échange, à 11.98 Dirhams à l’achat et 13. 93 Dirhams à la vente.

    Le taux de change du dollar a enregistré 8.58 Dirhams, à l’achat et 9.79 Dirhams à la vente.

    Le taux de change du riyal saoudien, est de 2.89 Dirhams à l’achat et 2,66 Dirhams à la vente.

    Le taux de change du Dirham émirati se change à 2.33 Dirhams à l’achat, et 2.71 Dirhams à la vente.

    Le taux de change du Dinar koweïtien se change à 28,66 Dirhams à l’achat, et 33.31 Dirhams à la vente

    Al Ain News, 09 mai 2021

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  • Algérie/ Crispation (Edito de Liberté)

    L’Algérie a célébré hier la Journée mondiale du travail, coïncidant avec le 1er mai de chaque année, dans un contexte économico-social des plus tendus. Les difficultés financières qui s’aggravent de jour en jour viennent rendre encore plus complexe toute perspective de relance de la croissance au moment où l’emploi est frappé de plein fouet par la crise sanitaire.

    Conséquence logique de la baisse de l’activité économique, la dépréciation de la valeur de la monnaie nationale a eu pour effet d’accentuer la hausse des prix des produits. Et comme cette augmentation des prix des produits importés coïncide avec celle des produits locaux (fruits et légumes, viandes…), le taux d’inflation s’en trouve ainsi sensiblement distendu, malmenant sérieusement le pouvoir d’achat des citoyens. Et c’est cette situation qui semble avoir poussé plusieurs syndicats, notamment de la Fonction publique, à hausser le ton de la revendication et même à recourir à la protestation pour exprimer le ras-le-bol face à la dégradation continue du pouvoir d’achat des travailleurs.

    Les augmentations de salaire accordées, il y a quelques années, ont naturellement été siphonnées par la hausse des prix couplée à la perte de valeur du dinar. L’action syndicale, qui a sommeillé pendant presque deux ans à la faveur des événements politiques qu’a connus le pays avec l’éruption du mouvement populaire et, par la suite, de la pandémie de coronavirus, s’est réveillée presque en sursaut.

    De nombreux secteurs d’activité sont ainsi brusquement gagnés par la protestation. Éducation nationale, enseignement supérieur, santé, commerce, impôts, poste, Protection civile, pour ne citer que ces secteurs, ont tous connu des mouvements de débrayage des travailleurs. Pour certains d’entre eux, d’autres actions de protestation sont prévues pour les prochains jours.

    La sortie du Premier ministre à ce propos n’est, visiblement, pas pour arranger les choses. C’est dire que la tension au niveau du front social risque de s’exacerber davantage. Et pendant ce temps, l’heure n’est visiblement pas au dialogue entre le gouvernement et les partenaires sociaux. Pourtant, la situation le recommande, l’exige même, afin d’éviter que la brouille se corse ou que les conflits s’enlisent. Ce qui n’est, évidemment, dans l’intérêt de personne. Surtout en ces temps de crispation socio-économico-politique.

    Liberté, 02 mai 2021

    Etiquettes : Algérie, 1er mai, fête des travailleurs, Journée mondiale du travail, crise économique, hausse des prix, inflation, dinar, taux de change,