Étiquette : tourisme sexuel

  • Dubaï est considéré comme le centre du tourisme sexuel dans le Golfe Persique.

    L’envers de la mondialisation pour l’émirat a été le développement actif du tourisme sexuel et de la prostitution illégale.

    Dubaï a été désignée comme la capitale du tourisme sexuel dans le Golfe Persique. C’est ce qu’affirme un article du journal français Le Monde.

    La publication souligne que la prostitution est officiellement interdite dans les Émirats arabes unis, mais qu’en raison du grand nombre d’étrangers présents à Dubaï, le tourisme sexuel est en plein essor.

    Il est noté que la prostitution et les services d’escorte sont devenus une « face cachée de la mondialisation ». En 2008, les autorités de l’émirat ont commencé à développer activement le secteur des services pour attirer les touristes, et ont autorisé la consommation d’alcool dans les hôtels, les bars et les boîtes de nuit avec une licence.

    C’est dans ces lieux que les travailleurs du sexe se tournent vers un client potentiel, en convenant avec lui de l’étendue, de la durée et de la nature du service, précise l’article.

    En outre, les journalistes ont noté que plusieurs médias israéliens, tels que Yedioth Ahronoth et Haaretz, ont souligné le nombre croissant de prostituées à Dubaï. Cependant, il est impossible de citer le nombre exact de travailleurs du sexe, car il s’agit principalement de migrants qui cachent leurs activités.

    Selon diverses sources, au moins 45 000 personnes sont impliquées dans la prostitution à Dubaï.

    Auparavant, les meilleures destinations pour le tourisme sexuel s’appelaient Thaïlande, Rio de Janeiro, les îles Canaries, la République dominicaine et les Philippines.

    Varietyinfo, 24 mars 2021

    Etiquettes : Emirats Arabes Unis, Dubaï, Abu Dhabi, prostitution, tourisme sexuel,

  • Dubaï, capitale du tourisme…sexuel

    Dubaï. Il suffit d’évoquer ce nom pour songer directement au shopping de luxe, à son architecture ultramoderne et sa vie nocturne animée.

    La Burj Khalifa, tour de 830 mètres de haut, domine le paysage urbain parsemé de gratte-ciel. À son pied, la fontaine de Dubaï présente des jets et des lumières synchronisées avec de la musique.

    Dans une ville où même les forces de police patrouillent en Lamborghini, il n’est pas rare de croiser les voitures les plus rutilantes jamais conçue jusque là. Le tout a offert à Dubaï, un cachet particulier. La normalisation des Emirats arabes unis de ses relations avec l’entité sioniste également.

    En effet, Dubaï, est contrairement à l’image paisible qu’elle offre à ses visiteurs, une capitale d’un autre genre : Le tourisme sexuel. Les Emirats arabes Unis, surclassent ainsi le Royaume du Maroc, où, selon les associations et les ONG sur place, le tourisme sexuel se serait considérablement développé dans le royaume chérifien ces dernières années.

    « L’émirat de Dubaï est devenu, avec des dizaines de milliers de prostituées, la principale destination de tourisme sexuel dans le Golfe », écrit à cet effet le journal français, le Monde dans sa livraison de ce 21 mars.

    Il a, dans le même contexte, relevé que le traité de paix signé entre Israël et les Emirats arabes unis, en septembre dernier, s’est très vite accompagné de l’ouverture de liaisons aériennes directes entre les deux pays.

    Plus de cent mille touristes israéliens ont d’ores et déjà visité Dubaï, où l’hospitalité démonstrative à leur égard contraste avec la « paix froide » réservée jusque-là aux visiteurs israéliens en Jordanie et en Egypte. Mais la presse israélienne a aussi consacré plusieurs reportages à scandale à des formes de tourisme sexuel.

    Le quotidien « Yedioth Aharonoth » a ainsi décrit de véritables catalogues de prostituées, avec les transactions qui peuvent en découler autour de la piscine d’un grand hôtel.

    Le site en ligne « Mako » s’est pour sa part intéressé à la reconversion de mafieux israéliens dans des « agences d’escorte » à Dubaï, tout en reproduisant, en captures d’écran, des échanges relevant du proxénétisme.

    Le quotidien « Haaretz » a même publié une tribune intitulée « Visiter Dubaï équivaut à se tenir au bord d’un viol collectif ».

    Les défenseurs de la normalisation israélo-émiratie ont protesté contre de telles outrances et relativisé l’importance des témoignages rapportés, sans représentativité à leurs yeux.

    Le pari de Dubaï sur son insertion spectaculaire dans la mondialisation a été particulièrement réussi, même après la crise financière de 2008 qui a contraint l’émirat à développer ses activités de service, au premier rang desquels le tourisme », lit-on en effet sur les colonnes du tabloïd.

    Aussi, à Dubaï, la consommation d’alcool est autorisée dans les hôtels, les bars, les restaurants et les night-clubs disposant d’une licence spécifique, même si elle reste interdite dans l’espace public.

    C’est généralement dans de tels lieux que des travailleuses sexuelles racolent le client potentiel, s’accordant avec lui sur le montant, la durée et la nature de la prestation. Il est ainsi possible de s’attacher le service d’une escort-girl durant tout ou partie de son séjour dans l’émirat.

    En chiffres, Le Monde fait état de quelque 45 000 prostituées actives à Dubaï, où le tourisme sexuel est, de manière générale, appelé à se développer encore à Dubaï.

    Cela fait plusieurs années que le rapport annuel du Département d’Etat américain sur les trafics d’êtres humains considère, malgré des remarques encourageantes, que « le gouvernement des Emirats arabes unis ne respecte pas pleinement les standards minimaux pour l’élimination des trafics ».

    La pandémie de coronavirus ne devrait pas affecter cette réalité, bien au contraire. En effet, la campagne menée de manière volontariste aux Emirats a déjà permis de vacciner plus d’un tiers de la population contre le Covid-19.

    Un argument supplémentaire pour les sites spécialisés qui vantent sur Internet les « sales petits secrets » de Dubaï et les charmes des « vacances sexuelles » dans cet émirat…

    La Patrie News, 21 mars 2021

    Tags : Dubaï, Maroc, Prostitution, tourisme sexuel,

  • Maroc : Quand Jack Lang fut accusé de pédophilie

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    JACK LANG ACCUSE DE PEDOPHILIE !

    Jack Lang se retrouve embarqué à son corps défendant dans une sale histoire qui vient ajouter une nouvelle rumeur aux supposées activités pédophiles de l’ancien ministre, dont certaines sont exposées sur le Net depuis des années. Après les sombres histoires du Coral et la mystérieuse exfiltration secrète au Maroc suite à une partouze pédophile ayant mal tourné, c’est un quidam, Emmanuel Verdin, qui accuse maintenant l’ancien ministre d’avoir abusé de sa fille à au moins deux reprises dans les années 2000.

    Depuis quelques jours, une mystérieuse vidéo se répand sur le Net comme une traînée de poudre. On y voit un père, Emmanuel Verdin, tenir de graves propos accusant Jack Lang d’avoir commis des “viols en réunion” sur la petite Laureen, fille d’Emmanuel Verdin, alors âgée de 4 ans, lors de soirées pédophiles organisées sur une péniche parisienne dans les années 1999 et 2000. Outre ces deux soirées, Emmanuel Verdin fait également référence dans son témoignage à des voyages au Maroc et en Thaïlande, où la petite Laureen aurait été convoyée par sa mère et son compagnon de l’époque afin d’être livrée à des désaxés pédocriminels.



    Du lourd, du très, très lourd donc.

    Précisons également que, si l’histoire est sordide, sa fin en est tragique: Laureen est décédée en 2003 des suites d’une “infection”, selon un rapport médical qui n’en précise pas l’origine.

    Depuis lors, Emmanuel Verdin se bat pour faire connaître son affaire et rendre justice à sa fille. Jusqu’à présent, seuls les médias du Net commencent à relayer l’information. Le silence de la presse “respectable” est à ce jour assourdissant. Pas facile sans doute, dans un microcosme journalistique composé à 90% d’électeurs socialistes, de s’intéresser aux casseroles du camarade Jack Lang, vache sacrée de la mitterrandie, surtout après le répugnant déballage de l’affaire DSK.

    Interview exclusive l’Organe !

    Pourtant, les faits sont là. Un journaliste de l’Organe a rencontré Emmanuel Verdin le jeudi 27 novembre dans les jardins de la gare Montparnasse et a réalisé la longue interview vidéo (28 minutes) ci-dessous, relayée aujourd’hui par de nombreux sites. A ceux qui accuseraient Verdin d’être un mytho, nous confirmons d’emblée avoir vu l’original du récépissé de plainte transmis par le procureur, ainsi que l’extrait de naissance et de décès de la petite Laureen. Surtout, dans son récit, Emmanuel Verdin cite de nombreux témoins ayant assisté et participé à ces supposées soirées pédophiles en compagnie de l’ancien ministre. Il affirme connaître l’identité de ces témoins et être prêt à les fournir à la police et à la justice. Ne manque donc plus qu’une enquête préliminaire soit ouverte, qu’Emmanuel Verdin soit entendu… et que la justice se mette au travail pour tenter d’établir la vérité.



    Convoqué à la gendarmerie le 8 novembre… et défendu par maÎtre Jacques Trémolet de Villers.

    Il semble que les choses soient aujourd’hui en bonne voie puisque monsieur Verdin vient de recevoir une convocation à la gendarmerie, où il sera entendu le mardi 8 novembre.

    Autre nouveauté dans cette affaire: le jeudi 15 décembre, maître Jacques Trémolet de Villers nous informe qu’il accepte officiellement d’assurer la défense d’Emmanuel Verdin.

    Bien sûr, comme souvent au démarrage d’affaires pédocriminelles, les preuves directes (photos, vidéos, CD/DVDs, traces, témoignages à visage découvert…) manquent, et les détracteurs d’Emmanuel Verdin auront beau jeu de crier à la rumeur et à la manipulation. Il appartient donc à l’instruction judiciaire de retrouver les témoins directs des faits dont il parle… et en l’occurrence ceux-ci semblent ne pas manquer.

    Laissons la parole à Emmanuel Verdin:

    Partouzes pédos pour bobos gauchos à QQ Coral

    Claude Sigala et ses potes babas-cool du Coral militaient, entre autre, pour l’abaissement de la majorité sexuelle.
    Claude Sigala et ses potes babas-cool du Coral militaient, entre autre, pour l’abaissement de la majorité sexuelle.

    Alors, rumeur, intox, manipulation, mythomanie ou pas, espérons que la justice tranchera. En attendant, on ne prête qu’aux riches, et en matière de soupçons de pédophilie, il faut constater que Jack Lang est multimillionnaire: son nom est cité des dizaines de fois dans de multiples affaires déballées sur tout l’internet depuis des années, et il est vrai que les faits et témoignages rapportés dans certains dossiers ont de quoi troubler.



    L’affaire la plus célèbre remonte à 1982. C’est celle dite du “Coral”, un foyer pour jeunes handicapés basé à Aimargues, dans le Gard. A cette époque où l’idéologie soixanthuitarde tenait lieu de tables de la loi, les intellectuels militaient volontiers pour l’abaissement de l’âge de la majorité sexuelle. C’est dans ce contexte que le Coral recevait la visite notoire de nombreuses personnalités parmi lesquelles, outre Jack Lang, le philosphe René Schérer, l’écrivain Gabriel Matzneff, Frédéric Mittérrand… ainsi qu’un juge pour enfants du tribunal de Bobigny, aujourd’hui toujours en poste bien que des photos de lui en train de masturber un enfant de 11 ans aient été découvertes ! Au total, près de 340 personnalités (hommes politiques, artistes, journalistes, magistrats, policiers, prêtres…) auraient été impliquées de près ou de loin dans l’affaire Coral, dont on découvre par ailleurs aujourd’hui qu’elle a des ramifications avec d’autres affaires de pédocriminalité célèbres (Zandwoort, Dutroux, école en bateau…).

    Sur le plan judiciaire, l’affaire Coral est un vaste déni de justice. Bien que de nombreuses photos d’activités pédocriminelles aient été saisies, et que de nombreux témoins aient affirmé avoir assisté à des scènes pédocriminelles au Coral, seuls une poignée de lampistes (dont le directeur du Coral, Claude Sigala) seront au final condamnés, en mars 1987, à quelques légères peines de prison, toutes assorties de sursis curieusement clément. Des peines ridicules au regard des faits, du nombre de personnes impliquées, et du scandale énorme que l’affaire avait provoqué à l’époque.

    Il faut dire que, en 1982, nous sommes en pleine euphorie post élection mitterrandienne, et que le pouvoir voit naturellement d’un très mauvais oeil l’implication dans ce scandale de hautes personnalités, d’autant que la plupart des mis en cause affichent des sympathies socialistes. De là à envisager un étouffement volontaire de l’affaire par le pouvoir et ses serviteurs, le pas est d’autant plus vite franchi que des témoignages précis sont apparus sur cette affaire au fil des années:



    Rumeurs en série depuis des années

    – En 1997, le capitaine Paul Barril, subordonné du Commandant Prouteau, créateur de la cellule anti-terroriste de l’Elysée, déclare: « Je me rappelle qu’on nous avait alerté pour stopper l’enquête sur le réseau pédophile « Coral » à cause des personnalités mises en cause. »

    – Une vidéo montrant Roger Holleindre accuser très violemment Jack Lang d’actes pédocriminels est diffusée et répliquée sur Internet par de nombreux internautes depuis des mois.

    – Le 22/09/2005, l’Express publie un article sur la vie privée de Jack Lang faisant état de nombreuses rumeurs sur sa supposée pédophilie, basée sur des “blancs” des Renseignements Généraux.

    – Au cours de l’émission « Les Grandes Gueules », diffusée sur RMC les 27/11/2008 et 09/09/2009, Yves Bertrand, ancien patron des Renseignements Généraux, évoque “un ministre soupçonné de pédophilie dans les années 80. Celui-ci n’aurait jamais été inquiété”. Dans l’original manuscrit de ses Carnets, Yves Bertrand cite également nommément Jack Lang comme étant le ministre pris dans une partouze pédophile au palace La Mamounia, à Marrakech (Maroc) et ayant été exfiltré discrètement sur ordre de l’Elysée.

    – En mai 2011, en pleine affaire DSK, Luc Ferry lâche sur le plateau du Grand Journal (Canal +) la bombe verbale qui lui a valu les foudres de toute la bien-pensance journalistico-politique: un “ancien ministre qui s’est fait poisser à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons (…) Probablement nous savons tous ici de qui il s’agit. (…) Je sais, je pense que je ne suis pas le seul (…) L’affaire m’a été racontée par les plus hautes autorités de l’Etat”. Les faits et les dates des évènements étant identiques dans leurs récits, on peut imaginer que Luc Ferry et Yves Bertrand parlaient de la même personne. A noter aussi, dans cette même émission, le jeu de mots prononcé à mi-voix par Alain Duhamel, accusant Luc Ferry d’être “Mauvaise Lang”.

    – Ni Bertrand ni Ferry ne lâchent le nom à l’antenne, mais Arrêt sur images le fait sur son site dans un article daté du 31/05/2011.

    – … et n’oublions pas les lyriques et imprudents propos de Jack Lang lui-même, confiés au magazine Gay Pied le 31/01/1991: “La sexualité puérile est encore un continent interdit. Aux découvreurs du 21ème siècle d’en explorer les rivages.”

    Bien entendu, à chacun maintenant de se faire son opinion sur cette nouvelle “affaire” éclaboussant Jack Lang. Peut-être que le témoignage d’Emmanuel Verdin ne fait qu’ajouter la rumeur à la rumeur. Peut-être que les témoins qu’il cite n’existent que dans son imagination. Peut-ês tre aussi, si ce n’est pas son imagination, que ces témoins indispensables à la manifestation de la vérité ne voudront pas parler. Peut-être. C’est possible, car chacun sait qu’on ne s’attaque pas à un personnage aussi puissant sans courir de grands risques.

    Mais peut-être pas. Alors, pour le savoir, répétons qu’il convient désormais simplement que la justice fasse son travail.

    Je n’ai plus (du tout) confiance en la justice de mon pays !

    Aucune haute personnalité pédophile n’a jamais été condamnée en France !

    Aucune haute personnalité pédophile n’a jamais été condamnée en France !

    Le problème est que, en matière d’instruction des affaires pédocriminelles, les citoyens n’ont aujourd’hui plus aucune confiance en “la justice de leur pays”. Trop d’affaires de ce type ont jusque là été étouffées. Trop de pièces à conviction ont mystérieusement disparu dans les bureaux mêmes des juges d’instruction. Trop de témoins importants se sont curieusement évaporés, disparus corps et biens quand ils ne se sont pas suicidés… parfois de plusieurs balles dans la tête.

    Mais, aujourd’hui, les choses sont différentes. Car l’époque a changé. Internet est arrivé. L’information alternative, dérangeante, subversive, peut se diffuser et trouver une audience. Les “grands” médias ne sont plus les seuls à diffuser une information monopolistique que l’on est prié de gober bien sagement sans la remettre en question. Ce sont des citoyens du Net, organisés en un comité de soutien informel à Emmanuel Verdin, qui se sont les premiers emparés de l’affaire. Ce sont eux qui ont contribué à la médiatiser de blogs en sites de partage de vidéo, et à lui donner l’importance qu’elle mérite pendant que les médias mainstream continuent de faire la sourde oreille.



    Justice, police, médias: les citoyens du Net ont l’oeil sur vous !

    Ces citoyens du Net, eux, en revanche et à la différence des médias institutionnels, sont libres, divers, curieux, indépendants, hermétiques aux pressions… et obstinés. Ecoeurés, scandalisés, révoltés aussi de constater qu’aucune affaire de pédocriminalité ayant impliqué des personnalités n’a jamais abouti, dans notre pays, à la moindre condamnation de l’une d’entre elles. Mieux, ils sont convaincus que le pouvoir et la justice ont toujours tout fait pour protéger et couvrir ces puissants désaxés.

    Or, ces dénis de justice multiples en ce qui concerne ces affaires confinent au crime puisque les spécialistes et experts en criminologie savent que tous les criminels sexuels (pédophiles, violeurs, tueurs en série…) ont tous, sans aucune exception, été eux-mêmes victimes d’abus sexuels dans leur enfance. Les pédocriminels ne font donc en réalité – au delà des sophismes libertaires énoncés par certains pédomanes mondains pour justifier leurs vices – que perpétuer le cercle infernal de la criminalité sexuelle, et c’est bien pour cela que la société doit s’en protéger.

    Aujourd’hui, dans ce climat pré-apocalyptique qui plane sur notre pays rongé par les affaires en tous genres, l’argent-roi et la corruption, ces citoyens du Net estiment que, en matière de pédocriminalité comme ailleurs, le temps du grand nettoyage est venu. Ils ont décidé de se lever et de combattre avec leurs armes – le Net en premier lieu, mais aussi leurs ordinateurs et leurs caméras – contre les puissants corrupteurs d’enfants. Ils veulent croire, cette fois, en la possibilité d’une enquête précise et complète, menée par des enquêteurs et magistrats honnêtes et intègres, soucieux du bien public plutôt que de la protection de leurs amis de partouzes.

    Ces citoyens du Net, le pouvoir comme la justice auront désormais beaucoup de mal à les faire taire. En tout cas, ils veilleront à maintenir la pression jusqu’à ce que la Vérité – et la Justice – soient faites, sur cette affaire comme sur d’autres de même nature qui pourraient survenir. Ne serait-ce que par respect pour la mémoire d’une petite fille qui, du fond de sa tombe dans un cimetière de la Roche-sur-Yon, réclame de comprendre pourquoi elle est morte.



    Vendredi 4 Novembre 2011

    John-Paul Le Poulpe

    Source : L’organe

    Tags : Maroc, Jack Lang, pédophilie, tourisme sexuel, viol, partouze, Marrakech, Tags : Maroc, pédophilie, pédocriminalité, viols, abus, sexe, mineurs, Yves Saint Laurent, Pierre Bergé, Luc Ferry, Majorelle, Makhzen,