Étiquette : trafic de drogue

  • Il jetait du haschich de Melilla au Maroc par-dessus la clôture métallique

    Arrêté un mineur sous tutelle qui jetait de la drogue de Melilla au Maroc par la double clôture

    La Garde civile a arrêté à Melilla un mineur sous tutelle dans le centre d’accueil alors qu’il aurait jeté des paquets de drogue de la ville espagnole vers le Maroc à travers la double clôture de six mètres de haut chacune, une pratique qui s’est répandue après la fermeture de la frontière depuis mars 2020 par la crise du coronavirus.

    La Garde civile a arrêté à Melilla un mineur sous tutelle dans le centre d’accueil alors qu’il aurait jeté des paquets de drogue de la ville espagnole vers le Maroc à travers la double clôture de six mètres de haut chacune, une pratique qui s’est répandue après la fermeture de la frontière depuis mars 2020 par la crise du coronavirus.

    Selon un porte-parole du commandement de Melilla, l’intervention a eu lieu après que le contrôle frontalier qui surveille les neuf kilomètres de distance de la double clôture « a noté le lancement de paquets dans la zone de Chinatown, attirant l’attention de l’une des patrouilles agissant, un jeune homme qui errait dans les environs du poste frontière ».

    La source susmentionnée a expliqué que « le jeune homme, alors qu’il quittait les lieux, a fait le geste de cacher quelque chose avec une veste qu’il portait et après son identification, un paquet contenant trois comprimés de haschisch pesant environ 300 grammes a été trouvé à l’intérieur du vêtement ».

    Le détenu est un mineur de 17 ans, de nationalité marocaine et résidant dans le centre d’accueil de ‘La Purisima’, qui a été mis à la disposition du Bureau du Procureur pour les mineurs pour la commission présumée d’un crime de trafic de drogue.

    Enfin, il a souligné que les dispositifs déployés au cours du week-end le long de la clôture frontalière dans le cadre de la lutte contre le trafic de drogue ont donné lieu à cinq autres actions, procédant à la saisie d’un total de 9 400 grammes de haschisch.

    Teleprensa, 4 avr 2021

    Etiquettes : Espagne, Melilla, Maroc, cannabis, haschich, mineurs, MENA, trafic de drogue, Kif,

  • Genas : Saisie de 568 klg de cannabis au bord d’un camion provenant du Maroc

    Genas : un trafic international de drogue démantelé

    Cinq personnes ont été placées en garde à vue cette semaine après la découverte d’un entrepôt de Genas au centre d’un trafic international de cannabis.

    Selon les informations du Progrès, un camion a été intercepté mercredi dans la commune par l’Office anti-stupéfiants (OFAST) de Lyon. Le véhicule transportait pas moins de 568 kilos de résine de cannabis. Près de 100 000 euros ont été saisis après de nombreuses perquisitions.

    Les camions arrivaient du Maroc et passaient ensuite par l’Espagne avant de rejoindre la France. Les centaines de kilos de cannabis étaient ensuite déchargées dans l’entrepôt, avant d’être redistribuées dans la région lyonnaise, mais également en Isère et en Haute-Savoie.

    Tonic Radio, 3 avr 2021

    Etiquettes : France, Lyon, Genas, Maroc, cannabis, trafic de drogue, démantèlement, saisie, haschich,

  • Les terroristes, tous originaires du Maroc, les barons de la drogue aussi

    Le terrorisme et le trafic de drogue en Europe partage la caractéristique d’avoir la même origine : Le Maroc. La raison, c’est le fait qu’ils ont le même commanditeur : Le Makhzen. Ce dernier tire profit des profils financiers et politiques : d’une parte, les milliards d’euros du cannabis et de la cocaïne provenant d’Amérique Latine et dans la base de transit se trouve à Dakhla, au Sahara Occidental; et d’autre part, il s’impose comme partenaire incontournable dans la prétendue lutte contre le terrorisme.

    L’OBS apporte une liste détaillée des plus grands barons de la drogue. Voici le texte intégral de l’article:

    Voici la liste des dix plus gros trafiquants de drogues français

    Ils sont en fuite ou derrière les barreaux. Ils ont chacun leur particularité. Mais ils ont tous un point commun : celui de figurer sur la liste des barons de la drogue les plus puissants de France.

    Depuis 2019, l’office des stups dresse un classement de ses cibles prioritaires, surnommé en interne le « top 25 » des trafiquants de drogue français. Sans doute pour ne pas lui donner un caractère trop prestigieux, ce tableau, classé confidentiel, a été, cette année, sobrement rebaptisé « liste nationale ». Pour intégrer ce cercle restreint des principaux narcos français, les prétendants doivent remplir un certain nombre de critères témoignant de leur puissance et de leur dangerosité : implications dans des règlements de comptes, capacité à se projeter à l’étranger, à corrompre des agents publics, des policiers, des douaniers, moyens logistiques, usage des technologies de dissimulation… Voici les dix plus gros trafiquants de cette liste (1) .

    Moufide Bouchibi

    Surnoms : « Poto », « Mouf », « Karim », « le Parisien ».

    Age : 41 ans.

    Originaire de l’Essonne.

    Particularités : Ex-associé puis rival de Sophiane Hambli – l’ancien trafiquant numéro 1 devenu le principal informateur de l’office des stups –, il a dû quitter le Maroc après une série de règlements de comptes en 2013. En contact direct avec les producteurs, il est considéré comme le principal exportateur de résine de cannabis en France (il enverrait 50 tonnes par mois selon les estimations des policiers).

    Situation : Condamné à vingt ans de prison par le tribunal de Bordeaux en 2015, il vient d’être arrêté à Dubaï.

    Reda Abakrim

    Surnoms : « Turbo », « Mourad de Poissy ».

    Age : 38 ans.

    Originaire de Poissy.

    Particularité : En juin 2020, défendu par Eric Dupond-Moretti, il a été condamné à vingt ans de prison en son absence dans une affaire d’enlèvement et de meurtre.

    Situation : En cavale depuis 2007, il a été arrêté le 22 décembre à l’aéroport de Casablanca alors qu’il descendait, sous une fausse identité, d’un avion en provenance de Dubaï.

    Nordine D.

    Surnoms : « Mac Do », « Monsieur N. ».

    Particularité : Jamais condamné pour trafic de stupéfiants, il ne ferait actuellement l’objet d’aucune mise en examen. Selon des sources policières, il aurait récupéré une partie de la clientèle de Djamel Talhi, dit « James Dean », un ancien associé d’Hambli devenu le numéro 2 du trafic derrière Moufide Bouchibi avant d’être arrêté en 2014. Selon le dossier judiciaire, une partie de la marchandise retrouvée lors de la fameuse saisie des Douanes effectuée boulevard Exelmans, Paris 16e, en octobre 2015, lui appartiendrait.

    Situation : Il naviguerait entre l’Espagne, le Maroc, l’Algérie et Dubaï.

    « Ben de Trappes »

    Originaire de Trappes.

    Particularité : Selon une anecdote racontée par Claire Andrieux dans son livre « la Guerre de l’ombre », ce trafiquant de haut vol aurait réussi à importer de grandes quantités de cannabis au Danemark via des camping-cars.

    Situation : Il a été arrêté en France en 2018 dans une affaire d’usurpation d’identité. Il a, depuis lors, pris la fuite et serait possiblement au Maroc.

    Bouchaïb El Kacimi

    Surnoms : « Bouch de Dreux », « R8 ».

    Originaire de Dreux.

    Particularité : En 2014, ce Franco-Marocain a été considéré comme le responsable d’un vaste réseau d’importation de résine de cannabis et condamné à vingt ans de prison. La drogue était stockée dans une ferme d’Eure-et-Loir. D’après un cahier de comptes retrouvé sur place, son équipe avait organisé pas moins de 45 go-fasts depuis l’Espagne en quatorze mois pour importer 50 tonnes de cannabis.

    Situation : En fuite, possiblement au Maroc.

    Kevin Doure

    Surnoms : « El Negro », « Cali », « le Pablo Escobar français »

    Age : 36 ans

    Originaire de Martinique

    Particularité : Lors d’un premier séjour en prison, il noue des relations avec des « Vénez », surnom donné en Martinique aux Vénézuéliens installés sur l’île, représentants des plus gros narcos sud-américains. Au faîte de sa gloire, on estime qu’il expédiait une tonne de cocaïne par mois. Incarcéré depuis 2013, son réseau continuerait ses affaires malgré son incarcération.

    Situation : En prison

    Rachid El M.

    Surnoms : « Le Chinois »

    Age : 45 ans

    Originaire de Strasbourg.

    Particularité : Proche de Moufide Bouchibi depuis de longues années, il serait l’un des principaux fournisseurs de cannabis de l’Est de la France. Il disposerait de contacts privilégiés chez les producteurs marocains. Il a été condamné à une peine de sept ans de prison en 2017.

    Situation : En fuite.

    Nasserdine et Abdelrani T.

    Surnoms : « Tic et Tac » , « les Jumeaux ».

    Age : 43 ans.

    Originaires de Marseille.

    Particularité : Ces deux frères, condamnés par le passé pour des affaires de vols, approvisionneraient la région de Marseille en résine de cannabis.

    Situation : Ils ne feraient actuellement pas l’objet de mandats de recherche et seraient installés depuis de longues années dans la région de Malaga, dans le sud de l’Espagne.

    Younès L.

    Surnoms : « le Nantais », « le Grand ».

    Age : 40 ans.

    Originaire de Nantes.

    Particularité : Appartenant à une famille bien connue de la PJ nantaise, ce Franco-Marocain né à Meknès est considéré comme le principal pourvoyeur en résine de cannabis du Grand Ouest. Connu pour des faits de vol commis dès l’âge de 15 ans, il n’a jamais été condamné pour trafic de stupéfiants à ce jour.

    Situation : Possiblement au Maroc.

    Ali et Messaoud Bouchareb

    Surnoms : « Ryan » pour Ali

    Age : 50 ans et 41 ans

    Originaires de Saint-Etienne

    Particularité : Ancien braqueur, Ali est considéré comme le cerveau de l’affaire « Air Cocaïne ». En 2014, il est arrêté en Espagne lors du déchargement de 400 kg de poudre blanche, cachée dans une cargaison de poissons surgelés. Il sera mystérieusement relâché avant d’être de nouveau interpellé deux ans plus tard sur une autoroute française.

    Situation : En prison pour Ali, condamné en 2018 à une peine de dix-huit ans de détention dans l’affaire « Air Cocaïne ». Son frère, Messaoud,, a été arrêté en décembre dernier après plus de dix ans de cavale alors qu’il remontait d’Espagne vers la France pour voir sa famille.

    (1) Liste reconstituée à partir de sources policières, judiciaires et documentaires : « La guerre de l’ombre, le livre noir du trafic de drogue en France », de Claire Andrieux (Denoël)

    L’OBS, 28 mars 2021

    Etiquettes : Maroc, Makhzen, trafic de drogue, cannabis, cocaïne, terrorisme, lutte antiterroriste,

  • Trafic de drogue : Le Consulat du Maroc au Sénégal met fin à la cavale de Massoukha Mbengue

    Depuis cette histoire, le consulat du Maroc au Sénégal a mis en branle ses agents pour mettre la main sur le trafiquant. Il vient d’être arrêter par le consulat du Sénégal et remis aux policiers Marocains.

    Il a été à Aghadir (Maroc).Pour rappel Massoukha Mbengue avait remis un colis contenant de la drogue à une étudiante âgée de 22 ans qui quittait Casablanca pour Dakar. Fatou Kiné Ndiaye est en garde à vue. Nous y reviendrons!

    Depuis cette histoire, le consulat du Maroc au Sénégal a mis en branle ses agents pour mettre la main sur le trafiquant. Il vient d’être arrêter par le consulat du Sénégal et remis aux policiers Maroc;

    Leral.net, 23 mars 2021

    Tags : Maroc, Sénégal, trafic de drogue,

  • Que cache la révélation de l’Obs sur ‘‘Mouf, cet insaisissable roi du shit’’, qui se réfugierait en Algérie?

    L’affaire de « Mouf, l’insaisissable roi du shit », révélée par l’hebdomadaire français, L’Obs dans sa version électronique et reprise par des sites d’information algériens, a créé de l’agitation dans le milieu médiatique algérien, en attendant son impact sur les cercles officiels. L’homme qui « ferait entrer entre 40 et 50 tonnes de shit chaque année en France, sans parler de la Belgique et de l’Italie est en fuite en Algérie », selon la publication parisienne.

    « Ce que l’on connaît de sa vie est un roman noir : meurtres, enlèvements, trahisons et grosses cylindrées », détaille L’Obs en traçant les grandes lignes du portrait d’un narcotrafiquant de grosse pointure, qui fait circuler annuellement quelques 70 millions d’euros grâce à une « logistique d’envergure internationale », et qui se trouverait en Algérie, où parait-il, il a de la famille. Un itinéraire digne d’Escobar, à l’issue duquel, « Mouf » est passé du statut de simple trafiquant à celui de patron parmi les patrons de l’immense industrie du haschich, en toute sérénité, même si ça été entrecoupé par une incarcération de 4 ans.

    Condamné en 2004 à 8 ans de réclusion criminelle, il est libéré en 2008 et reprend son activité, en renforçant son réseau transméditerranéen sans le moindre problème ! Fut-elle un scoop, l’information ressemble ou a l’air d’une fuite organisée. Sauf si elle est destinée à influencer la scène maghrébine, marquée d’un côté par la légalisation au Maroc de l’usage thérapeutique du cannabis et une guerre sans merci déclarée aux barons des stupéfiants en Algérie. Le tout dans un contexte de ni guerre ni paix. Dans quel sens et pour quel objectif ?

    Donner une réponse est encore prématuré, mais les autorités à Alger possèdent assurément tous les éléments leur permettant de décoder le message. Que cache cette affaire, qui n’a pas du tout l’air d’un trafic sordide ? Pour qu’elle ait le privilège d’être mise en avant par le magazine français où ont collaboré de nombreuses personnalités politiques françaises, dont Jacques Delors, il faudrait qu’elle soit porteuse de prévisions.

    La médiatisation de « Mouf » n’est pas innocente, du moins sous l’angle «politico-politique ». Un puissant baron de la drogue, tel que présenté par L’Obs, n’aurait jamais existé, s’il n’agissait pas au sein d’une ramification hyper-protégée, en France, au Maroc et en Algérie principalement. On n’est pas devant une histoire de self made man, mais d’un « phénomène » monté de toutes pièces, que l’on s’apprête aujourd’hui à démanteler. Au profit de qui et dans le cadre de quelle stratégie ? Toute la question est là. Quels sont ses rapports avec les barons locaux ?

    Quoi qu’il en soit, l’affaire de « Mouf, l’insaisissable roi du shit », n’est pas anodine. L’écran est encore noir, mais quand il sera éclairé, on verra des pyramides s’affaisser comme de vulgaires châteaux de cartes. Un feuilleton en perspective, si tout fonctionne selon les prévisions des scénaristes.

    Mohamed M.

    L’Est Républicain, 22 mars 2021

    Tags : Algérie, France, Maroc, Mouf, roi du shit, cannabis, haschich, trafic de drogue, Moufide Bouchibi,

  • Trafic de drogue et traite des êtres humains au Sahara Occidental : Le Conseil de sécurité informé de la responsabilité du Maroc

    Le représentant du Front Polisario auprès des Nations unies, Sidi Mohamed Omar, a de nouveau appelé le Conseil de sécurité de l’ONU à tenir le Maroc pour responsable de son rôle dans le trafic de drogue et la traite d’êtres humains au Sahara occidental occupé, et avertit que la paix et la sécurité « sont de plus en plus menacées » dans la région en raison de ces pratiques.

    « La paix et la sécurité dans notre région sont de plus en plus menacées par le lien entre le crime organisé, le trafic de drogue et le terrorisme où les groupes terroristes transnationaux prospèrent grâce au cannabis produit par le Maroc et à d’autres drogues comme source majeure de financement de leurs opérations terroristes dans la région sahélienne du Sahara et au-delà », avertit Sidi Omar dans une lettre adressée mardi à la présidente en exercice du Conseil de sécurité, la représentante permanente du Royaume-Uni auprès de l’ONU, l’ambassadrice Barbara Woodward. « Nous demandons, une fois de plus, au Conseil de sécurité de tenir l’occupant marocain pour responsable de son rôle bien documenté dans le trafic de drogue et de le contraindre à respecter ses engagements régionaux et internationaux et à renoncer à ses actions déstabilisatrices qui menacent la sécurité et la stabilité des pays voisins et de toute la région », souligne le diplomate sahraoui qui appelle l’ambassadrice britannique à « porter la présente lettre à l’attention des membres du Conseil de sécurité ». 
    Dans cette lettre, M. Sidi Omar informe le Conseil de sécurité « qu’une unité de l’armée sahraouie a intercepté et saisi 200 kilogrammes de cannabis produit au Maroc dans la région de Galb Thliem dans le secteur Dougy dans les territoires libérés du Sahara occidental ». Il précise que les drogues, qui étaient transportées à travers le mur illégal marocain, ont été détruites le 18 février en présence d’un représentant du parquet sahraoui et souligne que cette opération « fait partie des opérations de lutte contre le trafic de drogue menées par l’armée sahraouie à travers les territoires sahraouis libérés où de grandes quantités de cannabis, produit par le Maroc et d’autres drogues, ont été interceptées et détruites à plusieurs reprises. M. Sidi Omar précise également dans ce contexte que des observateurs militaires des Nations unies et de la Mission de l’ONU pour l`organisation d`un référendum au Sahara occidental (MINURSO) ont assisté à la destruction des drogues saisies. « Conformément à nos obligations en tant qu’État membre de l’Union africaine (UA) et grâce à la coopération croissante avec nos voisins, nous avons activement contribué à freiner le flux illicite de drogues, en particulier de drogues produites au Maroc, dans et à travers notre région », souligne également l’Ambassadeur sahraoui. 
    Il rappelle en outre que depuis le 13 novembre 2020, l’ensemble du territoire du Sahara occidental est devenu « une zone de guerre ouverte » en raison de la grave violation par le Maroc du cessez-le-feu de 1991 et de son acte d’agression sur les territoires libérés du Sahara occidental. À cet effet, M. Sidi Omar déplore le fait que l’inaction des Nations unies face à l’agression marocaine a sapé la crédibilité de l’organisation, l’efficacité et le fonctionnement de sa mission sur le terrain et a encouragé l’occupation marocaine à persister dans ses actions de déstabilisation dans la région ». 
    Le représentant du Front Polisario auprès de l’ONU, rappelle en outre dans sa lettre, que « le Maroc reste le plus grand producteur et exportateur de cannabis au monde », comme le confirment de nombreux rapports internationaux, dont le rapport 2020 sur la stratégie internationale de contrôle des stupéfiants du département d’État américain et le rapport mondial sur les drogues 2020 de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime ».
    Mokhtar Bendib
    Tags : Sahara Occidental, Western Sahara, Maroc, trafic de drogue, cannabis, haschich, migration, traite humaine,
  • Saisie de 16 t de kif traité et 18 kg de cocaïne en provenance du Maroc

    Le Directeur de la répression de la fraude auprès de la direction générale des Douanes algériennes, Arezki Hennad a annoncé la saisie en 2020 de 16 tonnes de kif traité, plus de 1,5 millions de comprimés psychotropes et 18 kg de cocaïne en provenance du Maroc.

    Tags : Maroc, trafic de drogue, cocaïne,
  • Il a envoyé 66.000 euros au Maroc par Western Union- Traficant arrêté à Courtrai

    Belgique : Un traficant cachait l’argent dans une couche

    Un marchand a caché de l’argent dans une couche: deux ans de prison et 45000 euros d’argent de la drogue confisqués

    Un homme de 27 ans, originaire de Courtrai, a été condamné par le tribunal pénal de Courtrai à une peine de prison effective de 24 mois et à une amende de 12 000 euros pour trafic de drogue.
    Le 14 mai, la police a surveillé le domicile de Nourredine El G. à Hovenierstraat à Courtrai.

    Les agents ont vu comment il avait eu de brefs contacts avec les occupants de divers véhicules. Une perquisition à domicile a donné 105 grammes de cocaïne, de poudre blanche et 4 750 euros en espèces. Cet argent était caché dans une couche.

    L’enquête a montré qu’il avait déjà transféré plus de 66 000 euros via Western Union vers son pays d’origine, le Maroc. «Ce n’était pas uniquement de l’argent de la drogue», se défendit encore El G.. Lui-même n’a pas consommé de drogue. Le juge a également confisqué un téléviseur et un vélo.

    Het Laatste Niewus, 6 oct 2020 (traduction non officielle)

    Tags : Belgique, Maroc, trafic de drogue, cocaïne, cannabis, haschich, blanchiment,