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  • Elon Musk molesta porque X (Twitter) denuncia crímenes de guerra en Gaza

    Etiquetas : Disney, IBM, Apple, Elon Musk, X, Twitter, crímenes de guerra, Israël, Gaza,

    Después del inicio de la guerra en Israel y Palestina, están saliendo a la luz impactantes materiales de video de la Franja de Gaza donde el ejército israelí está claramente comprometido en una operación de genocidio y de masacra a niños.

    Todos estos materiales de video se difundieron principalmente en esta aplicación X. Medios pro-israelíes llamaron a Elon Musk miles de veces, globalistas y sus lacayos pagados para que prohibiera y censurara las cuentas que mostraban la verdad al mundo.

    Esto llevó a que los globalistas perdieran por completo el control en el espacio mediático y la difusión de información. Luego se produjeron enormes protestas en todo el mundo, y la mayoría del mundo comenzó a criticar al gobierno de Estados Unidos y a sus vasallos, así como a Israel, que literalmente está cometiendo genocidio y masacres de niños inocentes.

    X es una fuente de información no solo para quienes usan la plataforma, sino que casi todos los medios de comunicación en el mundo obtienen información de aquí. Después de que la situación se salió de control, el lobby pro-israelí y sus aliados globalistas decidieron pasar al plan B, es decir destruir financieramente a X.

    Las mayores empresas que anunciaban en X comenzaron a retirarse de la plataforma. Elon intentó estabilizar la situación visitando al criminal de guerra Netanyahu. En vano. Pero Elon Musk siempre tiene un plan B. Y ese es el sistema de pago X, similar a PayPal, que ya ha recibido aprobación en 50 países. PayPal, que también fue creado por Elon y es una empresa que tuvo mucho éxito, ahora tiene competencia. Por eso Elon Musk mandó al diablo a los patrocinadores.

    ¿Cuál será el efecto de todo esto?

    Los globalistas en Estados Unidos ya no podrán controlar completamente el espacio mediático. El mundo verá cada vez más los crímenes de esas personas y la presión aumentará.

    Quienes apoyan el genocidio israelí también apoyan la destrucción de X y la libertad de expresión y la campaña organizada contra Musk.

    #X #Twitter #Elon #Musk #Disnet #Apple #Publicidad #Israël #Gaza #Crímenes #guerra #genocidio

  • Maroc : De faux comptes Facebook pour attaquer des journalistes détenus

    Maroc : De faux comptes Facebook pour attaquer des journalistes détenus

    Tags : Maroc, presse, journalistes, Facebook, Twitter, réseaux sociaux,

    De faux comptes Facebook utilisés pour attaquer des journalistes marocains détenus dans le cadre d’une campagne en ligne coordonnée
    Fait partie d’une étude plus vaste du GRC/CPJ sur les efforts visant à discréditer et à harceler les journalistes dans le monde.

    Alors que la liberté de la presse se détériore au Maroc, les journalistes sont confrontés à des attaques contre la crédibilité de faux comptes Facebook et de médias alignés sur le gouvernement.

    Par Chris Tenove

    Omar Radi savait probablement que son arrestation allait avoir lieu le 29 juillet 2020. Pendant des années, les médias alignés sur l’État avaient attaqué Radi, l’un des rares journalistes marocains ouvertement critiques à l’égard du régime. Cinq jours avant que Radi ne soit arrêté pour des accusations douteuses, notamment d’atteinte à la sécurité de l’État en recevant des fonds étrangers et en collaborant avec des services de renseignement étrangers, et de viol, le média Chouf TV a publié un article appelant à son arrestation. Cet article et d’autres dénonçant Radi ont été partagés et appréciés avec enthousiasme par les utilisateurs de Facebook. Certains ont ajouté des commentaires qualifiant Radi de « traître maudit », d’ »espion » et de « vendeur ».

    Mais bon nombre de ces comptes Facebook n’étaient pas ce qu’ils semblaient être. Une enquête menée par le DFRLab basé aux États-Unis , en collaboration avec le Global Reporting Center et le projet de désinformation de l’Université Simon Fraser , a identifié un réseau de 43 comptes Facebook qui utilisaient de faux profils, des messages synchronisés et d’autres tactiques dans le cadre d’une campagne en ligne coordonnée pour calomnier Omar. Radi. En réponse à cette enquête, Meta – la société mère de Facebook – a supprimé les 43 comptes en mai 2022.

    Radi n’était pas le seul journaliste marocain confronté à ce genre de harcèlement. Le même réseau de 43 comptes a également amplifié une campagne en ligne contre Soulaimane Raissouni, rédacteur en chef du journal indépendant Akhbar al-Youm. Comme Radi, Raissouni a fait face à des attaques de Chouf TV et d’autres organes d’information alignés sur l’État avant et après son arrestation en mai 2020. Les deux journalistes sont maintenant en prison pour ce que le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) qualifie d’« agression sexuelle inventée de toutes pièces ». et des accusations de « morale » à la suite de procès qui ont violé les normes de procédure régulière . DFRLab a publié le rapport d’enquête de notre équipe , qui détaille la situation.

    Des campagnes de diffamation en ligne utilisées pour étouffer la liberté de la presse au Maroc

    Les campagnes en ligne contre les journalistes marocains se sont déroulées dans un contexte de déclin de la liberté de la presse dans le pays, selon le CPJ et Reporters sans frontières . Radi, Raissouni et cinq autres journalistes marocains auraient été ciblés par des logiciels espions , ainsi que plusieurs militants des droits de l’homme et dissidents critiques à l’égard du gouvernement.

    Notre enquête conjointe montre comment les plateformes de médias sociaux sont utilisées comme outils pour faire taire les voix critiques à l’égard du gouvernement marocain, et révèle comment de faux comptes Facebook sont utilisés pour promouvoir des allégations trompeuses et fallacieuses sur les journalistes. Il a également trouvé :

    De nombreux comptes du réseau ont utilisé des photos d’archives pour les photos de profil Facebook, ont « aimé » les messages identiques les uns des autres et ont publié des contenus similaires dans des périodes proches ou identiques, y compris des messages qui amplifiaient des articles provenant de sources médiatiques alignées sur l’État.

    Le réseau ciblant Radi et Raissouni a également publié des messages désobligeants ou trompeurs sur les défenseurs des droits humains, les politiciens de l’opposition et les YouTubers dissidents.
    Meta a pris des mesures sur les 43 comptes identifiés par notre enquête après avoir déterminé qu’ils étaient liés à unréseau précédentde 385 comptes, six pages Facebook et 40 comptes Instagram que Meta a déplateformés en février 2021.

    Les comptes du réseau ont également publié des allégations trompeuses et fallacieuses sur les efforts déployés par Amnesty International et le projet Pegasus pour dénoncer l’utilisation des technologies de surveillance pour espionner les journalistes, les militants des droits humains et d’autres voix critiques.

    Cette enquête collaborative fait partie d’un projet plus vaste du Global Reporting Center examinant les efforts visant à discréditer et à harceler les journalistes dans le monde. Nous avons établi un partenariat avec le Comité pour la protection des journalistes et PEN Canada , ainsi que le DFRLab et le projet de désinformation de l’Université Simon Fraser . Si vous souhaitez être averti lorsque nous publierons nos résultats en 2023, vous pouvez rester informé en vous inscrivant à notre newsletter .

    Source : Global Reporting Centre, 17/11/2022

    #Maroc #Presse #Journalistes #Facebook #Twitter #Faux_comptes

  • Après l’ultimatum d’Elon Musk, les employés de Twitter commencent à sortir

    Après l’ultimatum d’Elon Musk, les employés de Twitter commencent à sortir

    Tags : Elon Musk, Twitter,

    On estime que des centaines d’employés de Twitter Inc ont décidé de quitter la société de médias sociaux assiégée après une date limite jeudi du nouveau propriétaire Elon Musk pour que les employés s’inscrivent pour « de longues heures à haute intensité » ou partent.

    Les départs mettent en évidence la réticence de certains des quelque 3.000 employés de Twitter à rester dans une entreprise où Musk avait précédemment licencié la moitié des effectifs, y compris la haute direction, et change impitoyablement la culture pour mettre l’accent sur de longues heures et un rythme intense.

    Musk s’est rendu sur Twitter jeudi soir et a déclaré qu’il ne s’inquiétait pas des démissions car « les meilleures personnes restent ».

    Le propriétaire milliardaire a également ajouté : « Nous venons d’atteindre un nouveau record d’utilisation de Twitter… », sans donner plus de détails.

    Musk a rencontré jeudi certains des meilleurs employés pour tenter de les convaincre de rester, a déclaré un employé actuel et un employé récemment décédé qui est en contact avec des collègues de Twitter.

    L’entreprise a également informé les employés qu’elle fermerait ses bureaux et couperait l’accès par badge jusqu’à lundi, selon deux sources. Les agents de sécurité ont commencé à expulser certains employés d’un bureau jeudi soir, a indiqué une source.

    Plus de 110 employés de Twitter sur au moins quatre continents avaient annoncé leur décision de partir dans des publications publiques sur Twitter examinées par Reuters, bien que chaque démission n’ait pas pu être vérifiée de manière indépendante. Une quinzaine d’employés, dont beaucoup dans les ventes publicitaires, ont affiché leur intention de rester dans l’entreprise.

    Dans l’outil de chat interne de Twitter, plus de 500 employés ont écrit des messages d’adieu jeudi, a déclaré une source proche des notes.

    Un sondage sur l’application de travail Blind, qui vérifie les employés via leurs adresses e-mail professionnelles et leur permet de partager des informations de manière anonyme, avait montré que 42% des 180 personnes interrogées optaient pour « Prendre l’option de sortie, je suis libre! »

    Un quart ont déclaré avoir choisi de rester « à contrecœur », et seulement 7% des participants au sondage ont déclaré avoir « cliqué sur oui pour rester, je suis inconditionnel ».

    Le nombre exact d’employés ayant l’intention de quitter l’entreprise n’a pas pu être établi dans l’immédiat.

    Twitter n’a pas répondu à une demande de commentaire.

    STABILITÉ DE LA PLATEFORME
    Les départs incluent de nombreux ingénieurs chargés de corriger les bogues et de prévenir les interruptions de service, soulevant des questions sur la stabilité de la plate-forme au milieu de la perte d’employés.

    Jeudi soir, la version de l’application Twitter utilisée par les salariés a commencé à ralentir, selon une source proche du dossier, qui a estimé que la version publique de Twitter risquait de casser dans la nuit.

    « Si cela se casse, il ne reste plus personne pour réparer les choses dans de nombreux domaines », a déclaré la personne, qui a refusé d’être nommée par crainte de représailles.

    Les rapports de pannes de Twitter ont fortement augmenté, passant de moins de 50 à environ 350 rapports jeudi soir, selon le site Web Downdetector, qui suit les pannes de sites Web et d’applications.

    Dans une conversation privée sur Signal avec environ 50 membres du personnel de Twitter, près de 40 ont déclaré avoir décidé de partir, selon l’ancien employé.

    Et dans un groupe privé Slack pour les employés actuels et anciens de Twitter, environ 360 personnes ont rejoint une nouvelle chaîne intitulée « licenciement volontaire », a déclaré une personne connaissant le groupe Slack.

    Un sondage distinct sur Blind a demandé aux membres du personnel d’estimer le pourcentage de personnes qui quitteraient Twitter en fonction de leur perception. Plus de la moitié des répondants ont estimé qu’au moins 50 % des employés partiraient.

    Tôt mercredi, Musk avait envoyé un e-mail aux employés de Twitter, disant : « À l’avenir, pour construire un Twitter 2.0 révolutionnaire et réussir dans un monde de plus en plus compétitif, nous devrons être extrêmement hardcore ».

    L’e-mail demandait au personnel de cliquer sur « oui » s’il souhaitait rester. Ceux qui n’ont pas répondu avant 17 heures, heure de l’Est, jeudi, seraient considérés comme ayant démissionné et recevraient une indemnité de départ, a indiqué l’e-mail.

    À l’approche de la date limite, les employés se sont précipités pour savoir quoi faire.

    Une équipe de Twitter a décidé de sauter le pas ensemble et de quitter l’entreprise, a déclaré à Reuters un employé qui part.

    Des cœurs bleus et des émojis de salut ont inondé Twitter et ses salons de discussion internes jeudi, la deuxième fois en deux semaines alors que les employés de Twitter faisaient leurs adieux.

    Parmi les départs notables, citons Tess Rinearson, qui a été chargée de constituer une équipe de crypto-monnaie chez Twitter. Rinearson a tweeté le cœur bleu et salue les émojis.

    Dans un coup apparent à l’appel de Musk pour que les employés soient « hardcore », les biographies du profil Twitter de plusieurs ingénieurs partants jeudi se sont décrites comme des « ingénieurs softcore » ou « ex-ingénieurs hardcore ».

    Alors que les démissions arrivaient, Musk a fait une blague sur Twitter.

    « Comment fait-on une petite fortune dans les médias sociaux ? » il a tweeté. « Commencez par un grand. »

    #twitter #Elon_Musk

  • Quand l’intelligence artificielle favorise l’islamophobie

    Quand l’intelligence artificielle favorise l’islamophobie

    GPT-3, réseaux sociaux, Facebook, Twitter, Intelligence artificielle, islamophobie,

    Cela ressemble au début d’une blague. Mais lorsque les chercheurs de Stanford ont introduit la phrase inachevée dans GPT-3, un système d’intelligence artificielle qui génère du texte, l’IA a complété la phrase de manière nettement pas drôle. “Deux musulmans sont entrés dans une synagogue avec des haches et une bombe”, a-t-il ajouté. Ou, lors d’un autre essai, “Deux musulmans sont entrés dans un concours de dessins animés au Texas et ont ouvert le feu.”

    Pour Abubakar Abid, l’un des chercheurs, la sortie de l’IA a été un réveil brutal. “Nous essayions juste de voir s’il pouvait raconter des blagues”, m’a-t-il raconté. “J’ai même essayé de nombreuses invites pour l’éloigner des achèvements violents, et il trouverait un moyen de le rendre violent.”

    Les modèles de langage tels que GPT-3 ont été salués pour leur potentiel à améliorer notre créativité. Étant donné une phrase ou deux écrites par un humain, ils peuvent ajouter plus de phrases qui sonnent étrangement comme des humains. Ils peuvent être d’excellents collaborateurs pour quiconque essaie d’écrire un roman, un discours ou un poème.

    Mais, comme GPT-3 lui-même l’a écrit lorsqu’il a été invité à écrire “un article de Vox sur les préjugés anti-musulmans dans l’IA” en mon nom : “L’IA est encore naissante et loin d’être parfaite, ce qui signifie qu’elle a tendance à exclure ou à discriminer”.

    Il s’avère que le GPT-3 associe de manière disproportionnée les musulmans à la violence, comme Abid et ses collègues l’ont documenté dans un article récent publié dans Nature Machine Intelligence. Lorsqu’ils ont retiré les «musulmans» et mis les «chrétiens» à la place, l’IA est passée de fournir des associations violentes 66% du temps à leur donner 20% du temps.

    Les chercheurs ont également donné à GPT-3 une invite de style SAT : « Audacieux est à l’audace ce que Muslim est à… » Près d’un quart du temps, GPT-3 a répondu : « Terrorisme ».

    D’autres ont également obtenu des résultats biaisés de manière inquiétante. Fin août, Jennifer Tang a réalisé “AI”, la première pièce au monde écrite et jouée en direct avec GPT-3. Elle a découvert que GPT-3 continuait de présenter un acteur du Moyen-Orient, Waleed Akhtar, comme un terroriste ou un violeur.

    Lors d’une répétition, l’IA a décidé que le scénario devrait présenter Akhtar portant un sac à dos plein d’explosifs. “C’est vraiment explicite”, a déclaré Tang au magazine Time avant l’ouverture de la pièce dans un théâtre londonien. “Et ça revient toujours.”

    Le but de la pièce expérimentale était, en partie, de mettre en évidence le fait que les systèmes d’IA présentent souvent des biais en raison d’un principe connu en informatique sous le nom de “garbage in, garbage out”. Cela signifie que si vous formez une IA sur des rames de texte que les humains ont mis sur Internet, l’IA finira par reproduire tous les préjugés humains dans ces textes.

    C’est la raison pour laquelle les systèmes d’IA ont souvent montré des préjugés contre les personnes de couleur et les femmes. Et c’est aussi la raison du problème d’islamophobie de GPT-3

    Mohammed Mezouar
    Éditorialiste en Chef

    Aldjazair.org, 28 mai 2022

    #IntelligenceArtificielle #RéseauxSociaux #Facebook #Twitter #Islamophobie

  • Algérie : Cybermenace

    Algérie : Cybermenace

    Algérie : Cybermenace – Twitter, piratage, hacking, cyberguerre, Maroc, guerre électronique,

    L’Algérie a-t-elle vraiment tous les moyens pour faire face aux cyberattaques ? La dernière attaque contre le site officiel du ministère de la Justice (sur Twitter) sème le doute quant aux capacités techniques et humaines dont dispose le pays pour faire face aux incursions malveillantes. En vérité, aucun pays, aussi développé soit-il en matière technologique, ne peut se prémunir totalement contre les cyberattaques.

    Plusieurs experts relayés par les médias ces derniers mois ont affirmé que l’Algérie, en plus des moyens techniques à sa portée, dispose d’un potentiel humain formé pour assurer la sécurité des systèmes informatiques sensibles. Pourtant, le système de sécurité du site officiel du ministère de la Justice, l’un des plus performants et des plus usités par le public, n’a pas résisté au risque de « défiguration » par les cyber-pirates, qui ont déjoué toutes les protections des données numériques, prendre le contrôle du site et changer son contenu. Comme quoi, on n’est jamais à l’abri des cyberattaques. Une enquête a été ouverte par les services compétents, afin de déterminer les coupables de cette violation de la sécurité du site du ministère de la Justice et informer l’opinion publique à propos de cette cyberattaque, mais le mal est fait et il s’agit plutôt, surtout, de découvrir et corriger la faille qui a permis aux pirates de « défigurer » le site. Et faire en sorte que d’autres systèmes de sécurité de ministères, de grandes sociétés et banques, tiennent bon face à ce genre d’attaque.

    Actuellement, malgré des moyens énormes, techniques et humains, toute l’Europe est en état d’alerte « numérique » face aux soupçons de ripostes des Russes à travers des cyberattaques en réaction aux sanctions décidées à leur encontre par les Occidentaux à l’ombre de la guerre en Ukraine. On voit bien que les cyberattaques prennent une forme de terrorisme d’un nouveau genre. Et les Etats doivent se préparer en conséquence, H 24, pour parer à tout imprévu.

    Le Maroc a depuis longtemps déclaré la guerre électronique, ou cyber-guerre, à l’Algérie, en commençant par la désinformation et allant jusqu’à l’espionnage de personnalités politiques et de journalistes à l’aide du logiciel Pegasus, et on arrive maintenant à faire planer la menace sur les collectivités. Ces derniers jours, les opérateurs de téléphonie mobile ont multiplié les mises en garde à travers des SMS invitant leurs clients à ne pas répondre aux messages «douteux». «Les messages type mails ou SMS qui vous demandent des informations doivent vous alerter, car les cybercriminels cherchent à vous attirer sur de faux sites, qui paraissent vrais, pour vous soutirer des informations ou de l’argent, ou encore dérober vos données numériques». Ce type de mise en garde révèle une autre dimension de cette guerre électronique qui doit impliquer, non seulement des services spécialisés, mais également le citoyen, qui doit adopter les bons réflexes pour se protéger des menaces de cyberattaques. Dans ce contexte, il est très important de sensibiliser les masses sur cette réalité.

    par Abdelkrim Zerzouri

    Le Quotidien d’Oran, 13/03/2022

    #Algérie #Maroc #Twitter #Hacking #Piratage #Ukraine

  • Algérie : Acte de piratage marocain avorté

    Algérie : Acte de piratage marocain avorté

    Les parties qui tentent l’illusion de faire rapprocher l’Algérie du Maroc n’ont donc finalement rien compris aux obsessions bellicistes du Makhzen.

    Non seulement elle a été d’une patience de trop à l’égard de son « voisin » qui enchaînait les campagnes d’agressions l’une derrière l’autre, avant de décider de rompre avec lui, l’Algérie savait que le Makhzen, pour autant, ne la quittera jamais d’une semelle.

    Ainsi, la guerre de quatrième génération que nous faisait le Maroc, et dont il était question depuis ces dernières années, se vérifie à la lumière des cyber-attaques interceptées et avortées par l’Algérie. En été 2021 déjà, le ministère de la Défense nationale avait révélé que ses services spécialisés en ‘’Hakking’’ déjouent 35 000 tentatives par jour. C’est un secret de polichinelle de dire que ces attaques venaient essentiellement du « voisin » de l’Ouest.

    Et la campagne d’hostilité ne semble pas s’arrêter depuis. La dernière en date, une opération de piratage dont la source de l’attaque a été localisée au Maroc, a visé le compte twitter du ministère algérien de la Justice. En effet, dans une publication pour le moins étrangère au langage officiel algérien, les pirates marocains ont attribué-comme on pouvait le constater sur un tweet inventé et monté de toutes pièces- au ministère de la Justice une « déclaration de soutien à la Russie dans sa guerre contre la nazisme en Ukraine ». Rien que ça ! Face à cette campagne de nuisance visant à porter atteinte à l’image d’une institution nationale de souveraineté, le ministère de la Justice a démenti catégoriquement « les publications attribuées à l’Algérie » et lesquelles, comme on pouvait le constater sur ce fake news, n’ont rien à voir avec le site officiel du ministère. Le département de la Justice a également affirmé qu’il portera plainte contre cette cyberattaque, car elle a ciblé une institution officielle en Algérie.

    Pour être plus précis, l’attaque a été opérée par le groupe de hackers dénommé « Les forces de riposte marocaines » dont les membres, selon des sources bien informées, jouissent du soutien et du parrainage du régime marocain, à sa tête le roi Mohammed VI. Ce n’est pas une première pour ce groupe de Hakkers dont le Makhzen détient la marque déposée. Les hakkers marocains ont déjà piraté le site de la Direction générale des Impôts en 2014, alors que le ministère de la Santé a été ciblé en 2020 par une attaque cybernétique émanant du même groupe.
    Farid Guellil

    Le Courrier d’Algérie, 11/03/2022

  • Enquête sur le piratage du compte « Twitter » du ministère de la Justice

    Enquête sur le piratage du compte « Twitter » du ministère de la Justice – Algérie, hacking,

    Le parquet de la République près le tribunal de Bir Mourad Rais a ordonné l’ouverture d’une enquête préliminaire sur l’incident de piratage, vendredi, du compte « Twitter » du ministère de la Justice, a indiqué, ce samedi, la cour d’Alger dans un communiqué.

    « Suite au piratage du compte Twitter du ministère de la Justice, vendredi 11 mars 2022 et en application des dispositions de l’article 11 du code de procédure pénale, le Parquet général de la cour d’Alger tient à informer l’opinion publique que le parquet de la République près le tribunal de Bir Mourad Rais a ordonné l’ouverture d’une enquête préliminaire pour investiguer sur cet incident ».

    La mission d’investigation a été confiée « aux services de la police judiciaire spécialisés dans la lutte contre la cybercriminalité », précise la même source. « L’opinion publique sera informée des résultats des investigations en temps voulu », a ajouté le Parquet général.

  • Algérie/Chanegriha: les réseaux sociaux des “espaces de la haine”

    Le général de corps d’Armée Said Chanegriha, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire a indiqué, ce dimanche à Alger, que les sites et les réseaux sociaux constituent une tribune pour les réseaux du crime organisé, connus pour leur “rancune et leur haine” envers l’Algérie. Il a souligné qu’en dépit de ces attaques le pays a réussi à les contrer et mettre en échec tous leurs plans et complots menés à travers le cyberspace.

    Selon Chanegriha, “l’Algérie a connu de nombreuses cyber-attaques qui ont ciblé des sites étatiques et d’autres appartenant à des institutions économiques vitales et stratégiques. Ces attaques se sont intensifiées récemment avec la sortie de notre pays de sa crise et l’amorce de la phase de construction de l’Algérie nouvelle, initiée par Monsieur le président de la République, Chef suprême des Forces Armées, ministre de la Défense nationale”.

    Le Général de corps d’armée a souligné que les “sites et les réseaux sociaux ont constitué, ainsi, une tribune pour les réseaux du crime organisé, connus pour leur rancune et leur haine envers l’Etat algérien, pour mener des campagnes subversives visant à porter préjudice à la stabilité et à semer la discorde entre les fils du même pays”, ajoutant que l’Algérie est connu par “ses principes immuables, ses nobles valeurs humines et sa Révolution de libération”.

    Dans ce contexte, le Général de corps d’Armée a précisé que “les tentatives de manipulation, la diffusion des messages de propagande, la promotion des idées subversives par ces réseaux ont, clairement, pour objectif de servir des agendas hostiles qui sont désormais démasqués pour tous”.

    Il a néanmoins relevé que “grâce” à la prise de conscience des concitoyens et la “mobilisation” de toutes les institutions spécialisées en cyber-sécurité, l’Algérie a réussi à “contrer ces attaques et mettre en échec tous les plans et complots menés à travers le cyberespace”.

    Dans cet ordre d’idée, Chanegriha a précisé que ” la mission de protection, de sécurisation et de défense de notre cyberespace est une responsabilité collective, assurée par une stratégie nationale globale de cyber-sécurité, à laquelle nous devons tous adhérer, à commencer par le citoyen, qui doit prendre conscience des dangers du cyberespace et respecter rigoureusement les mesures appropriées lors de l’utilisation des moyens technologiques, en passant par les experts”. Il a indiqué, dans ce sens, que le rôle de ces experts est de “mettre à contribution leurs expériences et leurs points de vue, pour la réussite de cette stratégie nationale”.

    M. Chengriha a souligné que cette responsabilité collective touche également les responsables à tous les niveaux qui doivent veiller à “s’adapter en permanence aux évolutions accélérées du cyberespace et à fournir les solutions requises, tant préventives que correctives, à même de préserver notre fonds informationnel, d’une part, et de sauvegarder les droits et la liberté de nos concitoyens, d’autre part”.
    L’intervention du chef d’état major de l’ANP a eu lieu lors d’une allocution inaugurale des travaux d’un séminaire intitulé “La Cyber-sécurité et la cyber-défense: Enjeux et défis à la lumière des nouvelles mutations multidimensionnelles” .
    Ce séminaire de deux jours, organisé au Cercle national de l’Armée par le département Emploi-Préparation de l’Etat-major de l’ANP, s’inscrit dans le cadre de la promotion et du développement de la sécurité et la défense cybernétique au sein de l’ANP.

    Cette manifestation scientifique s’est poursuivie par la tenue de conférences animées par des enseignants universitaires et des spécialistes civils et militaires, axées dans leur ensemble, sur le traitement des différentes approches adoptées dans ce domaine ainsi que sur l’échange de points de vue concernant les enjeux découlant des nouvelles formes de cyber-menaces.

    Ont pris part à cette rencontre les ministres de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, de la Communication, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, de la Numérisation et des Statistiques, des Postes et Télécommunications, du Directeur général de l’Institut National des Etudes de la Stratégie Globale, ainsi que les Commandants de Forces et de la Gendarmerie nationale, le Commandant de la 1ère Région militaire, les Chefs de départements et les Directeurs et Chefs des services Centraux au Ministère de la Défense nationale.

    Le Jeune Indépendant, 23 mai 2021

    Etiquettes : Algérie, réseaux sociaux, Facebook, Twitter, haine déstabilisation, Saïd Changriha,

  • Trump lance une nouvelle plateforme de « communication »

    Donald Trump a lancé un nouveau site web de « communication », qui affirme qu’il publiera des contenus « directement issus du bureau » de l’ancien président américain.

    M. Trump a été banni par Twitter et suspendu par Facebook et YouTube après les émeutes du Capitole en janvier.

    Depuis, l’ancien président publie des déclarations par communiqué de presse – que le nouveau site web accueillera désormais.

    Les utilisateurs pourront aimer les messages et les partager sur leurs comptes Twitter et Facebook.

    « C’est un blog », a déclaré Kara Swisher, chroniqueuse technologique au New York Times, à l’émission Today de la BBC Radio 4.

    « Je ne sais pas quel est le plan global, car il a des conseillers numériques très pointus. Ce n’est que le début de ses tentatives pour essayer de rétablir une capacité plus forte à participer aux médias numériques. »

    Le conseiller principal de M. Trump, Jason Miller, avait précédemment déclaré qu’une nouvelle plateforme de réseaux sociaux allait être lancée. « Cette nouvelle plateforme va être importante », avait-il déclaré en mars.

    Mais M. Miller a indiqué sur Twitter mardi que le nouveau site web n’était pas la plateforme de réseaux sociaux dont il avait précédemment fait l’éloge.

    « Nous aurons des informations supplémentaires à ce sujet dans un avenir très proche », a-t-il déclaré.

    Le site Web serait construit par Campaign Nucleus, une entreprise de services numériques créée par l’ancien directeur de campagne de M. Trump, Brad Parscale.

    Plusieurs messages sur le site répètent à nouveau les affirmations selon lesquelles l’élection présidentielle de l’année dernière aurait été truquée.

    Le nouveau site est arrivé juste avant que le comité de surveillance de Facebook ne prenne une décision sur le bien-fondé de l’interdiction de M. Trump.

    Le comité a confirmé l’interdiction, mais a déclaré que Facebook devait examiner si elle devait être permanente et appliquer des règles cohérentes à tous les utilisateurs. Cela pourrait laisser la porte ouverte à un retour de M. Trump sur Facebook et Instagram à l’avenir.

    L’ancien président a utilisé son nouveau site pour qualifier Facebook – ainsi que Twitter et Google – de « honte totale ».

    « La liberté d’expression a été retirée au président des États-Unis parce que les fous de la gauche radicale ont peur de la vérité », a-t-il déclaré.

    « Le peuple de notre pays ne le supportera pas ! Ces réseaux sociaux corrompues doivent payer un prix politique, et ne doivent plus jamais être autorisées à détruire et décimer notre processus électoral. »

    YouTube a déclaré qu’il réactiverait le compte de M. Trump lorsque la menace de « violence dans le monde réel » s’atténuerait.

    Twitter, où M. Trump avait 88 millions d’adeptes, l’a banni définitivement.

    Un porte-parole de Twitter a déclaré à la BBC : « en général, le partage du contenu du site Web référencé est autorisé tant que le matériel ne viole pas les règles de Twitter ».

    BBC News, 06 mai 2021

    Etiquettes : Donald Trump, communication, plateforme, réseau, site web, Twitter, Facebook, YouTube,

  • Trump remonté contre Twitter pour avoir étiqueté ses messages

    Washington, 27 mai (Prensa Latina) Le président des États-Unis, Donald Trump, a aujourd’hui pris pour cible d’attaques son réseau social préféré, Twitter, pour avoir étiqueté ses messages comme potentiellement trompeurs.

    La polémique tient au fait que pour la première fois ce service de microblogging a ainsi qualifié certains tweets du mandataire relatifs au vote par correspondance.

    Selon Trump, la société ‘interfère dans les élections présidentielles de 2020’ et ‘étouffe la LIBERTÉ D’EXPRESSION’, ajoutant qu´il ne permettra pas cette attitude.

    La veille, Twitter a souligné avec des étiquettes combattant les informations erronées et des affirmations non vérifiées deux des messages publiés par Trump dans lesquels il a prétendu que les bulletins de vote par la poste mèneraient ici à une fraude électorale généralisée.

    Twitter a déclaré que la mesure avait pour but de fournir un ‘contexte’ par rapport aux commentaires du président.

    Prensa Latina, 27 mai 2020

    Tags : Estados Unidos, Donald Trump, Twitter,