Étiquette : véhicules

  • Pourquoi les voitures sont moins chères en Algérie

    Topics : Algérie, voitures, prix, véhicules,

    Un expert automobile a étalé les paramètres de la baisse des prix des voitures en Algérie.

    Enfin un dénouement. Telle chose permettra un redressement progressif du marché. Un expert automobile a fait savoir qu’une réduction importante des montants sera ressentie, d’ici à 90 jours, au maximum. Quels sont alors les paramètres de cette baisse des prix des voitures d’occasion en Algérie ? Pour connaitre la réponse, le média arabophone Echorouk s’est entretenu avec Adel Bensaci. Le président du Cluster Mécanique de précision attribue cette dégringolade à de nombreuses raisons. Il a cité, d’abord, l’encadrement de l’opération d’importation automobile par le département de Ahmed Zaghdar. Le spécialiste automobile a évoqué également l’étude des dossiers d’octroi des licences d’import de véhicule. En plus du début de la construction locale des voitures et la reprise de l’usine Renault Algérie Production. Il s’agit de ce dont nous informe le média généraliste susmentionné.

    Selon le même locuteur, les coûts en matière d’automobiles d’occasion vont chuter suite à la mise en place d’un document délivré par les douanes. Ainsi que la baisse des prix des véhicules annoncée par la firme italienne Fiat. Par la même occasion, l’expert a cité également la préparation d’autres opérateurs à mettre leurs véhicules sur le marché. Cela concerne les agents d’Opel et JAC. Ce qui sera dans l’intérêt du citoyen Dz. Tous ces paramètres contribueront, à partir du second semestre, à faire baisser les prix des voitures de différentes marques. Les déclarations du spécialiste sont considérées comme un soulagement pour les Algériens souhaitant prendre le volant d’un engin neuf ou quasi neuf. Voiture électrique entièrement algérienne Le Centre de recherche en technologies industrielles (CRTI) a lancé son projet de fabrication de la première voiture électrique 100 % algérienne. Le boom longtemps attendu du secteur de l’automobile en Algérie est effectif depuis quelques mois avec le retour des importations. Au niveau de l’industrie, l’usine de constructeur Fiat, implanté à Oran, entrera prochainement en production. Mieux, la première voiture électrique 100 % algérienne devrait bientôt voir le jour.

    En effet, le Centre de recherche en technologies industrielles (CRTI) a lancé son projet de fabrication du premier véhicule de ce type entièrement algérien. Le coup d’envoi de ce projet a été donné par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. À l’occasion, Kamel Baddari a indiqué au micro de l’APS que « le premier prototype de la voiture électrique Made in Algeria est pratiquement prêt. » Dans ce cadre, il a souligné que « l’opération de conception de la structure, de la batterie et du moteur a été finalisée. Et cela par de jeunes compétences algériennes. » Dans sa déclaration, le ministre a évoqué la date de lancement du prototype finalisé de cette voiture. Il a fait donc savoir qu’elle sera fixée dans « les plus brefs délais.

    Le Midi Libre, 22 avr 2023

    #Algérie #Voitures #Prix

  • Algérie. 4000 Fiat sur le marché algérien ce mois de mars

    Tags : Algérie, Fiat, voitures, véhicules,

    Après des années de gel, le dossier automobile en Algérie ne cesse d’avancer et de connaître des avancées, depuis le mois d’octobre passé, ou le président de la République a donné un grand coup de fouet, en annonçant le feu vert pour l’importation des véhicules de moins de 3 ans.

    Quelques jours plus tard, le ministère de l’Industrie annonce à son tour la signature d’un accord avec la marque italienne Fiat, pour l’ouverture d’une usine de montage automobile à Oran. Et le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, avait annoncé en janvier dernier le démarrage de la fabrication des voitures de la marque italienne Fiat, affiliée au groupe Stellantis, en Algérie en mars de l’année en cours, lors d’un communiqué de presse conjoint avec le Premier ministre italien, Georgia Meloni.

    Aujourd’hui, le dimanche 5 mars 2023, Mustapha Zebdi, le responsable de l’Organisation algérienne pour la protection des consommateurs (APOCE) a livré de nouvelles informations concernant le dossier des véhicules en Algérie, par le biais de son compte Facebook officiel.

    #Algérie #Fiat #Voitures #Véhicules

  • Le Maroc est désormais le « plus grand fournisseur de voitures en Europe »

    Le Maroc est désormais le « plus grand fournisseur de voitures en Europe »

    Tags : Maroc, Europe, voitures, véhicules, exportation,

    Le Maroc est désormais le plus grand exportateur de véhicules de tourisme en Europe, selon le gouvernement.

    Ryad Mezzour, ministre de l’industrie et du commerce, a déclaré à la Chambre des Conseillers que les expéditions de véhicules du pays vers l’Europe dépassaient celles de la Chine, du Japon, de la Corée du Sud et des États-Unis, selon l’agence de presse officielle MAP.

    Il a déclaré qu’alors que la demande de voitures en Europe avait chuté de 26% cette année, les ventes du Maroc sur ce marché avaient augmenté de 50%.

    Mezzour a déclaré que le pays comptait 10.000 ingénieurs concepteurs de voitures pour les marques allemandes, britanniques, françaises et nord-américaines, l’objectif étant d’atteindre 50.000 ingénieurs en trois ans.

    « Le royaume regorge de compétences capables de fabriquer des voitures et d’usines dédiées », a-t-il déclaré.

    Il a également annoncé le lancement imminent d’une marque de voiture entièrement conçue au Maroc.

    La nouvelle voiture sera 100% fabriquée localement avec un prix de 170 000 dirhams (15.000 euros), les administrations publiques étant parmi les premiers clients, selon North Africa Post.

    Mezzour a déclaré que le pays avait une capacité de production de 700.000 voitures, avec un objectif d’atteindre 1 million. La valeur des exportations automobiles devrait atteindre 100 milliards de dirhams (9,4 milliards de dollars) cette année.

    L’année dernière, le gouvernement a annoncé qu’il commencerait à fabriquer des semi-conducteurs destinés aux véhicules électriques.

    Toujours en 2021, deux fabricants de composants japonais ont déclaré qu’ils construiraient de nouvelles usines d’une valeur de 103 millions de dollars au Maroc pour produire principalement des faisceaux de câbles pour l’industrie automobile.

    En 2019, le constructeur automobile PSA a ouvert une usine de 615 millions de dollars dans le pays, avec une capacité de 200 000 véhicules par an.

    #Maroc #UE #Voitures #Véhicules #Exportation

  • Éviter le gonflage des pneus

    Éviter le gonflage des pneus

    Topics : Algérie, véhicules, voitures, importation, montage,

    Pour de nombreux algériens « agressés » par une multitude d’informations mais surtout de désinformation, le processus d’importation et de montage des véhicules neufs est une question de semaine voire de jours ! Et pourtant ! Oui, l’affaire est loin d’être conclue et l’attente risque d’être nettement plus longue que prévu. En effet, la publication enfin des fameux cahiers de charges n’est qu’un premier jalons d’un processus devant aboutir , si tout va bien, à sélectionner des constructeurs automobiles devant être autorisés à exporter leurs véhicules vers l’Algérie et de lancer des usines de montage localement.

    En d’autres termes, il ne s’agit pas à proprement parler du lancement de l’opération importation encore moins de montage de ces véhicules. Le ministre de l’industrie, Ahmed Zaghdar a d’ailleurs utilement mis fin hier à la polémique sur la date exacte de la commercialisation des fameuses voitures neuves en précisant que l’entrée du premier véhicule sur le marché national dépend du « degré d’engagement des concessionnaires à appliquer les dispositions du nouveau cahier des charges ».

    Et d’expliquer que ce n’est qu’une fois les dossiers d’importation déposés et leur conformité au cahier des charges approuvée que la « première » approbation sera accordée. Tout ce cheminement et les délais sont du reste bien précisés dans le document portant cahier des charges. C’est dire que l’on est qu’au démarrage « juridique » de l’opération en attendant que les constructeurs et les concessionnaires intéressés manifestent leur volonté et déposent leur dossier. Mais au risque de doucher l’optimisme béat de certains, on n’en est pas encore là, loin s’en faut. Sans doute que la majorité de ces hommes d’affaires sont en train de lire et relire les dispositions contenues dans le cahier des charges pour voir l’opportunité économique et la rentabilité avant de se lancer dans l’aventure. Et rien ne dit qu’ils seront nombreux à se bousculer au portail du gouvernement.

    Les premiers échos font état d’un accueil plutôt tiède des concernés compte tenu des clauses introduites par le gouvernement pour éviter que l’opération ne se transforme en une exportation en bonne et due forme de la devise comme ce fut le cas sous le règne des Bouteflika et les affairistes qui rôdaient autour d’eux à savoir les Tahkout, Mazouz, Oulmi, et autre Haddad.

    L’État est dans son bon droit de préserver ses intérêts et ceux des citoyens « consommateurs » qui souhaitent acquérir des véhicules neufs à des prix raisonnables et un minimum d’équipements de sécurité. Il est donc salutaire que le ministre ait remis le cursus à l’endroit et décliné la conduite à tenir aux concessionnaires pour éviter de vendre du rêve à des citoyens aux yeux de qui l’acquisition d’un véhicule est hélas redevenu un luxe à cause de la politique désastreuse des ministres de Bouteflika qui ont fait le bonheur des grands constructeurs étrangers au détriment de l’industrie nationale réduite à une vulgaire opération de gonflage des pneus.

    Par Imane B.

    L’Est Républicain, 20/11/2022

    #Algérie #Véhicules #Voitures #Concessionnaires

  • Concessionnaire de véhicules neufs: Les nouvelles conditions d’exercice de l’activité fixées

    Concessionnaire de véhicules neufs: Les nouvelles conditions d’exercice de l’activité fixées

    Tags : Algérie, concessionnaires, véhicules, voitures, importation,

    Le décret exécutif fixant les conditions et les modalités d’exercice de l’activité de concessionnaire de véhicules neufs, ainsi que le cahier des charges y afférent ont été publiés, jeudi, au journal officiel N 76.

    Il s’agit du décret exécutif N 22-383 du 17 novembre 2022, fixant les conditions et les modalités d’exercice de l’activité de concessionnaire de véhicules neufs, signé par le Premier ministre, M. Aïmene Benabderrahmane.

    Ce texte définit l’activité de concessionnaire par “toute activité consistant en l’importation pour la revente en l’état de véhicules neufs, sur la base d’un contrat de concession liant le concessionnaire au constructeur concédant”, précisant que “l’exercice de l’activité de concessionnaire de véhicules neufs, est ouvert aux sociétés de droit algérien, créées conformément à la législation et à la réglementation en vigueur”.

    L’exercice de cette activité, souligne le texte, est assujetti à “la conclusion d’un contrat de concession liant le concessionnaire à un seul constructeur concédant”, précisant que l’exercice de l’activité est subordonné au “respect des dispositions du présent décret et à la souscription au cahier des charges, joint en annexe”.

    Le décret stipule, par ailleurs, que l’investisseur postulant est soumis à l’obtention d’une autorisation préalable, dont la durée de validité est fixée à 12 mois, lui permettant d’accomplir les démarches pour la réalisation de son investissement, ajoutant également que l’exercice effectif de l’activité est conditionné par “l’obtention de l’agrément”.

    Cet agrément, délivré par le ministre chargé de l’industrie, est valable pour une durée de cinq (5) années renouvelable, note ce texte .

    S’agissant des modalités d’exercice de l’activité, le texte note que le concessionnaire agréé doit disposer d’infrastructures appropriées pour l’exposition, le service après-vente et le stockage, ainsi que d’un personnel ayant les qualifications requises ou une expérience professionnelle suffisante dans le domaine.

    Il a indiqué aussi qu’au au terme de la première année de l’obtention de l’agrément, le concessionnaire agréé “doit s’implanter au niveau de vingt-huit (28) wilayas, au moins, réparties sur le territoire national”.

    Le concessionnaire agréé doit également, selon le texte, disposer d’un stock suffisant de pièces de rechange et d’accessoires d’origine ou de qualité homologuée par le constructeur concédant pour la prise en charge des clauses de la garantie et du service après-vente des véhicules.

    Concernant le type de véhicules neufs commercialisés, le décret exécutif stipule que “ne sont autorisés à l’importation par les concessionnaires de véhicules neufs, dans la catégorie de véhicules de tourisme, que ceux équipés d’un moteur essence, électrique, hydrogène, hybride, essence/électrique, essence/hydrogène, ou GPL / GNC ou en être prédisposé”.

    Concernant le paiement pour l’acquisition de véhicule, le texte explique qu’il doit s’effectuer par un moyen de paiement scriptural à travers les circuits bancaires et financiers.

    Le cahier des charges, annexé à ce décret exécutif, a indiqué, quant à lui, qu’au cas où un acompte est exigé par le concessionnaire agréé lors de la passation de la commande, son montant ne doit, en aucun cas, excéder dix pour cent (10 %) du prix de vente, toutes taxes comprises, ajoutant que le délai de livraison du véhicule neuf commandé ne peut dépasser une durée de quarante-cinq (45) jours à partir de la date de la commande.

    En cas de paiement de la totalité du prix du véhicule, le concessionnaire est tenu de livrer le véhicule au plus tard dans les sept (7) jours qui suivent, précise le document.

    S’agissant des équipements, les véhicules neufs importés doivent être équipés, au moins, d’un système anti blocage des roues (ABS), un dispositif limiteur de vitesse ou régulateur de vitesse, pour les véhicules d’une cylindrée supérieure à 1200 cm3, de deux (2) airbags frontaux (conducteur et passager), appui-tête pour les sièges avant et arrière, dispositifs de dégivrage et de désembuage du pare-brise et de la lunette arrière, ainsi que système de retenue de siège pour enfant (ISOFIX).

    Pour la garantie du véhicule que le concessionnaire doit assurée au client, elle doit porter, dans la limite des soixante (60) mois, sur une distance égale ou supérieure à 80.000 km pour les véhicules industriels, à l’exception des remorques, des semi-remorques et des véhicules à usages spéciaux, et 100.000 km, pour les véhicules de tourisme et utilitaires légers.

    Echouroukonline, 18/11/2022

    #Algérie #Voitures_neuves #Véhicules_neufs #Concessionnaires

  • Algérie: Les premières livraisons de voitures se précisent

    Algérie: Les premières livraisons de voitures se précisent

    Algérie, Fiat, Renault, véhicules, voitures, importation,

    Le dossier de l’automobile en Algérie qui est resté bloqué pendant des années, voit un nouveau tournant se dessiner, avec les dernières annonces.

    En effet, le 9 octobre dernier le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, donne son feu vert pour l’importation des véhicules de moins de 3 ans pour les particuliers. jours plus tard, le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar annonce la signature d’un accord avec le constructeur automobile Fiat, pour l’implantation d’une usine à Oran. Le lendemain le Directeur Général Renault Algérie Production, Remi Houillons, que l’usine Renault implantée dans la localité d’Oued Tlélat dans la wilaya d’Oran, annonce via un post sur son compte Linkedin, que l’usine devrait reprendre l’activité au plus vite. C’est dans ce cadre que le wali de la wilaya d’Oran, Said Sayoud, a précisé que «la commercialisation du premier véhicule de la marque italienne « Fiat » se fera fin 2023, c’est-à-dire après l’achèvement des travaux de construction de l’usine, qui s’étaleront sur une superficie de 120 hectares dans la région de Tefraoui.» Il a également précisé que le siège qui abritera l’usine de production automobile Fiat a commencé à être achevé, s’engageant à « connecter les canaux de gaz, d’électricité et d’égouts dans les plus brefs délais ».

    Sur le marché fin de l’année 2023 ?

    Sayoud a ajouté que les responsables du constructeur italien FIAT affilié au groupeStellantis se sont engagés à lancer le premier véhicule avant la fin de l’année prochaine. Il a donc indiqué qu’ «il est fort possible que décembre 2023 soit choisi pour lancer le premier véhicule Fiat sur le marché algérien.» Dans les détails, Sayoud a déclaré que la marque italienne commencera à commercialiser deux types de ses voitures avec le début de la production, d’autres types devraient être fabriqués plus tard. Et concernant la capacité de production de l’usine, le wali d’Oran a expliqué qu’elle « fait l’objet de négociations entre les responsables du complexe et les autorités algériennes ».

    En marge de la cérémonie de signature de l‘accord avec le groupe Stellantis, le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar a confirmé que le lancement de ce projet sera suivi du lancement d’autres projets répondant aux mêmes standards d’intégration et de valeur ajoutée dans le futur proche, tout en soulignant l’impossibilité d’accepter tout investissement dans l’industrie automobile qui se fonde sur l’installation de tout ce qui est importé uniquement, « l’Algérie possède toutes les qualifications qui en font un pôle industriel dans ce domaine, notamment le marché, la situation géographique, la main-d’oeuvre qualifiée, l’énergie à des prix compétitifs et autres. »

    À quand la reprise de l’activité de l’usine Renault ?

    En réponse à une question sur la date officielle fixée pour la reprise de l’activité de la marque française dans la zone industrielle de l’Oued Telilat à Oran, le wali d’Oran Saïd Sayoud a précisé que celle-ci serait officialisée fin octobre, et a ajouté qu’ «Après l’intégration de l’usine Renault dans la politique de l’état, le montage de voitures sera autorisée.

    Par : LAKHDARI BRAHIM

    Le Midi Libre, 19/10/2022

    #Algérie #Fiat #Renault

  • Algérie : Du nouveau dans le dossier de l’automobile

    Algérie : Du nouveau dans le dossier de l’automobile

    Algérie, véhicules, voitures, importation,

    Le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar est revenu, ce samedi, sur un dossier du montage automobile en Algérie et l’importation de véhicules.

    Depuis Boumerdès où il a tenu une réunion avec les directeurs centraux et locaux du secteur de l’industrie, le ministre Ahmed Zeghdar, a dévoilé du nouveau concernant le dossier relatif à la construction automobile, soulignant que l’Algérie est en contact avec les grands constructeurs automobiles pour pénétrer le marché local.

    Il a, aussi, souligné que le projet de l’industrie automobile avance dans des étapes correctes et saines, ajoutant que l’annonce des noms des concessionnaires économiques sera faite dans la transparence après l’approbation du conseil des contributions de l’État.

    En ce qui concerne le dossier de l’importation automobile, Le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar a expliqué que son ministère n’a accordé aucune permission pour l’importation des voitures, et a déclaré à cet égard : « Nous avons de nouvelles perspectives alors que nous faisons l’inventaire de 42 entreprises qui activaient déjà dans le secteur automobile. Nous cherchons à pouvoir atteindre d’avoir une véritable industrie avec un ratio d’intégration acceptable qui permettra à la conclusion d’un accord pour entrer sur le marché comme produits la première année, puis l’installation, pour atteindre une industrie réelle dans la troisième année».

    Zeghdar a aussi évoqué le fait que les emplois des entreprises saisies ont été préservés en disant : « Nous avons préservé plus de 9 000 emplois dans les 13 institutions qui ont été saisies. »

    Il a aussi précisé que « La loi de finances complémentaire permet à toutes les personnes et institutions publiques actives dans le domaine des transports d’importer des voitures».

    El Khabar, 10/08/2022

    #Algérie #Voitures #Véhicules #Importation

  • Algérie: 57 véhicules de luxe récupérés du réseau de Tahkout

    Algérie: 57 véhicules de luxe récupérés du réseau de Tahkout

    Algérie, Mahieddine Tahkout, réseau, voitures, véhicules,

    Un réseau criminel en relation avec Mahieddine Tahkout démantelé. 57 véhicules de luxe récupérés

    B. HABIB

    A quel niveau se situe aujourd’hui la richesse de Tahkout? Quelle est son origine? Et y aurait-il des liens présumés à l’étranger? Pour les spécialistes, les mystères et les chiffres de l‘empire Tahkout sont de nouveau d’actualité. L’affaire du richissime, homme d’affaires, Mahieddine Tahkout, ne cesse en effet de d’effrayer la chronique et de révéler de nouveaux éléments pour le moins gravissimes dans le cadre de l’enquête de la justice. Une fortune qui remet au goût du jour les importantes découvertes, dignes selon les observateurs d’une «Caverne d’Ali Baba», dans la trésorerie du célèbre richissime après les 500 véhicules non déclarés saisis en mars 2022.

    L’étau semble se resserrer de plus en plus sur Tahkout et son lien avéré avec la filière de montage des véhicules Hyndai en Algérie avait dépassé tout entendement. Y a-t-il, ce faisant, un lien quelconque entre le scandale Tahkout et l’interdiction d’importer des véhicules? La machine judiciaire algérienne a décortiqué les maillons de la très complexe affaire Tahkout.

    Déjà confondu et mis dans l‘embarras depuis des années par une affaire antérieure relative à son usine de montage qui n’était en fait qu’un hangar de mise de boulons sur des roues de véhicules neufs importés dont les vidéos avaient, rappelons-le, circulé sur les réseaux sociaux avant que Tahkout n’ait à les démentir. L’homme d’affaire sera rattrapé par une série d’affaires liées principalement à la dilapidation et au détournement.

    Cette fois, une affaire de crime organisé a mis en ligne des liens présumés entre l’ex-homme d’affaires et une bande criminelle, de blanchiment et de corruption, démantelée. Tout compte fait, le service central de lutte contre le crime organisé, relevant de la Sûreté nationale, a procédé, cette semaine, à la récupération de 57 véhicules de luxe et au démantèlement d’une bande criminelle organisée impliquée dans des affaires de corruption et de blanchiment d’argent, en relation avec l’ancien homme d’affaires, Mahieddine Tahkout, a indiqué, lundi, un communiqué de ce service. « Dans le cadre de l’enquête diligentée par les services compétents de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), sous la supervision du Parquet territorialement compétent, le service central de lutte contre le crime organisé, relevant de la Sûreté nationale, a procédé, cette semaine, au démantèlement d’une bande criminelle organisée, impliquée dans des affaires de corruption et de blanchiment d’argent, en relation avec l’ancien homme d’affaires, Mahieddine Tahkout », a précisé le communiqué.

    Cette opération qualitative s’est soldée par la récupération de 57 véhicules de différentes marques, propriété de l’ancien homme d’affaires, Mahieddine Tahkout, dont 54 véhicules de luxe d’une valeur de près de 200 milliards de centimes. Le prix d’un de ces véhicules dépasse 12 milliards de centimes », a ajouté le communiqué. « Les investigations ont permis de trouver des adresses de biens immobiliers acquis grâce aux recettes de ces opérations criminelles, outre la saisie de 1,935 milliard de centimes.

    Les véhicules en question ont été récupérés au niveau de garages à Alger, Annaba, Sétif, Bordj Bouareridj, Boumerdes, Tipasa, Chlef et Blida », lit-on sur le document. « Les services compétents de la DGSN ont rappelé la saisie de 507 véhicules de différentes marques appartenant au même ancien homme d’affaire », a conclu le communiqué.

    Le Carrefour d’Algérie, 08/09/2022

    #Algérie #Mahieddine_Tahkout #réseau #Voitures

  • Algérie: Voici la voiture la plus vendue en une année

    Algérie: Voici la voiture la plus vendue en une année

    Algérie, voitures, automobiles, véhicules,

    Chaque année, l’Office nationale des statistiques (ONS) publie le palmarès des véhicules les plus vendus sur le marché algérien. Sans surprise, c’est le groupe automobile français Renault qui maintient son leadership avec le succès de la Symbol. Il s’agit de ce que rapporte le site spécialisé Autobip.

    Selon les chiffres de l’ONS, la marque française a écoulé sur le marché local 4.537 unités au cours du premier semestre de l’année 2020. Par ailleurs, ce rapport publié par l’ONS indique également que la marque Dacia occupe la deuxième place. Le groupe français, filiale de Renault, a vendu quelque 1.203 unités. De son côté, la marque Hyundai fait toujours partie du top 3 des voitures les plus achetés par les Algériens. Elle arrive en troisième position du classement avec 1.145 unités vendues durant la même période.

    Les modèles de voitures les plus vendues en 2021

    Le média susmentionné, nous présente les voitures en question en citant les chiffres fournis par l’analyste Felipe Munoz à « Car Industry Analysis ». Indiquant que Renault Symbol est le leader des ventes durant l’année 2021. Elle avait vendu 5.991 unités au cours de cette période. En revanche, le même rapporte a fait état d’une baisse de -37 % par rapport à 2020 et de -87 % par rapport à l’année 2019. La source médiatique citée auparavant a dévoilé que la Hyundai Accent arrive deuxième du classement, avec 1.231 voitures vendues. Pour sa part, la Seat Ibiza arrive en troisième place avec 885 unités vendues durant la même période.

    Le Midi libre, 14/08/2022

    #Algérie #Automobiles #Véhicules #Voitures

  • Algérie. La pièce détachée, l’autre épine !

    Algérie. La pièce détachée, l’autre épine !

    Algérie, importation, voitures, véhicules,

    Depuis la pandémie, la pièce détachée automobile se fait rare et les prix se sont envolés. Les prix des pièces détachées automobiles et véhicules en Algérie, entre janvier et août 2022, ont augmenté de 30 à 50% par rapport à ceux de l’année dernière. L’expert en économie, Houari Tigharsi, avait, fin juillet au journal «Le Jeune Indépendant», déclaré: «La pénurie qui frappe depuis plus de deux ans le marché des pièces détachées est essentiellement due aux perturbations des importations, engendrées par les décisions non étudiées des ministères de l’Industrie et du Commerce, bloquant les importations d’une marchandise hautement nécessaire pour la préservation du parc automobile national. Il y a un manque flagrant de transparence et de communication concernant un dossier aussi important».

    Le ministère de l’Industrie s’apprête à sortir un nouvel arrêté encadrant l’activité de manutention et de production de pièces détachées en Algérie, et accordant des exonérations fiscales et douanières aux producteurs locaux, arrêté qui est sur la table du ministère depuis mai dernier, relaye «Algérie Focus».

    Dans une déclaration au média Echourouk, le Groupement des concessionnaires automobile d’Algérie met en garde contre la croissance des pièces de rechange frauduleuses sur le marché algérien. Cela engendrera, sans aucun doute, des dommages et des accidents. Le GCA appelle à organiser l’entrée des pièces détachées sur le marché algérien. Et ce, tout en se tenant à l’écart des pièces contrefaites. En insistant pour se procurer des pièces de rechange comportant des normes homologuées à l’étranger.

    « Les concessionnaires algériens acquièrent les pièces de rechange automobile de troisième main. Soit, du troisième client, pour enfin arriver au consommateur algérien en tant que quatrième pièce de l’échiquier d’achat et de vente. La hausse des prix est également liée aux frais de transport maritime. En plus de la détérioration de la valeur du dinar algérien, par rapport à l’euro et au dollar», relaye «Dzair Daily».

    La facture d’importation de pièces détachées automobiles en Algérie équivaut à 1,2 milliard de dollars, un montant qui est passé de 800 millions de dollars il y a deux ans à la facture actuelle, en raison de la dépréciation du dinar et de la hausse des prix du transport maritime, d’après « Algérie Focus ».

    Le nombre d’entreprises de manutention actives sur le marché algérien avant le début de la crise automobile équivalait à 300 entreprises et ce nombre a fortement diminué ces dernières années, selon la même source. Il est nécessaire d’organiser ce marché et d’intensifier le contrôle sur la qualité des pièces détachées automobiles et véhicules.

    Le Carrefour d’Algérie, 11/08/2022

    #Algérie #Véhicules #Voitures #Importation