Plus d’argent, plus de crédits, moins de projets qui arrivent, moins d’acheteurs extérieurs étrangers qui amènent de l’argent frais, moins de béton à couler, moins de travail… etc, etc, etc….
Le scénario à moindre échelle de ce qui se passa dans les grosses banques qui gèrent la planète aux USA comme en Europe semble arriver de manière plus interne au Maroc avec toujours un décalage de réactivité.
L’optimisme du Maroc malgré ses annonces rassurantes depuis fin 2008 se confirmera-t-il dans les mois à venir ou les caisses de Rabat permettraient-elles de relancer une machine nationale demain, au cas où… ?
Source : Le Blog des ERM
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