Algérie/Le rôle de la cellule dormante de Rachad et de ses foules de supplétifs partisans.

« Nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence par l’infiltration plutôt que l’invasion, la subversion plutôt que les élections et l’intimidation au lieu du libre-arbitre”.

C’est un moyen qui nécessite énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et d’une efficacité remarquable, elle combine des opérations militaires, diplomatiques.
Ses ramifications sont occultées et non publiées. Ses erreurs sont enterrées et ne font pas les gros titres, on fait taire ses dissidents, on ne les glorifie pas, aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret n’est révélé. »

(John F. Kennedy, au cours d’une conférence à l’Hôtel Waldorf Astoria de New York, le 27 avril 1961, au sujet d’un gouvernement secret dans les coulisses de la politique mondiale)…Il en est mort……assassiné !
Un sujet qui dérange… qui lève un peu le voile sur le rôle de la cellule dormante de Rachad et de ses foules de supplétifs partisans dans la modification du tissu social, théologique, géostratégique et géographique d’une population œuvrant pour le développement, la paix et la sécurité de la population de la région.
Comprendre les rivalités sectaro-milices entreprises par la cellule dormante et ses agents supplétifs de « Rachad » n’est pas chose aisée.

Des rancœurs également alimentées par la rivalité de la décennie 1990 entre algérien. Il convient toutefois ne pas négliger cet aspect qui influe par bien des égards sur la politique extérieure des États de la péninsule arabique et de notre géographie maghrébine au premier rang desquels on peut compter la Syrie, l’Irak, la Libye, la Tunisie et l’Algérie.

Le résultat logique de cette milice est l’extrémisme. On ne peut pas tout mettre sur le dos des méthodes brutales des régimes arabes. Ceux qui disent qu’on aurait dû mieux soutenir les soi-disant modérés auparavant, oublient ce qui arrive lorsque les États s’effondrent et que les milices prennent la place de l’État.

Les gens se réfugient dans des appartenances identitaires plus primitives, et ce sont les supplétifs partisans aidés par les cellules dormantes qui prennent le dessus. Ceux ci, se développent en tandem et se rapprochent les uns des autres, dans un processus complexe d’adaptation mutuelle.

Les frontières entre le réel et l’imaginaire disparaissent et, finalement, c’est l’imaginé qui hante leurs imaginations et conduit leurs politiques. Au lieu d’informer sur la réalité du système en place (réalité économique, bancaire, impérialiste et esclavagiste), auxquelles le peuple algérien s’est interrogé sur les moyens qui ont permis à une poignée de personnes d’amasser des richesses immenses par des voies illégales.

Ceux-là, préfèrent portés à l’ordre du jour les problèmes, des mouvements populaires d’opposition, des personnes arrêtées, jetées en prison et de tous ce qui peut participer aux attaques envers le triumvirat : la présidence de la république , l’institution militaire et le docteur Ahmed Bensaada.

Tout ce soutien extérieur que les supplétifs de Rachad ont reçu les a de plus éloignés de leur propre société. Les vrais supplétifs sont organiquement liés à leurs communautés et accordent une grande importance à leur bien-être. C’est souvent parce qu’ils reposent sur leurs communautés pour leur approvisionnement et d’autres formes de soutien propagandistes et médiatiques. Auxquels ils s’en donnaient à cœur joie certains médias tels que « Radio M » avec des journalistes à l’instar d’Al-Kadi-Ihsen et Imad Boubekri.

A cela s’joute dans la même corbeille, au-dessus de toutes soupçon deux autres supplétifs de l’université algérienne respectivement : Saci Belgat et Rachid Dahak qui ne lésinent pas sans fausse honte à porter des coups bas sur l’auteur Ahmed Bensaada, le tombeur des félons, celui par lequel tous les projets complotistes, contre l’Algérie, sont tombés et leurs auteurs mis à nu comme de vulgaires débutants rongés par la frustration, la haine et la cupidité.

Il est certain, qu’ils ne sont pas en mesure de s’attaquer à leurs alliés et copains supplétifs du SNAPAP, LADDH, CFDA, CGATA, ou Amnesty International, FIDH et RSF, pour condamner leur action portant amplement l’ingérence dans les affaires internes de l’Algérie. Mais plutôt ils préfèrent porter leurs attaque concentrée à des personnes présumées innocentes, dont leur seul tort est d’avoir écrit sur les financements attribués à des identités louches aux ramifications internationales douteuses, entre autres celles qui s’autoproclamaient les ténors du Hirak Algérien.

Pourquoi s’attaquent-ils à Ahmed Bensaada ?

Pourtant le docteur Ahmed Bensaada n’a cessé de le marteler « Pourquoi l’argent fut-il donné aux autoproclamés du peuple algérien et non pas aux démocrates constitutionnels ? On devrait pourtant supposer ceux-ci plus proches et plus chers aux cœurs des médias, des journalistes et intellectuels algériens »

Donc la présence de cellule supplétive dormante dans quelques médias et universités Algérienne, représenterait une source potentielle de déstabilisation, est une source d’inquiétude pour le peuple Algérien dans sa majorité patriotique, qui se voit menacé dans son environnement national par ces groupuscules.

Ceci est prouvé par plusieurs guerres hybrides désespérées que l’empire étasunien ait déclenché contre l’Algérie en réponse à sa première tentative de changement de régime en 1992 avec le parti dessous et ses supplétifs!
Dans ces cas, on peut affirmer que l’Algérie a toujours été considérée comme l’objectif le plus stratégique de tous les États affectés par les printemps arabes.

Forcément si un groupe est financé de l’extérieur et n’a pas besoin des services du pays, il peut terroriser ses concitoyens ou se moquer de provoquer sa destruction. Comment cela est-il possible que des gens de mon pays bons et honnêtes, pour lesquels j’ai beaucoup de preuves de ce que j’avance, puissent participer à des escroqueries et des fraudes, sachant pertinemment que cela va affecter des milliers de leurs concitoyens. »

Pour ce faire une idée très précise du modus operandi de ses foules formées de supplétifs, consultez le livre Arabesques, enquête sur le rôle des États-Unis dans les révolutions arabes d’Ahmed Bensaada et son dernier chef d’œuvre « Qui sont les ténors autoproclamés du Hirak algérien ? »

Les faits présentés dans ces deux livres, sont à couper le souffle, ils sont une véritable bombe littéraire qui explosera à la figure de chaque lecteur !

De manière évidente, qui que ce soit qui aient écrits ces livres, l’objectif pour lui était de prévenir contre l’agression occidentale à venir et montrer du doigt les sources originelles du mal, parce que l’assistance technique des officines américaines contrôlées par la gouvernance mondiale étaient toujours nécessaire pour que les pères fondateurs du « mondialisme »construisent leur machine de guerre.

Ici vous aller observer vraisemblablement que le mode opératoire de Wall-Street avec les bolchéviques n’a cessé de se répéter aujourd’hui, avec le monde arabe en général et le Hirak algérien en particulier ? C’est hélas cette triste vérité qui obsède les uns et que les autres refusent de voir.

Qui sont-ils ces hommes sensés nous représenter ?

Le site d’Ahmed Bensaada publie la liste des organisations signataires de l’appel à l’origine de la résolution du parlement européen, condamnant l’Algérie : Suite à ce revirement devenu un rituel de la part de certaines institutions pour exercer des pressions sur l’Algérie, il est important de connaître les noms :
l’Institut du Caire pour les études des droits de l’homme (CIHRS), le Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA) Riposte Internationale, la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), CIVICUS : Alliance mondiale pour la participation citoyenne, Reporters Sans Frontières, le Syndicat National Autonome des Personnels de l’Administration Publique (SNAPAP), la Confédération générale autonome des travailleurs en Algérie (CGATA), la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), Article 19, Cartooning for Peace, le Forum de solidarité euro-méditerranéen (FORSEM), Amnesty International, Euromed Droits,l’Action pour le Changement et la Démocratie en Algérie (ACDA). (1)

Également les deux livres cités ci-haut, présentent des noms des partis politiques, des ONG, telles que POMED (Project on Middle East Democracy, qui a attribué un prix, au mois d’octobre 2019, au chef de parti politique Sofiane Djilali, créateur et chef du parti Jil Jadid), le SNAPAP, le CNCD tous ont participé à des rencontres et séminaires réguliers avec la National Endowment for democracy –Agence des Etas-Unis pour le développement international (NED-USAID)

L’ex chef du RCD ( Said Sadi) alla jusqu’à demander un soutien extérieur ? Ses confidences et bien d’autres contenues dans le cable 07ALGIERS1806 (6)

Rappelant que le RCD n’était pas le seul parti participant à cette mission « tous frais payés ». La délégation était aussi composée de représentants des partis suivant :
FLN, MSP, TAJ, JIL JADID, Front EL MOSTAKBAL, FFS et MPA. (4)
Fodil Boumala déclara, que lors de son voyage aux Etats-Unis, il a été reçu par le président Obama en personne ? Il est vrai que l’Administration américaine a facilement ouvert les portes de ses prestigieux bureaux aux cyberactivistes arabes. (4)

Où se situe le danger ?

N’est-ce pas par un passé pas si lointain, l’évangélisme aidé par le MAK ont servi à pointer du doigt la Kabylie, qui se servaient de leur groupe comme d’un moyen de propagande politique et pour inciter à la haine et à la violence. Il a été relevé également la présence des éléments du MAK et des groupes djihadistes dans des régions du G5. Le tout sous la supervision de la France. (2)

Ce serait donc pareil cas, pour Ghardaia que «le MAM » trouverait un terrain de prédilection et pourquoi pas puisque tout les ingrédients sont réunis pour une terrible tragédie dans les prochaines années.
N’est-ce pas là une manière vivante de préparer des adversaires hybrides ? Puisque ils forment des entités non étatique capables de jouer des rôles que leurs attribuent le front d’intervention international. (3)
Il nous semble que ce caractère particulier fait de l’Algérie un cas propice à étudier par la théorie des jeux coopératifs qui offre des outils permettant d’identifier les bénéficiaires de ce système de querelles confessionnelles.

Toutefois, des explications vraisemblables nous ont été fournies sur les situations vécues par les pays auxquels des sectes n’ont pas cessé d’intervenir. (Voir le cas du Yémen, au Liban et en Syrie)
Les informations que nous avons vues sur ces entités dans ces patries, fournissaient de preuves convaincantes à l’appui de la théorie de la conspiration de ses éléments contre leur pays. (4)
Il n’est pas du tout rationnel d’essayer, comme les institutions européennes et parties influentes corrompues d’algérien organisées en supplétifs, de maquiller cette hostilité sous la forme d’une opposition au gouvernement au pouvoir parce que la vérité est évidente.

Algérie: comment le mouvement Gülen aurait eu la peau de Toufik, l’ancien chef du DRS
L’existence en Algérie de réseaux liés au turc Fethullah Gülen serait l’une des raisons ayant amené le Président Bouteflika à limoger son ancien chef des renseignements, le général Toufik.
C’est ce qu’a rapporté le site ALG24, citant des sources affirmant que ce dernier aurait transmis au Président un rapport ne relatant pas la réalité des faits. Un article révélateur sur une histoire qui a une dimension internationale. Surtout que celle-ci est liée directement avec la souveraineté d’un pays (l’Algérie) (5)
C’est à la fois inquiétant et étonnant d’actualité.

L’observation des derniers événements en Algérie avec les islamistes rigoristes , le GIA et l’AIS , des organisations reconnues terroristes , nous rapproche de cette analyse de La règle d’or du point de vue géopolitique est de ne jamais leurs faire confiance (les cellules dormantes et ses foules de supplétifs partisans) qui ont participé au côté des américains et au côté de l’union européenne à masquer la vérité et non pas la révéler, tuer les enfants , les femmes dans une guerre qui continue de fournir des preuves et jette une lumière crue sur les rouages de la machine de mort de ces cellules de conspiration américaine , sans état d’âme !

Voulant tout simplement que leurs maîtres remportaient victoire après victoire contre l’Algérie leur vieux rival, et l’a voir à genoux !

(1) L’Algérie face à l’Union européenne et ses lobbys
https://www.ahmedbensaada.com/index.php…
(2)MAK (Mouvement algérien kabyle)
(3) MAM (Mouvement algérien Mouzabite)
(4) Arabesques Enquête sur le rôle des États-Unis dans les révoltes arabes.
(5) Algérie: comment le mouvement Gülen aurait eu la peau de Toufik, l’ancien chef du DRS
https://fr.sputniknews.com/…/201810081038409053…/…
(6) Sonia Lyes, « les confidences de Saïd Sadi à l’ambassadeur américain en Algérie » TSA, 17 décembre 2010.

Algérie54, 15 mai 2021

Etiquettes : Algérie, Hirak, Rachad, MAK, islamistes, séparatistes,

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