Espionnage, Pegasus, SNJ, GCHR, Maroc, #Maroc
Suite aux révélations sur les activités d’espionnage des téléphones portables grâce via le logiciel isrélien Pegasus ; le Syndicat national des journalistes (SNJ) et l’ONG Gulf Center for Human Rights (GCHR), qui défend les droits humains, ont à leur tour porté l’affaire à la justice française.
Ainsi, ces deux organismes s’ajoutent à RSF, Médiapart et Le Canard Enchaîné et l’ancienne collaboratrice de ce dernier, Dominique Simonnot, dans leurs plaintes pour «atteinte à la vie privée», «interception de correspondance», «accès frauduleux» à un système informatique et «association de malfaiteurs».
Ces plaintes sont une réponse au scandale d’espionnage révélé par un consortium composé de journalistes et des deux associations Amnesty international et Forbidden Stories. Selon certains organes de presse français, parmi les victimes d’écoutes pourraient se trouver le président français Emmanuel Macron et l’ancien Premier Ministre Edouard Philippe. Leur portables ont été sélectionnés par les services commandés par Abdellatif El hammouchi, patron de la DGSN et la DGST. Pour sa part, l’Etat marocain a réagi en ouvrant plusieurs procédures judiciaires contre plusieurs médias ainsi que Forbidden Stories et Amnesty International.
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